Florilège gourmand préparations culinaires

Un Tour du Monde des Plats Emblématiques

Spread the love

Après avoir rédigé un article sur les plats emblématique de France .

J’ai pensé aux diverses découvertes gustatives faites lors de mes voyages de plusieurs mets typiques des pays que j’ai visité, ou dans divers restaurants.

J’ai eu envie de décrire les plats emblématiques de  pays où j’ai séjourné , à découvrir :

 

 

Ajiaco

Ajiaco

L’ajiaco est une soupe à base de plusieurs variétés de pomme de terre de Colombie.

Bien que l’ajiaco colombien moderne ne contienne pas d’ ají, il est probablement dérivé de plats indigènes plus épicés.

Bien que plusieurs régions de Colombie aient leurs recettes propres, la plus connue est l’ajiaco santafereño, qui tire son nom de Santa Fé de Bogotá (ancien nom de Bogotá),  où c’est une tradition culturelle.

Elle contient généralement des morceaux de poulet, de gros tronçons d’épi de maïs, deux ou trois types de pommes de terre indigènes (de minuscules papas criollas qui se délitent et épaississent la soupe, et lui donnent sa couleur caractéristique jaune foncé ; des sabanera cireuses ou des pastusa douces), et du guasca (Galinsoga parviflora), herbe aromatique sauvage commune dans toute l’Amérique qui donne au plat une partie de son goût typique.

La soupe est généralement servie avec de la crème épaisse, des câpres et de l’avocat, le tout mélangé juste avant d’être consommé dans les proportions préférées de chacun. L’ajiaco est si consistant qu’il est habituellement considéré comme un plat complet.

Dans la cuisine colombienne hautement régionale, c’est le plat le plus représentatif de Bogotá.

Asado

 

asado

 

 

Un asado (grillade ou rôtissage) est une technique culinaire pour cuire un aliment cru. Le processus de cuisson consiste à l’exposer au feu ou à de l’air chaud, et à l’enduire, parfois, de graisse ou de n’importe quel autre liquide convenant, même si le terme désigne en général les viandes cuites par exposition au feu.

 L’ asado est quasiment le « plat national » de l’Argentine, du Chili, du Paraguay et de l’Uruguay, du territoire à l’Est de la Bolivie et au Sud du Brésil,  c’est pourquoi on le prépare de façon quasi rituelle, très différemment d’un simple barbecue.

Il existe des « asadores » (personnes spécialisées dans l’art de cuisiner un asado) pratiquement autodidactes professionnels. Ils veillent entre autres à ce que la viande ne cuise pas trop vite.

Dire d’une viande qu’elle est « arrebatada » c’est dire qu’elle est trop cuite en dehors mais qu’elle est crue à l’intérieur. Un asado « arrebatado » est typique d’un mauvais asador ou d’un asador improvisé.

En effet, on préfère en général la viande bien cuite ou à point. Pour cela, on dispose en général la partie la plus graisseuse du côté des braises ; de cette façon, on obtient une meilleure cuisson.

 L’ asado est généralement accompagné par de la salade, par exemple de laitue, oignon, tomate et œufs durs, en fonction de la coutume du pays, agrémentée par du vinaigre de vin et de l’huile.

Bacalhau com natas

Bacalhau com natas

Bacalhau com natas (littéralement «morue à la crème») est un plat emblématique de la cuisine portugaise.

Il s’agit d’un plat au four constitué de couches de bacalhau, l’oignon , les dés de frites de pommes de terre et crème.

L’utilisation de produits laitiers comme la crème ou du fromage n’est pas commun, mais la popularité de ce plat dans les ménages et les restaurants en font un classique.

Biltong

biltong

Le biltong est un type de viande séchée typique de la cuisine de l’Afrique du Sud, mis au point par les Afrikaners pour survivre lors du Grand Trek.

Le biltong est le plus souvent préparé à partir de viande de bœuf. D’autres viandes telles que la viande d’autruche ou de springbok ou de zèbre sont aussi utilisées. Pour être de bonne qualité le biltong est foncé et sec à l’extérieur.

Les ingrédients les plus couramment employés dans la fabrication du biltong sont le vinaigre, le sel, la coriandre, le poivre noir et le sucre ou la cassonade.

Sont souvent ajoutés traditionnellement le vinaigre de cidre ou le  vinaigre balsamique ou vinaigre de malt, le chili, l’ail, le bicarbonate de soude, l’oignon en poudre et le salpêtre.

