Florilège gourmand Spécialités culinaires

Un Tour des destinations les plus réputées pour leur cuisine

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Voyager c’est aussi (et peut-être même surtout) découvrir des traditions et s’ouvrir à de nouvelles cultures. Goûter à la cuisine locale fait donc partie intégrante du voyage !

 

 

 

 

Si vous cherchez un peu dans vos souvenirs, on parie que vous y retrouverez le goût d’un délicieux plat de pâtes dégusté en Italie, d’une salade pleine de fraîcheur en Grèce ou encore d’un curry aux crevettes savouré sur une plage de Thaïlande…

 

 

 

 

 

Et pour vous donner l’eau à la bouche et vous inspirer pour vos prochaines vacances, je vous propose aujourd’hui de faire le tour des destinations les plus réputées pour leur cuisine. Maroc, Inde, Japon, Espagne…

 

 

 

 

 

Suivez-nous pour un tour du monde gastronomique ! Á découvrir :

 

 

 

La Corée du Sud      

 

 

 

 

 

La cuisine coréenne est reconnue pour sa très grande variété et sa qualité indéniable. C’est une cuisine savoureuse… Et très épicée ! Les Coréens aiment dire que leur belle peau est le résultat de leurs habitudes alimentaires : nourriture saine, peu calorique et «  relativement épicée  » qui fait transpirer et donc aide à l’exfoliation !

La Corée est une région reconnue pour la variété et la qualité de sa cuisine. Ses grands classiques ne sauraient éclipser un répertoire d’une grande variété. Cette cuisine se distingue de celles des pays voisins, notamment le Japon et la Chine.

 

 

 

 

 

 

À base de chou chinois fermenté et mariné avec du piment, le kimchi a carrément été décrété «  trésor national  ». Il accompagne tous les repas.

 

 

 

 

Le kimchi est un mets traditionnel coréen composé de piments et de légumes lacto-fermentés, c’est-à-dire trempés dans de la saumure pendant plusieurs semaines jusqu’au développement d’une acidité. Il y a des centaines de variétés de kimchi faites à partir de différents légumes en tant que principaux ingrédients.

Beaucoup de plats sont par ailleurs faits à base de bouillon, de riz, et de nouilles, mais ce qui la différencie de la cuisine chinoise et japonaise, c’est la viande ! Le barbecue coréen est d’ailleurs très réputé très convivial ! On fait griller soi-même sa viande et ses légumes sur le grill placé au centre de la table tout en discutant en famille ou entre amis.

Le barbecue coréen est une méthode populaire dans la cuisine coréenne pour griller de la viande, généralement du bœuf, du porc ou du poulet. Ces plats sont souvent préparés sur des grils à gaz ou à charbon Le bulgogi (« viande au feu »), aussi connu sous le nom de barbecue coréen en Occident, est une spécialité culinaire incontournable de Corée que l’on apprécie notamment pour sa convivialité.

 

 

 

 

 

 

Le principe est simple : mariner de fines tranches de bœuf (sauce soja, huile de sésame, piment, ail…), parfois de porc, et les faire cuire soi-même sur un gril de table. Le riz et le kimchi font office d’accompagnement. Pour déguster votre bulgogi de manière traditionnelle, à la coréenne, il faut envelopper sa viande d’une feuille de salade fraîche ou d’une feuille de sésame (kaetnip).

 

Que diriez-vous d’organiser un barbecue coréen chez vous ? Pour cela, découvrez notre savoureuse recette.

 Les ingrédients utlisés pour réaliser un barbecue coréen sont : bœuf finement coupé (filet ou faux-filet)

Pour la marinade: gingembre, gousses d’ail, poireau finement haché, mirin, saké, sauce teriyaki, sucre, huile de sésame…

Pour les légumes au choix : shiitakés, jeunes poireaux, chou chinois, poivrons, champignons… riz nature

Pour la sauce d’accompagnement : mirin, saké, sauce teriyaki, sucre, tiges de ciboule, épices shichimi, huile de sésame, graines de sésame de bois intégrés à la table à manger elle-même.

 Au restaurant, n’hésitez pas à demander des plats NON épicés si vous avez le palais sensible.

Savoir vivre local : Avant de commencer à manger, il faudra attendre que le plus âgé des convives donne le top départ.

  La Crète

 

 

 

 

 

 

La cuisine crétoise est depuis de nombreuses années reconnue pour ses effets positifs sur l’espérance de vie. Les Crétois mangent généralement deux fois plus de fruits que les autres Européens, un quart de moins de viande et plus de légumineuses. Ce qui la différencie des autres cuisines, c’est qu’elle ne cherche pas à mélanger les saveurs. Elle est basique, peu piquante, fine et saine. On aurait donc tort de s’en priver !

La cuisine crétoise a des racines anciennes qui remontent à la civilisation minoenne, c’est-à-dire à plus de 3000 ans, et a survécu à de nombreuses influences colonisatrices (Romains, Empire byzantin, vénitien et turc). Universellement reconnue pour ses bienfaits, l’huile d’olive est bien sûr la grande vedette de la cuisine crétoise. Une tranche de pain complet fraîchement grillée au four, généreusement arrosée d’huile d’olive et saupoudrée d’origan et de sel, constitue un délicieux casse-croûte crétois.

En Crète comme ailleurs en Grèce, mais aussi au Moyen-Orient, la tradition veut que le repas débute avec le mezze. Il s’agit d’un ensemble de petits plats à picorer, un peu comme les tapas en Espagne. En Crète, on mange notamment des olives, du tzatziki ou encore des dolmas, ces feuilles de vignes farcies au riz.

Les fruits occupent également une place très importante sur l’île : la Crète produit de grandes quantités d’oranges, de mandarines, de melons, poires, figues, raisins, pêches et abricots, mais aussi des fruits plus exotiques tels que les bananes, avocats et kiwis, ainsi que les célèbres raisins crétois, connus sous le nom de Soultanina.   En Crète comme ailleurs en Grèce, mais aussi au Moyen-Orient, la tradition veut que le repas débute avec le mezze. Il s’agit d’un ensemble de petits plats à picorer, un peu comme les tapas en Espagne. En Crète, on mange notamment des olives, du tzatziki ou encore des dolmas, ces feuilles de vignes farcies au riz.

 Parmi quelques-uns des plats typiques, vous pourrez déguster des escargots (cochli) en guise de mezze, ébouillantés dans de l’eau salée ou frits puis lentement mijotés dans du vinaigre et assaisonnés de romarin.

 

 

 

Les Crétois adorent les escargots très savoureux de chez eux, mais ils savent les cuisiner de dizaines de manières différentes, préparant ainsi des plats de choix. Les associations avec du « chondros » (des grains de blé moulus), et des herbes son parmi les plus connues et on considère les escargots « boubouristi » frits comme un hors-d’œuvre d’exception.

Chondros 

 

 

 

Les ingrédients utlisés pour réaliser le chondros sont graines de blé grossièrement moulu, huile d’olive grecque …

Pour les escargots : escargots crétois, tomates séchées mixées, oignon, feuilles de laurier, huile d’olive, eau chaude, el de fleur crétois Agia Triada, poivre…

Dakos

 

 

 

 

Le dakos est probablement le plat crétois national. Il s’agit d’une biscotte d’orge ramollie dans de l’eau et trempée dans l’huile et de la tomate. Il est très digeste et extrêmement savoureux.

Le dakos grec est la salade crétoise traditionnelle à base de tomates et de croûtons, le tout enrichi de fromage mizithra.

Les ingrédients utlisés pour réaliser le dakos sont : grands paximadia (sorte de biscottes d’orge), tomates bien mûres, huile d’olive, mizithra, origan grec, sel, poivre et câpres ou olives noires…

Kouneli stifádo

 

 

 

 

Goûtez également au kouneli stifádo, mijoté avec de petits oignons, frits ou rôtis et servi avec des pommes de terre au four.

Les ingrédients utlisés pour réaliser le kouneli stifádo sontlapin, tomates, feuilles de laurier, vin rouge, huile d’olive, sucre, clous de girofle pilés, eau chaude, bâton de cannelle, oignons grelots, branche de romarin, piment de Cayenne en poudre…

Savoir vivre local : Au restaurant, on ne commande pas pour un individu, mais pour une tablée. De même, on ne paie pas l’addition individuellement. Ça ferait de vous des avares. On fait les comptes après !

 

 

L’Espagne

 

 

 

 

La cuisine espagnole procède, pour l’essentiel, de commande diète méditerranéenne. La diversité des régions et terroirs de l’Espagne en fait une cuisine très variée et réputée

Encore un pays qui puise la richesse de sa gastronomie dans son histoire. De nombreuses civilisations passées par l’Espagne ont en effet influencé sa cuisine. Les Phéniciens ont notamment laissé de nombreuses recettes de sauces, les Grecs ont fait découvrir la saveur de l’huile d’olive et les Romains, Carthaginois et Juifs ont intégré aux plats espagnols leurs propres ingrédients. Mais ce sont les Maures qui ont pendant plusieurs siècles marqué de leur empreinte la gastronomie espagnole. Ils ont notamment apporté des fruits et des noix qu’ils combinaient avec la viande ou le poisson, mais aussi le riz et les épices : safran, cannelle et noix de muscade, et le célèbre gazpacho.

Le gaspacho est un potage à base de légumes crus mixés servi froid, très répandu dans le sud de l’Espagne et le sud du Portugal.

 

 

 

 

Les ingrédients utlisés pour réaliser le gaspacho sont : tomates bien mûres, concombres petits d’Espagne, gousses d’ail, poivron vert, petits oignons frais, huile d’olive vierge, vinaigre de xérès, sel…

 Et bien sûr les tapas

 

 

 

 

 

Les tapas (nom féminin, tapa au singulier) sont des amuse-gueules d’apéritif dînatoire, ou de repas complet, traditionnels de la cuisine espagnole, généralement composés d’une riche variété de préparations gustatives à base de produits culinaires régionaux d’Espagne (charcuterie, fromages, poissons, crustacés, légumes, olives, huile d’olive…) accompagnés de bière, sangria, vins d’Espagne, ou boisson alcoolisée, présentés sous forme de choix de petits récipients et de petites tartines, chauds ou froids (une ración est une portion unitaire de tapa et une media ración une moitié de portion). Emblèmes de l’Espagne et de la culture espagnole, les tapas sont généralement dégustées à table, ou plus souvent debout, dans la célèbre ambiance conviviale, sociale et festive des restaurants, bars à tapas et bars à vin d’Espagne.

 

 

 

Il existe une multitude de tapas espagnoles ; toute recette culinaire espagnole peut devenir une tapa dès lors que la portion est de petite taille ; les plus communes sont :

 aceituna, olives marinées

ajo caliente (ail chaud), plat à base de tomate et de poivron

albondigas, boulettes de viande hachée

boquerones, anchois marinés ou frits

calamares a la romana, calmars frits

caldo gallego, potage de feuilles de navet, haricots blancs et lard

calamares, calmars marinés

callos con garbanzos, tripes aux pois chiches

chicharrones, rillettes

chocos, grands poulpes frits

choquitos, petits poulpes frits

chorizo, saucisse sèche piquante au paprika, coupée en tranches et servie froide

chorizo criollo, chorizo frais (cru)

croquetas, croquettes au poisson ou au jambon

empanada, pâté en croûte de grande taille coupé en petits carrés de 3 cm, par exemple au thon

empanadillas, pâté en croûte, éventuellement au thon, en part individuelle

ensaladilla rusa, salade de pommes de terre et macédoine de légumes à la mayonnaise

gambas al ajillo, crevettes frites à l’aïl

gambas en gabardina, crevettes panées frites, sans tête

garbanzos con espinacas, pois chiches avec des feuilles d’épinards, arrosés d’huile d’olive avec quelques lardons, plat servi chaud

jamón ibérico, appellation d’origine de jambons de montagne de porcs nourris exclusivement de glands, servis en chiffonnade

Jamón Serrano, marque commerciale d’un jambon transformé en altitude servi en chiffonnade

jamón y queso, jambon sec espagnol et fromage de brebis servis sur une tranche de pain ou sur un petit plateau (ración)

montaditos, tranches de pain avec garnitures de toutes sortes (jambon, tortilla, olives, saucisses, thon, etc.)

queso manchego, fromage de brebis de la Manche, région du Centre de l’Espagne

parrochas, petites sardines frites

patatas bravas, morceaux de pommes de terre frites à la sauce piquante

patatas fritas, pommes de terre frites

pimientos asados, poivrons marinés à l’huile d’olive et à l’ail

pimientos de padrón, petits poivrons verts (parfois piquants) revenus à l’huile d’olive

pulpo a la gallega, poulpe bouilli coupé en rondelles, à l’huile d’olive, saupoudré de paprika

rabas de calamares, calmar

revuelto de setas, œufs brouillés aux champignons

salpicón de marisco, macédoine de petits restes de fruits de mer, de poisson, de poivrons et d’oignons en vinaigrette

tortilla de patata, omelette de pomme de terre avec ou sans oignons

La découverte des Amériques a également grandement influencé la gastronomie, grâce aux produits rapportés de ces terres lointaines : tomate, vanille, chocolat, pois, pomme de terre.

 On ne peut envisager un séjour en Espagne sans songer à découvrir sa cuisine ! À commencer par les churros le matin au petit-déjeuner, accompagné d’un chocolat chaud bien épais.

 

 

 

 

 

 

 

Il faudra aussi se mettre «  à l’heure espagnole  ». Déjeuner entre 14 et 16h, dîner entre 21 et 23h. Les Espagnols aiment rester à table, plusieurs heures si le sujet de conversation les intéresse, c’est pourquoi les tapas sont aussi appréciées.

 

Savoir vivre local : En Andalousie, les tapas sont souvent servies gratuitement en accompagnement d’une boisson. Profitez-en !

 

 

L’Inde

 

 

 

 

 

 

 

La cuisine indienne recouvre une grande variété de cuisines régionales d’Inde. Elles sont influencées par les épices, herbes, fruits et légumes que l’on trouve dans chaque région du pays, mais également par la religion et l’histoire.

 

 

 

 

 

 

 

Ainsi, le végétarisme est très répandu dans la société indienne, majoritairement d’obédience hindoue, souvent résultat d’éthiques religieuses brahmaniques, jaïnes ou sikhes. La consommation de bovin ou de porc, de rapaces, etc est limitée par les interdits de l’hindouisme et de l’islam. En revanche, au moins 60% des indiens apprécient quelque sorte de viande que ce soit. La cuisine indienne est influencée par les interactions avec la Perse et la présence européenne dans le sous-continent.

La cuisine indienne s’est répandue dans le monde avec les migrations des Indiens, notamment dans l’océan Indien, l’Europe, l’Amérique du Nord et les Antilles où elle a été enrichie d’apports nouveaux.

Comme en France, en Inde, la cuisine est un art raffiné et très ancien. La gastronomie indienne est extrêmement riche. Elle se caractérise par la subtilité de ses mélanges, ses couleurs chaudes et sa délicatesse.