Généralement, la viande est marinée dans une solution de vinaigre durant quelques heures.

Le salpêtre est un conservateur optionnel qui est utilisé essentiellement pour du biltong qui ne sera pas congelé par la suite.

Ensuite on laisse la viande reposer pendant plusieurs heures et on retire le maximum de liquide avant de la sécher.

Bryndzové Halusky

Le bryndzové halušky (soit en français: quenelles de pommes de terre au fromage de brebis bryndza et bacon)  est l’un des plats nationaux de la Slovaquie.

Ce mets copieux composé de halušky (morceaux de pâte de pomme de terre bouillie ressemblant à des gnocchis ou plus précisément à des spätzles) et de bryndza (fromage de brebis à pâte molle), éventuellement complété de lardons fumés est traditionnellement accompagné de Žinčica (boisson fermentée au lait de brebis).

Globalement, le résultat est à la fois frais, consistant et goûteux.

Une fête annuelle du bryndzové halušky se déroule à Turecká au cours de laquelle on retrouve un concours du plus gros mangeur.

Bùn bò

BUN BO

Le bún bò  soit vermicelles pour bún,  est un plat  représentatif de la cuisine vietnamienne.

Il est composé de vermicelles de soja, de germes de soja, de bœuf sauté aux oignons, de concombre en julienne, d’oignons frits séchés, de menthe fraîche, de coriandre longue, ainsi que de cacahuètes non salées, broyées.

L’huile qui a servi à faire frire les oignons est versée sur l’ensemble.

Canard laqué

canard laqué

Le canard laqué  est une recette de cuisine traditionnelle de Pékin. Il est un des symboles national de la Chine.

Le canard est dit laqué pour sa peau luisante après avoir été rôti.

Le canard laqué est préparé à la cour impériale de Chine de la Dynastie Ming qui règne sur la Chine entre 1368 et 1644. Le canard était alors rôti dans un four à bois fermé.

Étant devenu le plat favori de l’empereur Qianlong et de l’impératrice Cixi.

canard laqué1

Traditionnellement, la peau du canard laqué est coupée et présentée en lamelles. Dans une variante occidentale, ce plat est servi avec la peau et la chair découpées en fines tranches trempée dans de la sauce épaisse à base de farine de blé fermentée. Elle est également servie roulée dans des petites crêpes avec un tronçon d’oignon vert et de concombre.

Le tout est suivi d’un bouillon préparé à partir de la carcasse et d’un légume conservé dans du vinaigre, son arrière-goût un peu sur est considéré comme un bon accompagnement pour un plat un peu gras au goût fort.

La préparation du canard de Pékin laqué commence dès la naissance de l’animal. Il est engraissé par gavage pendant deux mois puis égorgé des qu’il pèse environ 3 kilos. Il est ensuite gonflé d’air sous la peau, vidé de ses entrailles, ébouillanté, enduit de miel et séché.

Lors du rôtissage, la chair du canard est cuite de l’intérieur par vaporisation d’eau bouillante.

 Enfin, le canard rôti est suspendu dans une pièce bien aérée et laissé à refroidir. Une fois prêt, le canard a une couleur de datte, sa viande est tendre et sa peau croustillante et sucrée.

 Carbonade flamande ou carbonnade flamande

carbonade

La carbonade flamande ou carbonnade flamande, est un mets typique de la Belgique. Le bœuf bourguignon est d’ailleurs une sorte de cousin de ce plat, à la différence que la bière remplace le vin.

La carbonade flamande consiste à couper en morceaux de la viande de bœuf, de porc ou de cheval, et à la faire cuire, avec de la bière ( par tradition, une bière brune belge ) et des oignons.

Elle est parfois préparée avec du pain d’épice et un peu de cassonade.

Ceviche

ceviche

Le ceviche est un plat de fruits de mer marinés dans une sauce acide qui «cuit» le poisson jusqu’à ce que la chair soit tendre et prête à être dégustée.

Le ceviche est le plat de référence du Pérou.

Il est fait à partir d’une sauce unique appelé leche de tigre, (petit jus dans lequel baigne le ceviche. C’est un mélange à la fois acide, piquant et salé, avec jus de lime, tranches d’oignon, aji (piment péruvien), c’est le côté « caliente » de assaisonnement.