La diversité des ingrédients et des épices la rend extrêmement goûteuse. Pilées au mortier, les épices subliment en effet chaque plat : piment rouge et poivre, gingembre, cumin, cardamome, cannelle, muscade, clous de girofle, curcuma, safran, coriandre, feront valser vos papilles…

 

 

 

 

 

Une grande partie de la population indienne étant végétarienne, la cuisine indienne est l’une des plus riches du monde en plats de légumes et de fruits secs. Chaque région a sa propre technique de cuisson et ses assaisonnements en épices :

Aloo gobi

 

 

 

 

L’aloo gobi, aussi appelé alu gobi, ou aloo gobhi est un plat de curry indien « sec ». L’aloo gobi est constitué de pommes de terre et de chou-fleur agrémentés d’épices. Ce plat doit sa couleur jaune à l’utilisation d’épices telles que le curcuma, et peut contenir des feuilles de curry et des oignons.

Les ingrédients utlisés pour réaliser l’aloo gobi sont : pommes de terre pelées, gros oignon brun, tomates moyennes coupées, grossièrement, chou-fleur détaillé en fleurettes, ghee, graines de moutarde, poudre de cumin, curcuma moulu, garam masala, gousses ail écrasées, graines de coriandre écrasées, eau…

Curry de légumes à l’indienne

 

 

 

 

Rendez-vous en Inde avec ce délicieux curry de Légumes à l’Indienne aromatisé aux épices Garam Masala, au gingembre et au cumin, une explosion de saveur en bouche.

Les ingrédients utlisés pour réaliser le curry de légumes à l’indienne sont :  pois chiches en boite, oignon, gousses  ail, gingembre frais, riz complet, cumin en grains, graines de coriandre, garam masala, curcuma en poudre, tomates pelées et concassées, crème de coco, jeunes pousses d’épinard, huile d’olive, sel, poivre…

Dhal aux lentilles rouges

 

 

 

 

On prépare un dahl de lentilles corail, c’est un plat ultra réconfortant, très facile et rapide à préparer, qui va plaire à tout …

Les ingrédients utlisés pour réaliser le dhal aux lentilles rouges sont : lentilles corail, oignon jaune, gousses ail, gingembre frais,  tomates concassées, lait de coco, bouillon de légumes, pousses d’épinards, ghee, cumin moulu, coriandre moulue, graines de moutarde, curcuma en poudre, garam masala, citron jaune…

Bhajji aux oignons

 

 

 

 

Le bhajji aux oignons est un mets indien de type beignet d’oignon, qui peut se cuisiner d’après des milliers de recettes. On le sert habituellement comme garniture avec plusieurs mets indiens, mais il est devenu populaire comme mets unique.,

Les ingrédients utlisés pour réaliser le bhajji aux oignons sont : persil plat, ciselé, eau, jus de lime, oignons émincés finement, gousse d’ail, hachée finement,  gingembre haché finement, sel et poivre, farine de pois chiches, curcuma moulu, cumin moulu, coriandre moulue…

Paratha

 

 

 

 

Un paratha, parantha ou parauntha, est un pain plat indien qui contient de la graisse végétale. C’est l’un des pains les plus populaires des cuisines indienne, pakistanaise et afghane, entre autres. Le paratha peut être fourré de légumes ou simplement dégusté accompagné d’un chutney ou de yaourt.

Les ingrédients utlisés pour réaliser le paratha sont : farine de blé complet, farine de blé blanche, eau tiède, sel, huile de tournesol…

Tandoori

 

 

 

 

Dans le monde indien, le tandoori désigne un poulet cuit sur un four de pierre en feu.

Délicieuse accompagnée d’un riz à l’indienne, et d’une sauce au yaourt et aux herbes, il vous donnera l’occasion de faire voyager vos invités lors d’une soirée sur le thème de l’Inde aux notes et saveurs épicées.

Les ingrédients utlisés pour réaliser le tandoori sont belles cuisses de poulet, beau citron, yaourts natures,  mélange d’épices tandoori, gousses d’ail, huile d’olive, sel…

Halwa

 

 

 

 

Le halwa une spécialité indienne, est un étonnant dessert très sucré, pas vraiment diététique. Les halwas les plus connus sont préparés à base de semoule ou de carotte. Voici une recette un peu différente. Des amandes et des noix de cajou, revenues dans du ghee à l’arôme de noisette, sont ajoutées à des dattes cuites dans du lait sucré parfumé à la cardamome. Un délice.

Les ingrédients utlisés pour réaliser le halwa sont : dattes, amandes entières, noix de cajou, lait, ghee, sucre, capsules de cardamome…

 

Savoir vivre local : Ne pas finir son assiette en Inde si on ne souhaite pas être resservi dans la minute !

 

L’Italie

 

 

 

 

La cuisine italienne se caractérise par la variété des produits utilisés en Italie, ainsi que par une grande diversité régionale. Elle repose essentiellement sur le régime méditerranéen fait de produits frais, mais est aussi renommée pour sa production d’huile d’olive, de fromages, de charcuterie, de vins, de fruits et de desserts qui font partie des plus de 5 300 produits traditionnels régionaux.

En 2018, la cuisine italienne représente un chiffre d’affaires de plus de 200 milliards d’euros dans le monde.

Bienvenue au paradis de la gastronomie ! La gastronomie italienne puise ses sources dans l’empire romain. Aujourd’hui, elle joue un rôle prépondérant dans l’art culinaire mondial. C’est en effet l’une des cuisines les plus populaires au monde. Mijotée avec amour, elle tient une place importante dans la vie des Italiens qui aiment manger. Le repas à la mode italienne est vraiment une œuvre d’art.

Du minestrone au carpaccio, en passant par l’osso bucco et le tiramisu, les antipasti à base de pâtes, de tomates, d’aubergines et de fruits de mer, tout est bon et frais. La tomate, les anchois, les pâtes fraîches, le riz arborio et l’huile d’olive constituent une base indispensable de la cuisine italienne, mais ce sont les légumes frais et les herbes aromatiques qui la caractérisent réellement.

Les antipasti ou antipasto sont une assiette composée traditionnelle de la cuisine italienne. Ils sont servis en collation, apéritif, entrée ou hors-d’œuvre de repas, ou au dîner, généralement …

 

 

 

 

 

Les antipasti sont une spécialité de la cuisine italienne servie en début de repas, avant l’entrée. Ils sont composés de nombreuses préparations en portions réduites et, même si la moyenne est de 5 à 6 antipasti par repas, il n’est pas rare que dans une trattoria italienne, en particulier du sud, on vous sert de 12 à 15 antipasti différents.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Régalez-vous de fritures de poissons, de salades de poulpe et pommes de terre, de moules gratinées et de carpaccio d’espadon pour des antipasti de la mer. Du côté des antipasti de la terre, mozzarelline, ricotta et roquette, jambons crus, saucissons et boulettes de viandes frites feront votre bonheur.

Pâtes  italiennes

 

 

 

 

 

 

Il y a les pâtes bien sûr : longues, courtes, fourrées, torsadées… Aux oeufs, au safran, blé noir, au piment, aux épinards, au jus de betterave, à la tomate, aux champignons…

 

 

 

 

 

Spaghettis, cannellonis, tagliatelles, tonnarelli, fettucine, linguine, gnocchis, tortellinis …

Viandes  italiennes

 

 

 

 

 

 

 

Mais aussi : escalope milanaise, osso buco milanais, côte de boeuf florentine, et les sauces bolognaises, carbonara…

Charcuterie italienne

 

 

 

 

Sans oublier la charcuterie, salami, pancetta, bresaola, Prosciutto crudo, Coppa. Les jambons de Parme et de San Daniel sont les jambons les plus réputés parmi les connaisseurs !

 

Savoir vivre local : Le cappuccino, c’est uniquement le matin à l’heure de la « colazione » ! Et on n’oublie pas le plus important, adoptez l’attitude locale et buvez votre café au comptoir !

 

 

Le Japon

 

 

 

 

Le Japon possède une forte tradition culinaire et de nombreux rites associés à la consommation de nourriture. La cuisine japonaise repose sur le riz, le soja et les produits de la mer ; elle a été fortement influencée par les cuisines chinoise et coréenne, ainsi que par les cuisines occidentales, dont certains plats ont été adaptés aux goûts locaux.

Au quotidien, l’alimentation est rythmée par trois repas (matin, midi, soir), le repas le plus important étant celui du soir, et celui du midi souvent rapide et constitué de bentō. Si la boisson la plus répandue reste le thé, des sodas ainsi que de nombreux alcools (bière, saké) sont consommés. Le repas du soir peut d’ailleurs être l’occasion de manger à l’extérieur, de nombreux restaurants déclinant la cuisine locale mais aussi celles d’autres pays. À table, certaines règles sont à respecter pour rester poli.

La cuisine japonaise, réputée saine, équilibrée et diététique, mêle philosophie et traditions. Le repas familial japonais typique est toujours composé d’une soupe pour ouvrir l’appétit, de riz et de trois accompagnements (légumes et poisson généralement, viande surtout pour les repas de fête). C’est la règle du triangle. Il n’y a pas d’ordre pour manger, mais tous les plats doivent être finis en même temps.

On connaît surtout les sushis, les makis et les plats à base de riz, mais la spécialité la plus emblématique de la culture gastronomique japonaise est le ramen. Il s’agit de nouilles fines servies dans un bouillon bien chaud, au sel, à la sauce soja, au miso, et dans lequel on ajoute du porc, ou des fruits de mer, des légumes, de l’œuf, des oignons, du boeuf, etc. Bien sûr, comme bien des plats traditionnels nippons, on peut y trouver aussi des algues, des champignons et des épices.

Petit florilège de plats japonais :

Tempura : venus d’Occident

 

 

 

 

Le tempura est une sorte de beignet frit. On transforme toutes sortes de légumes en tempura : champignons (kinoko), racine de lotus (renkon), aubergine (nasu), kabocha (potiron japonais)… et également des crevettes (ebi) ou du poisson grillé. L’aliment est enrobé de pâte puis on immerge le tempura dans l’huile bouillante très rapidement pour que la friture soit légère et croustillante.

L’histoire raconte que la recette aurait été apportée du Portugal par les missionnaires jésuites venus au Japon au XVIe siècle.

 

Pâtes japonaises : Soba, Ramen, Udon

 

 

Les pâtes ou men en japonais sont très appréciées. Il existe trois grandes familles : les pâtes de sarrasin ou soba, les ramen pâtes chinoises à base de blé. Et enfin les udon qui sont également fabriquées à base de blé mais ont un diamètre plus important.

Udon

 

 

 

 

 

 

 Ramen précuites

 

 

 

 

 

 Soba

 

 

 

 

 

 

Gyoza

 

 

 

 

Le gyoza ou ravioli est le cousin Japonais du jiaozi Chinois. Ce ravioli en forme de demi-lune se consomme soit grillé gyoza yaki, soit  cuit vapeur puis servi dans un bouillon. Le gyoza est traditionnellement garni de avec une farce composé de chou, d’oignons verts, de gingembre et d’ail mélangés à de la viande de porc hachée. Aujourd’hui on trouve de nombreuses adaptations de cette recette : farces aux légumes, poulets, crevettes etc…

Un plat de ramen peut souvent s’accompagner de gyoza. On en commande également dans les izakaya ou on peut les acheter au supermarché et les cuire chez soi. Comme pour de nombreux plats japonais, il existe également des restaurants spécialisés en gyoza.

 Onigiri : le sandwich japonais

 

 

 

 

Quand un Français mange un sandwich jambon beurre pour le déjeuner, un Japonais achète un ou deux onigiri. Il s’agit d’une boule ou d’un triangle de riz cuit entouré d’une algue nori. Le riz peut être nature ou bien garni d’ingrédients plutôt salés : poisson cuit (thon, saumon etc), ikura ou mentaïko (oeufs de poisson), et parfois même légume ou omelette. On trouve également des yaki onigiri, c’est-à-dire grillés.

Les enfants japonais ont l’habitude de consommer des onigiri pour le goûter. Cette fois-ci l’onigiri sera plutôt garni de umeboshi une prune vinaigrée et salée. On achète des onigiri dans les konbini, les supermarchés, et dans les Onigiriya (magasins qui ne vendent que des onigiri).

 Yakitori

 

 

 

 

 

Les brochettes japonaises sont de petites brochettes de viandes de poulets grillées au charbon de bois. Et tout se mange ! Blancs, cuisses, ailes, mais aussi les abats : cœur, foie, cartilage, intestin, peau… Aujourd’hui on trouve aussi des brochettes de légumes : champignons, poireaux ou d’autres sortes de viandes.

Les Yakitori, littéralement « oiseaux grillés » sont particulièrement populaires auprès des japonais depuis les années 50. On s’accoude à un yataï (stand de rue) ou bien on les commande en « moriawasé » c’est-à-dire sous forme d’assortiment dans les izakaya.

O Sushi : le plat japonais par excellence

 

 

 

 

 

 

Parmi les plats typiques japonais, le sushi est probablement le plus connu au monde : une boule de riz vinaigré surmonté d’une lamelle de poisson cru, un délice ! 

 

 Donburi : un bol de riz garni

 

 

 

 

 

Le donburi est un plat très simple. Il s’agit d’un « grand bol » ou don de riz sur lequel on dépose la garniture de son choix. Il existe de nombreuses sortes de donburi, voici quelques exemples :

Tendon

 

 

 

 

:composé de tempura de légumes ou crevettes

Katsudon

 

 

 

 

: katsu signifie escalope de porc pané

Oyakodon

 

 

 

 

: littéralement « parents-enfants » est un mélange d’œufs et de morceaux de poulet déposé sur le riz.

Gyudon 

 

 

 

 

 

 : un bol de riz recouvert de lamelles de bœufs cuisinées avec des oignons.

Kaïsendon

 

 

 

 

 

: des sashimis (lamelles) de poissons sont déposées sur le riz.

Unagidon

 

 

 

 

: le don d’anguille (unagi) est sûrement un des donburi les plus raffiné.

Karé Raisu

 

 

 

 

 

Le karé rice est un plat en sauce, en quelque sorte une version revisitée du curry indien. « Karé » est la prononciation japonaise du mot curry. Il s’agit d’une sauce peu épicée à base de curry, d’oignons, de carottes, de pommes de terre et parfois de viande.

Le karé peut être servi  de nombreuses manières : sur du riz, avec un Katsudon (on le nomme alors katsukaré,)  en karépan : un pain garni de karé etc…

On peut facilement préparer un karé rice chez soi en utilisant les préparations instantanées vendues dans les supermarchés.

 Tonkatsu : porc pané

 

 

 

 

 

Le tonkatsu consiste en un morceau de porc pané avec de la chapelure panko, puis frit. Puis il est servi avec du chou blanc rappé finement, un bol de riz, une soupe miso et souvent quelques tsukemono (petits légumes marinés).

 

Savoir vivre local : Ne pas prendre soin de remplir le verre de ses invités à chaque fois qu’il est vide est considéré comme très grossier.

 

Le Liban

 

 

 

 

 

La cuisine libanaise fait partie de la cuisine levantine typique de la région du Levant ainsi que de quelques régions d’Irak, elle-même inspirée de la cuisine méditerranéenne, grecque, juive et arabe.

La cuisine libanaise a connu un grand succès dans le monde grâce à la diaspora libanaise. Elle est composée principalement d’entrées appelées aussi « mezés » riches en légumes et en épices, ainsi que de grillades.