Ce poisson « cuit » dans le jus de citron est ensuite servi accompagné de patate douce, du manioc, de maïs, les pommes de terre et les poivrons le tout sur une feuille de salade.

 Congri

congri

Le congri est un plat principal cubain. Il est composé de riz et de haricots noirs préparés ensemble dans une même casserole.

À Cuba, on les laisse tremper toute une nuit dans une casserole pleine d’eau, ce qui facilite la cuisson.

On les prépare dans une cocotte minute, tout d’abord pour les ramollir, puis on ajoute les épices pour le goût: de l’ail écrasé, du piment haché, des feuilles de laurier, de l’origan, du cumin et du poivre.

Enfin, on verse le riz dans les haricots et on laisse cuire 25 min environ à feu très doux.

Couscous

couscous

Le couscous est un plat culte nord-africain d’origine berbère.

Couscous désigne aussi les granules sphériques obtenues par agglomération de semoule de blé dur, celles-ci pouvant être fines, moyennes ou grosses.

Le plat de base consistait en l’association du couscous et des pois chiches  mais sans viande, la légumineuse jouant ce rôle.

Aujourd’hui, le couscous est habituellement servi avec de la viande et un ragoût de légumes et autant de recettes que de familles.

Dal Bhat

dal bhat

Le dal bhat, littéralement « riz aux lentilles », est le plat emblématique du Népal.

Il est composé de riz blanc (bhat) et d’un bol de soupe aux lentilles (dal). Les femmes le préparent dès 5 heures du matin. On le mange tous les jours, 2 fois par jour vers 11 h 00 et vers 17 h 00.

Il est agrémenté d’un curry de légumes et parfois d’un mélange d’achards.

La viande étant peu accessible et non traditionnelle, il est généralement végétarien. Les protéines présentes dans les lentilles en font toutefois un plat équilibré.

On le mange avec la main droite sans couverts. Il est toujours servi à volonté, et on ne peut pas refuser de se faire resservir au moins une fois même si on n’a plus faim.

Dolma ou sarma

dolma

Dolma provient du verbe dolmak « se remplir » en turc. Le mot dolma veut dire tout simplement « farci », « plein », « rempli ».

Sarma vient du verbe sarmak qui veut dire « emballer », « entourer » en turc.

Quand les feuilles des légumes (feuilles de vigne, chou, poirée) sont utilisées pour préparer le dolma, ce plat est aussi appelé sarma.

La célèbre feuille de vigne farcie au riz ou au boulghour avec ou sans viande, appelée aussi sarma, yaprak sarması en Turquie mais plus connue sous le nom de dolma.

Elle peut se manger froide mais peut aussi  se manger chaude comme plat principal.

La farce utilisé pour les dolmas à l‘huile d’olive comprend du riz, des arachides, du poivre noir, du sel, de la poudre de cannelle, de la menthe, du persil, des fruits secs (raisin ou figue) et une grande quantité d’oignon.

Le dolma sans viande est aussi appelé yalancı dolma en turc, ce qui veut dire « faux dolma ». C’est une appellation de l’époque ottomane. Les Ottomans pensaient que le dolma devait contenir de la viande.

Le dolma peut être un mézé ou bien un plat principal en Turquie.

Escalope à la viennoise ou escalope viennoise

escalope vienoise

L’escalope à la viennoise ou escalope viennoise est un mets traditionnel de Vienne en Autriche, constitué d’une fine tranche de viande de veau enrobée de chapelure et frite. Ce mets serait originaire de Milan.

Cette pièce de viande est  souvent servie avec une tranche de citron, de la confiture et soit de la salade de pommes de terre soit des pommes de terre avec du persil et du beurre.

Cette préparation serait apparue à Vienne au cours des XVe  –XVIe siècle mais la première mention connue du terme Wiener Schnitzel se trouve dans un livre de recette praguois de 1831.

Selon une autre théorie qui relève sans doute de la légende, il a été présenté par le maréchal Radetzky en 1857, qui aurait passé une grande partie de sa vie à Milan.

Feijoada

feijoada

La feijoada est un plat très populaire au Brésil, à base de haricots noirs (feijão : haricot en portugais), de riz et de viande de porc.

Servie souvent le mercredi et le samedi au restaurant, elle est l’occasion de réunions familiales et de rassemblements d’amis.

D’un coût peu élevé, elle est appréciée par toutes les classes sociales.