Le mezza ou mezzé est un ensemble de plats variés, servis comme entrées sur une table libanaise, généralement à midi ou le soir, et qui sont suivis par le plat principal (qui peut varier de grillades de viande ou poulet, au riz avec du poulet). Il existe par ailleurs un très grand nombre de plats végétariens au Liban. Les assortiments de plats formant le mezzé sont consommés généralement par petites bouchées saisies à l’aide d’un morceau de pain libanais ou d’une fourchette.

En famille, il est formé de trois ou quatre mets, mais au restaurant, le mezzé peut aller d’une vingtaine à une soixantaine de plats, comme on peut le voir ci-dessous.

La gastronomie libanaise une expérience épicurienne mémorable. Extrêmement variée, fraîche colorée, délicate, elle est l’une des plus riches au monde. Elle utilise beaucoup de fruits et de légumes, de laitages (yaourt, fromage) et de céréales (blé, riz). La viande (l’agneau et quelquefois aussi le mouton) y occupe également une place de choix. Mais ce sont surtout les mezzés (taboulé, fattouche, hoummous, moutabal, labneh, fallafel, moussaka…) qui sont les grandes vedettes, en particulier auprès des visiteurs.

Le terme mezzé vient du persan « mazzé » qui signifie saveur. On utilise le même mot, de Grèce à l’Iran, en passant par la Turquie et le Liban, pour désigner ces petits plats dont chaque pays a ses spécialités.

Si on ignore l’origine exacte du mezzé, certains affirment qu’il serait né dans la plaine de la Békaa, considéré comme le grenier à blé du Levant. Ses terres fertiles ont permis aux Libanais de développer un art culinaire fin et varié, principalement végétarien. 

Les mezzés froids :

 

 

 

 

 

Taboulé libanais

 

 

 

Le plat national libanais. Totalement différent du taboulé à base de semoule que l’on connaît en France, cette salade est principalement composée de persil finement émincé et de petits dés de tomates, agrémentée de boulghour (blé concassé ) et de feuilles de menthe, généreusement assaisonnée de jus de citron et d’huile d’olive.

Hoummous  

 

 

 

 

Cette purée de pois chiche, mélangée avec du tahiné (crème de sésame) qui lui donne sa texture onctueuse, est un incontournable dont le Liban et Israël revendiquent la paternité. Arrosé d’huile d’olive, le hommos (ou houmous) est addictif. Il peut être accompagné de viande grillée ou de pignons de pin.

Moutabbal

 

 

 

 

 

Le moutabbal libanais est très proche du caviar d’aubergine que l’on sert en Grèce.

Fattouche

 

 

 

 

Cousine éloignée de la salade niçoise, la fattouche est notamment composée de pourpier, une variété de salade oubliée, agrémentée de petits morceaux de pain libanais grillé, et assaisonné de sumac, une épice orientale de couleur rouge au goût acide et poivré. 

Feuilles de vigne farcies

 

 

 

 

Les feuilles de vigne blanchies sont roulées autour d’une farce, qui peut être végétarienne, composée essentiellement de riz,  ou à base de viande. Bien rouler la feuille de vigne, qu’on appelle dolma en Grèce, demande un peu de dextérité et beaucoup de pratique.

Les mezzés chauds :

 

 

 

 

 

Kebbé

 

 

 

 

 

Le kebbé est une boulette de viande croustillante en forme de torpille, faite de viande hachée mélangée au boulghour, elle-même farcie de viande hachée agrémentée de pignons. On les déguste aussi bien nature qu’accompagné d’une sauce au yaourt grec. Le kebbé a sa variante végétarienne.

Samboussek

 

 

 

 

Les samboussek sont des petits chaussons, frits ou grillés, farcis au fromage ou à la viande.

Soujouk

 

 

 

 

 

 

 

Originaires du Caucase, les soujouk, ces petites saucisses très épicées, frites ou grillées, qui peut rappeler la merguez, sont généralement assaisonnées de jus de citron, d’une sauce au sumac ou d’un sirop de grenade.

Foul

 

 

 

 

Le foul est un mezzé rustique, composé de fèves longuement mijotées, assaisonné d’ail, d’huile d’olive et de jus de citron.

Sur la table, il y a toujours un gros plateau de légumes à croquer (salade, choux, navets, radis, poireaux, carottes, menthe à tige carrée). Pendant le repas, ou à la fin, il est courant de fumer le narguilé (la pipe à eau) dont la fumée, douce et parfumée, embaume le restaurant. Le tabac est souvent aromatisé au miel et aux fruits.

Les repas sont copieux et c’est souvent au moment où les convives sont rassasiés que le (ou les) plat(s) principal arrive. Pour «  faire de la place  », rien de tel qu’un bon café libanais, noir et intense, ou un café blanc, une boisson transparente additionnée de fleur d’oranger.

 

 

 

 

 

Savoir vivre local : Si vous invitez vos amis, cela fait très chic d’aller discrètement régler la note, d’autant plus chic si les convives ne s’aperçoivent de rien.

 

 

Le Maroc

 

 

 

 

La cuisine marocaine est une cuisine méditerranéenne caractérisée par sa variété de plats issus principalement de la cuisine berbère, avec des influences arabes, juives et andalouses.

Malgré ses traits communs avec les cuisines des autres pays nord-africains, la cuisine marocaine a su conserver son originalité et ses spécificités culturelles uniques. En 2015, elle a été classée deuxième cuisine au monde par le site britannique Worldsim.

La cuisine marocaine a subi de multiples influences : berbère, arabo-andalouse et juive. On note également une influence asiatique.

La cuisine marocaine reflète l’histoire du pays et les différentes populations qui s’y sont installées. Le tajine vient des Berbères ; ceux-ci ont apporté les dattes (qui aident à rompre le jeûne de Ramadan), le lait, les céréales, le pain, les amandes, les fruits et les herbes. L’invasion arabe a apporté les épices, les fruits secs, les noix ainsi que les combinaisons aigres-douces ; les Maures ont introduit les olives, son huile et les agrumes tandis que les Juifs ont notamment partagé leurs techniques de conservation comme ceux des citrons confits ou des cornichons, sans oublier les Britanniques qui, au XVIIIe siècle, ont importé le fameux thé ni les colons français qui ont laissé derrière eux une culture de cafés, de pâtisseries et même de vinification.

Mais les deux grandes empreintes de la cuisine marocaine restent en fait l’influence arabe et andalouse – arabe en ce qui concerne les m’qalla, m’hammar et m’aammar, et andalouse pour ce qui est m’jammar, harira, pastilla et pour tout le reste.

La cuisine marocaine est le reflet même de son histoire et des différentes populations qui ont vécu sur ses terres. Elle provient d’un savoir-faire ancestral qui se transmet de génération en génération par le geste et la parole. Sa particularité est de ne pas être figée dans des livres de recettes.

Les plats principaux :

 Couscous

 

 

 

 

 

Les ingrédients utlisés pour réaliser le couscous royal marocain sont : poitrine d’agneau, os à la moelle, carotte, navet, courgette, potiron, chou, pois chiche, grosse boîte de tomate pelée, curcuma, paprika, gingembre frais, Ras el Hanout, coriandre, cuisses de poulet, épices poulet, merguez boeuf-mouton, gros oignon, semoule moyenne pour couscous, raisins sec bruns, harissa…

Tajine

 

 

 

 

Un tajine ou tagine ou tadjine désigne tout autant un plat de cuisson et de service, large et peu profond surmonté d’un couvercle conique en terre cuite parfois vernissé qu’une préparation culinaire cuite dans cet ustensile.

Différents tajines :

Tajine de Daurade aux Poivrons
Tajine de Pageot à la coriandre
Tajine d’Agneau aux Courgettes
Tajine de Coquelets aux figues fraiches
Tajine d’agneau aux artichauts
Tajine Makfoul aux petits oignons
Tajine d’Agneau aux Pruneaux et Amandes
Tajine de Perdreau aux petits oignons
Tajine d’Agneau aux Aubergines
Tajine de courgettes farcies
Tajine de Kefta
Tajine d’artichauts farcis
Tajine d’agneau aux topinambours
Tajine d’artichauts et petits pois
Tajine au Gombos
Tajine berbère
Tajine de choux fleur
Tajine d’agneau aux fèves et artichauts
Tajine d’oeufs de poisson aux fèves et poivrons
Tajine d’agneau aux truffes blanches -Terfass
Pieds de veau au blé
Tajine de boeuf aux patates douces
Tajine d’agneau aux pruneaux et aux amandes
Pied de veau aux haricots blancs- Loubia
Tajine d’agneau aux raisins et aux amandes
Tajine de cervelle à la tomate
Tajine d’agneau aux dattes
Tajine d’abats au citron- Tkalwa
Tajine de Boeuf aux citrons confits
Tajine de navets aux patates douces
Tajine de potiron aux raisins secs…..et bien d’autres encore …01

 

Tajine de boulettes de kefta aux oeufs à la marocaine

 

 

 

 

 

On continue notre virée au Maroc, avec tajine de boulettes kefta à la marocaine ou un tajine kefta aux œufs. Un plat populaire et très apprécié pour sa simplicité.

La cuisine marocaine est très parfumée, savoureuse, relevée par toutes ses épices odorantes que l’on aime à découvrir. Elle possède l’art et la manière de nous proposer des recettes (même les plus simples) habilement préparées et goûteuses.

Les ingrédients utlisés pour réaliser le tajine kefta aux oeufs sont :
Pour les boulettes de viande : viande hachée (bœuf), oignon finement émincé, gousse d’ail écrasée, cumin, poivre noir, gingembre, paprika, sel, coriandre et persil ciselés…

Pour la sauce : boite de tomates pelées, oignon moyen émincé, gousses d’ail, cumin, poivre noir, sel, piment fort (selon les goûts), bouquet de coriandre fraîche ciselée, concentré de tomate, paprika, huile d’olive, œufs…

Rfissa

 

 

 

 

 

Voilà un plat typiquement marocain , el rfissa , généreux et savoureux .
Le rfissa est un plat marocain à base de msemmen (crêpe maghrébine), d’un bouillon d’oignons, de gingembre, de coriandre, de safran, de ras al hanout, de viande de poulet et de l’indispensable fenugrec (halba en arabe) qui lui procure sa saveur unique.
Ce plat est resté depuis des siècles dans les traditions marocaines.

Cette spécialité marocaine est aussi souvent préparée à l’occasion d’une naissance afin de permettre à la mère de retrouver ses forces.
En effet, il favoriserait la montée du lait maternel car la rfissa est très nourrissante et rassasie rapidement. ( Wikipédia )

El rfissa est réalisée en plusieurs parties :
– D’abord la réalisation des msemens, une sorte de carrés feuilletés avec farine ou un mélange farine et semoule fine.
-Et la réalisation d’un succulente sauce avec du poulet et de lentilles et l’indispensable halba ( fenugrec, qui a la particularité d’ouvrir l’appétit ).

 Les ingrédients utlisés pour réaliser le  rfissa sont : poulet fermier, oignons émincés, curcuma, gingembre, ras el hanout, pistils de safran pur, sel & du poivre, bouquet de persil et de coriandre, huile d’olive, huile de tournesol, beurre rance (smen), lentilles, fenugrec, eau…
Pour servir : farine, sel, eau, h
uile de tournesol pour le feuilletage et la cuisson…

 

 

 

Mrouzia

 

 

 

 

 

 

 

 

La mrouzia, ou m’assal à Rabat, est un plat du Maroc constitué d’un tajine sucré-salé au mouton ou à l’agneau, accompagné d’amandes et souvent de raisins secs. Il est populaire également en Tunisie, particulièrement au Cap Bon. La mrouzia tunisienne diffère par les épices utilisées et les fruits secs rajoutés.

Les ingrédients utlisés pour réaliser le tajine kefta aux oeufs sont : épaule d’agneau,  ras el hanout, gousses d’ail, cannelle, miel, safran, huile, raisins secs sans pépins, smen, sel…

 Tanjia

 

 

 

 

 

La tangia, tanjia ou tanjiat, est un plat traditionnel de la cuisine marocaine souvent associé à la ville de Marrakech. Ce plat est surtout préparé par les hommes

Si vous ne connaissez-pas encore, la tanjia une délicieuse spécialité à base de viande d’agneau marinée cuite dans un pot en terre, sur la braise pendant des heures !
Ce plat typique de Marrakech est INCROYABLE.

Et comme on n’a pas tous un pot en terre cuite sous la main et des heures pour cuisiner… 

Les ingrédients utlisés pour réaliser la tangia sont :  morceaux d’agneau européen (gigot, collier ou épaule), petit citron confit de Marrakech, tête d’ail, sel, cumin, pistils de safran, huile d’olive, smen…

 Grâce à son microclimat, le Maroc offre des produits de qualité. La cuisine marocaine est composée de produits peu coûteux qui expriment toute leur valeur dans de subtils mélanges pour donner des mets de choix. Salades crues ou cuites, purées froides de légumes, plats sucré-salé, avec de la viande et du poisson, assaisonnés de cannelle, safran, gingembre ou coriandre, pâtisseries à la fleur d’oranger et au miel, servies généralement avec un thé à la menthe, se déclinent ainsi en de multiples recettes parfumées et colorées.

Cuisine de rue ou gastronomique, elle intéresse fortement les chefs étoilés de tous les pays. Mais c’est la cuisine de rue qui plaît aux touristes.

Marrakech est d’ailleurs la destination gastronomique numéro 1  

 Le Mexique

 

 

 

 

 

La cuisine mexicaine (a ne pas confondre avec les cuisines indigènes) est considérée comme très variée de par son héritage préhispanique (des indigènes de Mésoamérique) et européen (principalement espagnol), conséquence de la conquête espagnole de l’empire Aztèque au cours du XVIe siècle. Elle a aussi connu l’influence des cuisines africaines, caraïbéennes, asiatiques et moyen-orientales. La base traditionnelle de cette cuisine est le maïs, ainsi que d’autres aliments d’origine autochtone comme le haricot, l’avocat, la tomate, la dinde, les cacahuètes, la vanille et le piment, accompagnés de riz, transporté par les Espagnols. Les Européens ont amené avec eux un grand nombre d’aliments parmi lesquels les plus importants sont les viandes d’animaux domestiqués (bœuf, porc, poulet, chèvre et mouton), les produits laitiers (en particulier le fromage), et diverses herbes et épices.

Extrêmement riche, la cuisine mexicaine mêle les saveurs indigènes aux influences européennes, africaines et caribéennes reçues au coeur de son histoire. Les produits d’origine autochtone comme le maïs, le haricot, l’avocat, la tomate et le piment sont donc souvent cuisinés avec des aliments venus d’ailleurs et notamment la viande, les produits laitiers ainsi que certaines épices. Aspect important de la culture et des traditions locales, la cuisine traditionnelle mexicaine a d’ailleurs été inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO en 2010.

Si la cuisine mexicaine est aujourd’hui très régionalisée en raison des conditions locales, vous retrouverez les grands classiques un peu partout dans le pays :

Chilaquiles

 

 

 

 

 

 

 

 

Les chilaquiles est un plat typique mexicain à base de tortillas et de sauce verte ou rouge. On peut l’accompagner de crème fraiche, de fromage frais, de poulet et d’oignons.