La viande salée et la viande séchée, ainsi que les diverses parties du porc (queue, oreilles, peau, pattes, os...) sont cuits ensemble. Les haricots noirs sont cuits à part.

Puis le tout est mélangé dans un grand bouillon avec des herbes afin qu’un échange de saveurs s’effectue. La viande et les haricots sont ensuite séparés (ou non) à nouveau avant d’être servis.

Le riz blanc, les haricots et la viande sont servis séparément et mélangés dans l’assiette.

Au Brésil, le plat est accompagné d’oranges coupées en tranches et de farofa (farine de manioc mise à revenir dans un peu d’huile de palme avec du bacon coupé en petits dés et/ou oignons émincés, dés de tomates et des herbes à volonté).

La caipirinha, cocktail à base de cachaça, de citron vert et de sucre de canne, est servie pendant le repas.

Guacamole

guacamole

Le guacamole,  « avocats écrasés » est un des plats renommés du Mexique, le guacamole ne contient jamais d’épices et est toujours à base de produits frais, les avocats sont écrasés mais pas réduits en purée.

Cette préparation est faite à base d’avocat, de piment frais, de coriandre fraîche, d’oignons, de tomates, de jus de lime  et de sel.

Elle sert d’accompagnement à de nombreux plats.

Hamburger

hamburger

Un hamburger,est un sandwich composé de deux pains de forme ronde (bun) garnis de viande hachée et généralement de crudités, salade, tomate, oignon, cornichon (pickles), fromage et de sauce.

C’est un plat typique de la restauration rapide, emblématique de la cuisine américaine.

Hamburger fait référence à la ville de Hambourg, en Allemagne.

La recette a probablement été importée sur le sol américain par des immigrés allemands vers le milieu du XIXe siècle. Il s’agissait à l’origine d’un steak servi avec un accompagnement de sauces.

Kabsa

Le kabsa est un mets traditionnel d’Arabie Saoudite à base de riz et de viande de mouton ou de poulet, et d’un mélange d’épices particulier (cumin, coriandre, cannelle, cardamome, clou de girofle).

Les ingrédients nécessaires pour préparer le kabsa sont : riz long grain, tomate, oignons, cuisses de poulet, raisins secs blonds, amandes effilées, pignons, pistaches, bâtons de cannelle,  feuilles de laurier, clous de girofle, coriandre moulue, cardamome moulue, paprika, noix de muscade râpée, sel, beurre, huile d’olive

 Kassler ou kasseler

kassler

Kassler ou kasseler dans la cuisine allemande est le nom donné à un morceau de viande  de porc salé, légèrement fumé puis saumuré .

Il peut être chaud ou froid. Il est souvent servi avec choucroute et purée de pommes de terre.

Katsudon

Le katsudon est un mets de la cuisine du Japon qui consiste en un bol de riz chaud surmonté de tonkatsu : une tranche de porc d’abord panée, puis cuite avec un œuf battu.

Le mot katsudon est un mélange des mots japonais tonkatsu et donburi, bol de riz.

Chez les étudiants japonais, la tradition est de manger un katsudon le soir avant un examen. La cause en est que le verbe japonais « katsu » que l’on entend dans katsudon signifie « gagner » ou bien « réussir ».

Les ingrédients nécessaires pour préparer le katsudon sont : dashi, mirin, sauce de soja, sucre, oignon, oignon vert, œuf et un grand bol de riz rond cuit.

Khatchapourri

Le khatchapourri  est une spécialité culinaire très populaire en Géorgie.

Le khatchapourri consiste en une pâte à pain aplatie ou en forme de chausson, farcie d’un fromage au lait de vache local nommé soulougouni.

Il en existe de nombreuses variantes, traditionnellement nommées selon la province dont la recette est originaire; d’autres ingrédients entrent alors dans la recette comme diverses sortes de fromages (parfois fumés), du yaourt, de l’œuf, des haricots voire des abats de bœuf.

Il en existe même une forme dans laquelle la pâte à pain est remplacée par des couches de pâtes alimentaires. Les khatchapourri industriels, enfin, sont généralement préparés avec une pâte feuilletée.

La forme la plus conventionnelle du khatchapouri est certainement l’Imérouli (recette originaire de l’Imérétrie) : de la pâte à pain recouverte de beurre fondu et farcie de fromage.

Une autre forme très répandue est l’adjarouli (de l’Adjarie, région côtière) : la pâte à pain est cette fois disposée en demi-cercle avec les bords relevés (ce qui lui donne une forme de barque ou de bateau) pour en garnir le centre de fromage et d’un œuf, avec, à nouveau, beaucoup de beurre.

Il existe bien d’autres variétés de khatchapouri mais garnis avec d’autres farces (viande, pommes de terre, fromage, etc… ) .

Kimchi

kimchi

Le kimchi  est un mets traditionnel coréen composé de piments et de légumes  trempés dans de la saumure pendant plusieurs semaines jusqu’au développement d’une acidité. 

 À l’origine, le mot kimchi signifiait légume submergé.

Il s’agit d’un des aliments de base en Corée, accompagnant souvent les plats de ce pays, notamment sous forme de banchan.

Les ingrédients les plus courants du kimchi sont le chou chinois, les radis comme le daïkon, l’ail, le piment rouge, l’oignon blanc frais, les crevettes fermentées ou autres fruits de mer, le gingembre, le sel et le sucre.

Le kimchi, en dépit de la quantité de sel employée, les saveurs des différents ingrédients restent perceptibles.

Köttbullar

köttbullar

Les köttbullar, au singulier, köttbulle, que l’on traduit en français boulettes de viande sont une recette traditionnelle de Suède.

Elles sont préparées à partir de viandes hachées de bœuf et de porc, puis malaxées avec des épices (piment de la Jamaïque, sel, oignons, …), ainsi que de la panure, du lait et des œufs. Les boulettes sont ensuite cuites au four, ou à la poêle.

Ce plat se mange généralement accompagné de purée et de confiture d’airelles.

Kranjska Klobasa

La Kranjska Klobasa est une petite saucisse originaire de Slovénie, faite à partir de petits morceaux de fromage et de morceaux de viande de porc dont du bacon.

La Kranjska Klobasa est cuite dans l’eau froide, portée à ébullition, puis laissée reposée pendant 10 minutes, que sa température interne atteint environ 72 ° C. Elle est dégustée de préférence  avec du raifort râpé  avec des frites, ou de la choucroute ou du navet aigre.

Mloukhiya

La mloukhiya est un des grands classiques de la cuisine d’Égypte.

Elle est dégustée telle quelle à la cuillère, en trempant son pain dedans, ou encore mélangée à du riz aux vermicelles. Il s’agit d’un plat très populaire composé d’un ragoût de boeuf ou d’agneau cuisiné dans une sauce riche à base de corète potagère ou jute rouge. Il existe plusieurs recettes pour préparer ce plat, qui peut être aromatisé avec de la menthe séchée réduite en poudre par exemple, de l’écorce d’orange séchée en poudre voire de l’écorce de grenade séchée et pilée.

La mloukhiya était généralement préparée par superstition pour célébrer le premier jour du calendrier musulman afin que la nouvelle année soit « verte », c’est-à-dire prospère et pleine de bonheur. Mais elle n’est aujourd’hui plus uniquement réservée aux jours de fête et est consommée au quotidien.

Pour la petite touche historique, la mloukhiya serait une lointaine cousine de l’antique épinard sacré de l’Égypte antique (mlouk signifie « roi »).

Son goût est proche de celui de l’oseille.

Les ingrédients nécessaires pour préparer la mloukhiya sont : mloukhiya, soupe de poulet, lapin, oignon bien râpé, tomates, gousses d’ail, beurre, sel

Mole de caderas

mole de caderas

Le mole de caderas (ragoût de hanches) est un plat traditionnel de la région de Tehuacán au Mexique, dans l’état de Puebla.

Il s’agit d’une sorte de sauce mole préparée à base de viande de bouc. Le mole de caderas est l’un des plats les plus importants de la région, du fait du temps et du soin apportés à l’élevage et la préparation de l’animal (dont toute la viande sera consommée), et de la célébration du Festival de la Matanza (Festival de l’Abattage) qui marque le début des sacrifices des animaux d’élevage alimentaire.

Le mole de caderas est préparé avec la viande et les os de la hanche, mijotés dans un bouillon avec des haricots verts, divers condiments salés, et des piments.

Pour obtenir le goût fort caractéristique de ce mole, les animaux sont élevées durant un an dans les pâturages du nord de Oaxaca, où ils se nourrissent exclusivement d’herbe sauvage et de sel, et sont privés d’eau.