Les chilaquiles sont des morceaux de tortillas de la veille que l’on cuit ou que l’on frit, puis que l’on enrobe d’une sauce à base de tomate, de poivrons, …. et que l’on sert avec des haricots rouges ou noirs cuits.

 Les ingrédients utlisés pour réaliser les chilaquiles sont : tomates, poivrons, ail, oignons, haricots rouges ou noirs cuits, cébettes, coriandre, oeufs, sirop d’agave, sel, huile d’olive, piment…

Enchiladas

 

 

 

 

 

Les enchiladas sont un plat traditionnel mexicain, très populaire dans leur pays d’origine mais aussi partout dans le monde. Il s’agit de galettes de tortillas de maïs, fourrées d’un mélange de viande (ou non), de légumes, d’épices, et parfois même de haricots noirs, ainsi qu’une sauce à base de piments. Ces dernières sont ensuite recouvertes de fromage puis glissées au four avant d’être servies bien chaudes, accompagnées pourquoi pas, de guacamole maison, par exemple. Customisables à l’infini, les enchiladas constituent le repas idéal pour les tables nombreuses. Elles sont faciles à cuisiner et peuvent également être préparées la veille puis conservées au réfrigérateur.

 Les ingrédients utlisés pour réaliser les enchiladas poulet sont : gousse d’ail, oignon, blancs de poulets, poivron, tomates, huile olive, citron vert, gingembre moulu, paprika, cumin, origan, piment, tortillas, cheddar râpé…

Quesadillas

 

 

 

 

 

Une quesadilla (de l’espagnol queso, qui signifie « fromage ») est un antojito (en-cas) que l’on trouve au Mexique et dans toute l’Amérique centrale et dans la cuisine tex-mex.

La quesadilla est un plat épicé traditionnel de l’Amérique Centrale, fait à base de tortillas et de cheddar. Remplacez notre traditionnel sandwich jambon-beurre par cette spécialité venue d’ailleurs. Des épices et des couleurs, direction le Mexique !

 Les ingrédients utlisés pour réaliser les quesadillas poulet sont :  escalopes de poulet, champignons blancs, oignons verts, poivrons rouges, cheddar râpé, tortillas de blé, sauce salsa, huile de colza, sel fin et poivre noir du moulin…

Tacos

 

 

 

 

 

Un taco est un antojito de la cuisine mexicaine qui se compose d’une tortilla de maïs repliée ou enroulée sur elle-même contenant presque toujours une garniture le plus souvent à base de viande, de sauce, d’oignon et de coriandre fraiche hachée. Les tacos se mangent généralement sans couverts, avec les doigts.

Les tacos sont l’un des plats les plus représentatifs de la gastronomie mexicaine. Ces petites merveilles de tacos mexicain s’exportent aujourd’hui partout dans le monde. Mais, si presque toutes les personnes connaissent le goût onctueux des tacos mexicain, peu d’entre elles connaissent vraiment leur histoire ! Découvrez ici nos meilleurs recettes, notre avis sur les différentes versions, ainsi que nos recommandations sur où les déguster, en France, et au Mexique !

 Les ingrédients utlisés pour réaliser les tacos sont

Tortillas pour tacos : boeuf haché, oignon, piment rouges, boite de haricots rouges, maïs égoutté, feuilles de salade, huile d’olive, sel, poivre

Tamales

 

 

 

 

 

Le tamal est une papillote amérindienne préhispanique. Le tamal est un nom générique donné à plusieurs plats américains d’origine indigène. Il est généralement cuit à la vapeur, enveloppé dans des spathes de maïs, feuilles qui protègent l’épi de la même plante de maïs.

Délicieux, les tamales sont l’un des symboles de la Street-food mexicaine et des restaurants du Chiapas. Accompagné d’un bon café, les nombreuses versions de ce mets d’Amérique à base de farine, de viande ou de légumes à la vapeur et de feuilles de bananiers ou de maïs est la base de la cuisine de nombreuses mères mexicaines, surtout pendant la période des fêtes et lors des célébrations nationales, comme le jour de l’indépendance.

Les tamales sont des sortes de papillotes de maïs très répandues dans toute l’Amérique latine, et à l’histoire multilinéaire. Faciles à transporter dans leur emballage de feuilles de maïs, c’était la version précolombienne du sandwich !

 Les ingrédients utlisés pour réaliser les tamales sont:

Pour le poulet : cuisses de poulet, avec les os, oignon, petites gousses d’ail, sel…

Pour la sauce : piments séchés « guajillo », oignon, petites gousses d’ail, huile…
Pour la masa : farine « maseca » (farine de maïs nixtamalisée), saindoux ou de graisse végétale ou d’huile, levure chimique…
Pour les tamales : feuilles de maïs séchées…

Tostadas

 

 

 

 

 

Le mot tostada peut faire référence à une tortilla de maïs frite, au Mexique et en Amérique centrale, ou à des toasts en Amérique du Sud.

Les tostadas sont des petites tortillas croustillantes à garnir et à dévorer avec plein de gourmandise. Voici des tostadas à la mexicaine, avec du poulet épicé cuisiné avec maïs, tomate et cheddar, gratinées au four et servies avec une salade verte au maïs. C’est un régal !

 Les ingrédients utlisés pour réaliser les  tostadas sont:  mini tortillas, blancs de poulet, maïs en conserve, égoutté, mélange d’épices (paprika, piment de Cayenne, coriandre, ail séché en semoule, origan, cumin, girofle..), coulis de tomates, cheddar râpé, huile d’olive, cassonade, vinaigre de vin rouge, salade, sel, poivre  …   

sans oublier

Pan dulce

 

 

 

 

 

Pan dulce est le nom général d’une variété de pâtisseries mexicaines. Le pain a été introduit au Mexique par les colones et les immigrants espagnols , mais le pain sucré mexicain tel que nous le connaissons aujourd’hui est devenu populaire pendant l’ occupation française au milieu du XIXe siècle . Ce sont des sucreries bon marché et on les mange au petit-déjeuner et/ou au dîner

Au Mexique, les variétés de pain faites avec du sucre ou un autre édulcorant sont connues sous le nom de pansucré , pain sucré , pain biscuité ou pain au sucre . Le pain sucré se distingue par la raison pour laquelle il est un dessert, par sa préparation et sa présentation finale d’autres pains tels que les birotes, teleras et bolillos , et le pain en boîte.

 Les ingrédients utlisés pour réaliser les  pan dulce sont: 

Pour la pâte: sucre, paquet de levure sèche, eau tiède, shortening végétal, sucre, oeufs, sel, farine…

Pour le nappage: shortening (corps gras utilisé dans la fabrication des biscuits pour les rendre croustillants.), sucre en poudre, sucre granulé, farine, extrait de vanille, colorant alimentaire…

Pastel de tres leches

 

 

 

 

 

Gâteau aux trois laits. Le « tres leches » est un grand dessert classique de la cuisine mexicaine et latino-américaine, Il peut surprendre par sa texture. Le gâteau est complètement imbibé de sauce au lait, et a donc une consistance très humide.

Le tres leches est un dessert qui peut surprendre par sa texture. Le gâteau est complètement imbibé de sauce au lait, et a donc une consistance très humide que plusieurs apprécient, et que d’autres n’aiment pas.

Vous pouvez diminuer le volume de sauce, ou encore omettre totalement cette dernière.

Les ingrédients utlisés pour réaliser le pastel de tres leches sont :  beurre fondu refroidi, farine tout-usage, poudre à pâte (levure chimique), sel, gros oeufs, sucre, gousse de vanille, rhum ambré…

Pour la sauce aux 3 laits : lait condensé sucré, lait évaporé (condensé) non-sucré, lait entier, rhum ambré…

Pour la chantilly : crème è fouetter 35% , sucre, gousse de vanille…

Garnitures: copeaux de chocolat, fruits frais, billes de sucre argentées etc… 

Le Pérou

 

 

 

 

 

La gastronomie péruvienne désigne les plats et techniques culinaires péruviens est parmi les plus diversifiées au monde, comme en témoigne le fait qu’elle aurait le plus grand nombre de plats au monde (491). Cette richesse vient de trois sources : la particularité géophysique du pays, le mélange des ethnies et des cultures et l’adaptation de cultures millénaires à la cuisine moderne.