Moussaka

moussaka

La moussaka est un plat traditionnel des Balkans et du Moyen-Orient mais le plus souvent associé à la Grèce ou la Turquie, composé d’aubergines, d’oignons et de viande hachée de mouton.

Le mot moussaka vient de l’arabe, signifiant « frais », parce qu’elle est ainsi servie dans le monde arabe.

La version grecque et moderne du plat, datant de 1910 et due au cuisinier Nikolaos Tselementes, est la plus connue en dehors de la région; elle consiste traditionnellement en des couches de viande de mouton hachée, des tranches d’aubergines et de tomate, recouverts d’une sauce blanche et mis au four.

Nasi lemak

nasi lemak

Le nasi lemak est un mets typique de la cuisine de Malaisie.

En malais, nasi lemak veut dire, littéralement, « riz dans la crème ».

On prépare le nasi lemak en faisant bouillir du riz dans du lait de coco. Souvent, on ajoute des feuilles de pandanus dans la mixture bouillante de façon à donner plus de parfum au plat ; on peut aussi ajouter du gingembre et de la citronnelle.

Traditionnellement, ce plat est servi avec des rondelles de concombre, des anchois séchés, des cacahuètes rôties, des légumes marinés. On peut aussi l’accompagner de viande, surtout de poulet.

Le nasi lemak se consomme aussi bien au déjeuner qu’au dîner. On le sert soit dans une assiette, soit emballé dans une feuille de bananier à laquelle on donne une forme pyramidale, pour l’emporter.

Pabellón criollo

Le pabellón criollo est une spécialité culinaire du Venezuela.

Le pabellón criollo se compose de viande de bœuf effilochée, de riz blanc et haricots noirs, le tout couvert de fromage demi dur de vache.

Il est parfois accompagné de tranches de banane plantain frites. Ce plat est en fait une combinaison de 3 à 4 préparations distinctes. Certaines versions du pabellón criollo incluent aussi un œuf frit.

Les Vénézuéliens appellent la version avec bananes plantains pabellón con barandas (barrières) car les bananes plantains placées sur le cote sont supposées éviter que les autres aliments ne tombent de l’assiette.

Les ingrédients nécessaires pour préparer le pabellón criollo sont : hampe ou de la bavette de bœuf, fromage demi dur de vache, riz blanc, haricots noirs branches de céleri,  carottes,  oignon,  poivron rouge, gousses d’ail, sauce Worcestershire, cumin, sauce tomate, huile d’olive, sel, poivre…

Pad thaï

Phat Thai

Le pad thaï  est un plat traditionnel thaï à base de pâtes très apprécié et très consommé dans toute la Thaïlande. Son nom signifie littéralement « friture de style thaïlandais ».

Le pad thaï est l’un des plats thaïlandais les plus connus hors du pays. Il est devenu le plat national de la Thaïlande suite à la récession économique qui a touché le pays après la Seconde Guerre mondiale.

Pour réduire la consommation de riz, le gouvernement, sous l’impulsion de son Premier ministre Phibunsongkram, a lancé une campagne pour la production de pâtes de riz en en distribuant la recette à travers tout le pays.

Pour la recette traditionnelle, il faut faire sauter des nouilles de riz à la poêle à feu vif avec des œufs, diverses graines germées, du tofu émietté, des haricots jaunes et des crevettes grillées trempées dans de la sauce nuoc-mâm. Le tout est servi avec une sauce sucrée à base de citron vert.

En Thaïlande, il est servi avec un morceau de fleur de banane fraîche à côté.

Paëlla

paella

La paëlla du catalan paëlla, poêle à frire, est un plat à base de riz rond d’origine valencienne et qui tire son nom de la poêle qui sert à la cuisiner.

C’est le plus connu des plats de la cuisine espagnole, il naquit, en effet, au XVIIIe siècle dans l’ Horta de Valence.

Les paysans de la région accommodèrent à leur manière le riz de la lagune voisine de l’ Albufera.

Après la guerre civile espagnole, le pays voulant, pour développer le tourisme, trouver un plat emblématique national, Franco choisit la paëlla pour plusieurs raisons : le riz peu coûteux, les accommodements faciles et surtout les couleurs du plat (rouge du poivron et de la tomate, jaune du riz safrané) reprennent celles du drapeau espagnol.

La paëlla peut intégrer d’autres ingrédients : côtelettes de porc coupées en cubes, poisson, seiche, calmar, crustacés (gambas, langoustines), mollusques (moules), et autres fruits de mer, ou être cuisinée uniquement avec des légumes (paella végétalienne), dans de multiples variations.