La cuisine péruvienne est l’une des cuisines les plus importantes au monde et un exemple de cuisine fusion, en raison de sa longue histoire multiculturelle, qui repose sur le mélange des connaissances culinaires de l’ancien Pérou – avec ses propres techniques et ragoûts – avec la cuisine hispanique dans sa variante la plus fortement influencée par 762 ans de présence andalouse dans la péninsule Ibérique, et avec une contribution importante des coutumes culinaires apportées de la côte atlantique de l’Afrique subsaharienne par les esclaves.

Par la suite, ce mélange a été influencé par les us et coutumes culinaires des chefs français qui ont fui la révolution dans leur pays pour s’installer, en grand nombre, dans la capitale du vice-royaume du Pérou. L’influence des migrations du 19e siècle, qui comprenaient des Chinois-Cantonais, des Japonais et des Italiens, entre autres populations principalement européennes, était tout aussi importante.

Lima, la capitale du Pérou, est reconnue comme la capitale gastronomique des Amériques. L’une des raisons pour lesquelles elle est ainsi appelée est qu’elle accueille le plus important festival alimentaire d’Amérique latine, la Foire gastronomique internationale de Lima, plus connue sous le nom de Mistura

Si la cuisine péruvienne est peu connue en France, le Pérou a pourtant été nommé à deux reprises meilleure destination gastronomique du monde par WTA (récompense la plus prestigieuse de l’industrie du tourisme à travers le monde), en 2012 et en 2013. Le pays est en pleine modernisation. Les jeunes de condition très modeste étudient aujourd’hui pour devenir cuisinier, et préfèrent souvent la cuisine au foot ! La cuisine péruvienne s’ouvre de plus en plus à de nouvelles saveurs. Elle est totalement innovante et très moderne.

Influencée par une histoire mouvementée qui date d’avant la civilisation Inca, la cuisine péruvienne est très riche. C’est, paraît-il, celle qui compte le plus de plats au monde.

Ceviche

 

 

 

 

 

 

 

 

Le ceviche, ou plus rarement céviché est un plat partiellement présent dans la gastronomie d’Amérique hispanique, sur les côtes du Pacifique, mais aussi de l’Atlantique.

Les ingrédients utlisés pour réaliser le ceviche, sont :  cabillaud extra frais, citrons verts, rocoto (ou Tabasco), oignon rouge coupé en lamelles, feuilles de coriandre, cancha (maïs grillé), sel, poivre
2 cuillères à soupe rases de dés de patate douce (préalablement cuite à la vapeur)

Le ceviche est bien sûr la spécialité emblématique du Pérou, mais ce n’est pas la seule : citons par exemple :

Aji de gallina

 

 

 

 

 

Le Aji de gallina, ou poulet au piment, est une crème épaisse à base de chair de poulet déchiquetée cuite dans du bouillon et du pain trempé. C’est une recette typique de la cuisine péruvienne.

C’est un plat de pauvre à l’origine, son histoire veut que son élaboration remonte à l’époque de la colonisation du Pérou. Les gens riches aimaient la viande de poulet et la consommaient en quantité. Les pauvres ramassaient les os jetés et enlevaient le reste de la viande, en ajoutant du pain et des condiments, ce qui donna le aji de gallina.

Les ingrédients utlisés pour réaliser le Aji de gallina sont : blancs de poulet, oeufs, poireau, branche de céleri, oignon, gousses d’ail, piment aji amarillo, boîte de lait concentré non sucré, tranches de pain de mie, riz, noix de pécan, parmesan, persil, huile d’olive…

Lomo saltado

 

 

 

 

 

Le lomo saltado est un mets ancien typique de la cuisine péruvienne. Il est apparu vers le milieu du XIXᵉ siècle à l’époque du début d’influence des Chinois cantonais et mélange la cuisine péruvienne avec la cuisine orientale. La base en est l’émincé de filet de bœuf.

Les ingrédients utlisés pour réaliser le lomo saltado sont : aloyau de boeuf, oignon rouge, tomates, gousses d’ail, huile végétale, sauce de soja, vinaigre, bouquet de coriandre fraîche, piment aji Amarillo séché,…

Chupe de camarones

 

 

 

 

 

Le chupe de camarones, une recette typique du Pérou originaire de la région d’Arequipa. Le breuvage qui se sert bien chaud peut être relevé par un piment de type aji amarillo. On dit que la recette est même aphrodisiaque !

Les ingrédients utlisés pour réaliser le chupe de camarones sont : écrevisses fraiches, huile, oignon haché, gousses d’ail hachées, tomate hachée sans peau ni pépins, bouillon de poisson, riz, pommes de terre blanches, épluchées et coupées en deux, haricots verts, chou râpé, potiron en cubes de 2 cm, hashé huacatay (est une herbe aromatique péruvienne caractéristique de la Cuisine Andine. Extrêmement aromatiques, les feuilles de Huacatay ont un parfum particulier, capiteux, agréable et une saveur fraîche qui ressemble à celle de l’anis, de la menthe et du basilic. Cette plante a des propriétés stimulantes …), oeufs, lait cuit à la vapeur, fromage frais râpé, sel et poivre au goût…

Ragoût au cuy

 

 

 

 

 

Dans les Andes centrales, le cochon d’Inde, ou Cuy comme on le nomme au Pérou en référence à son couinement, domestiqué il y a près de cinq mille ans, est considéré comme un mets de choix. Dans la cathédrale de Cuzco, l’ancienne capitale de l’Empire Inca ainsi que dans le monastère San Francisco de Lima, des tableaux datant de la période coloniale dépeignent le Christ et ses apôtres se régalant d’un plat de Cuy rôti. Le rongeur est d’ailleurs quasiment toujours réservé au menu des jours de fête dans les Andes.

Préparé de plusieurs façons, depuis l’époque de l’empire inca, il est le plus souvent présenté grillé, avec de l’ail, des épices et du sel. Beaucoup de protéines et très peu de gras, voilà un aliment qui a de l’avenir!

Les ingrédients utlisés pour réaliser le ragoût au cuy sont : cuy, gousses d’ail, oignon rouge, ciboulette, poivron, cumin, sel…

Pour la sauce : viscères de cochon d’Inde, lait, oignons blancs, noix de coco grillées, achiote (épice), sel, cumin…

Pollo a la brasa

 

 

 

 

 

Le pollo a la brasa, pollo asado, poulet noirci ou poulet au charbon de bois, est une variété de poulet rôti spécialement associée à la cuisine du Pérou. Il a été développé au Pérou dans les années 1950 par des immigrants suisses au Pérou.

Les ingrédients utlisés pour réaliser le pollo a la brasa sont : poulet entier, sel de cuisine, eau, bière noire, cumin, poivre noir fraîchement moulu, brins de romarin, feuilles d’origan, gousse d’ail…

…le piment farci, les salades multicolores, le riz aux fruits de mer les tripes à la péruvienne au curcuma.

Et pour les desserts, des alfajores, des puddings aux fruits, des beignets à la patate douce et de bonnes glaces.

Savoir vivre local :  Si vous êtes dans un restaurant et que votre commande dépasse votre appétit, le garçon vous proposera peut-être d’emballer le plat pour l’emporter. C’est normal. Et bien que le pourboire soit compris dans la note, il est d’usage d’en laisser un sur la table.

    

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