Pirojki

pirojki

Les pirojki, au singulier pirojok sont des sortes de petits pâtés en croûte de la taille d’une bouchée, d‘origine russe cuits ou frits que l’on peut servir en entrée ou en accompagnement. Ils peuvent être remplis de viande hachée (bœuf), de fromage ou de légumes (pommes de terre) finement coupés.

Pizza

pizza

La pizza est un plat d‘origine italienne fait d’une pâte à pain étalée et de coulis de tomate, recouverte de divers ingrédients et cuite au four .

La pizza est un des mets de la cuisine italienne qui s’est établi presque partout dans le monde, souvent en s’adaptant aux goûts locaux.

Jusqu’à l’introduction de la tomate (un des principaux ingrédients de la pizza actuelle) en Europe et à son utilisation en cuisine à la fin du XVIIe siècle, la dite «pizza» d’alors n’avait aucun rapport avec celle d’aujourd’hui.

Poulet tandoori

poulet tandoori

  Dans le monde indien, le tandoor désigne un four en terre.

Le poulet tandoori est un des plats typiques indien, les recettes font souvent état d’un mélange d’épices : curry, gingembre, cumin, piment de Cayenne et de yaourt servant de marinade à la viande de poulet coupée en morceaux.

Ce qui donne au plat ses couleurs rouge-orangé. Une fois mariné, le poulet est donc cuit au four.

Dans la plupart des restaurants indiens, le poulet tandoori est servi accompagné de citron coupé ou non en rondelles et d’oignons fraîchement coupés.

Poutine

poutine

La poutine est un mets d’origine québécoise constitué de frites et de fromage en grains (cheddar frais) que l’on recouvre généralement d’une sauce brune.

Son origine n’est pas connue précisément et il en existe de nombreuses variantes : différentes sauces, fromages, ajout d’autres ingrédients…

Plusieurs endroits précis se disputent l’origine de la poutine .

La poutine trouve son origine dans le Québec rural des années 1950, elle est depuis devenue populaire partout au Québec

Raclette

raclette

La raclette est un plat valaisan typique obtenu en raclant une demi-meule de fromage fondu à sa surface par la proximité d’une source de chaleur, celle-ci étant à l’origine et traditionnellement un feu de bois.

La raclette  est un fromage à base de lait de vache, à pâte pressée non cuite d’origine du canton du Valais en Suisse, souvent appelé Tilsit.

La raclette est accompagnée de pommes de terre en robe des champs, de cornichons, de petits oignons et du Fendant comme boisson.

Les premières mentions de « fromage rôti », un plat se consommant dans les régions montagneuses de Suisse, remontent au XIIIe siècle. C’est à partir de 1909, lors de l’Exposition Cantonale de Sion, que le fromage rôti prend le nom de raclette, mais ce mot est déjà employé en 1875.

Rakfisk

Le rakfisk est un plat traditionnel de l’est de la Norvège composé de truite, ou parfois omble. Le poisson est salé et fermenté de deux à trois mois puis mangé cru.

Le rakfisk est fait de truite ou omble frais évidé, d’abord mariné dans du vinaigre une demi-heure, puis égoutté. On bourre ensuite l’intérieur du poisson de sel et une pincée de sucre pour accélérer un peu la fermentation.

D’habitude, on met plusieurs poissons ainsi préparés dans un seau ou autre récipient hermétique, pour ensuite fermer le récipient et faire pression dessus avec un objet lourd. La température doit rester stable à environ 4°C (ou au minimum 8 °C).

Après deux jours, il faut ouvrir le récipient pour voir si assez de saumure s’est produite pour couvrir entièrement le poisson ; si ce n’est pas le cas, il faut ajouter de la saumure (40 g de sel par litre d’eau). Le rakfisk est ensuite laissé dans le récipient pendant deux ou trois mois.

Passé cette période, on peut sortir le rakfisk pour le mettre dans de la saumure fraîche et ainsi décélérer le processus de fermentation.

On mange le rakfisk cru uniquement. Il est généralement servi en tranches ou en filet avec de l’oignon rouge cru, du lefse (pain traditionnel norvégien composé de pomme de terre, lait ou crème fraîche, et farine, le tout cuit sur plaque chauffante)…

de la crème aigre (sour cream), et des pommes de terre dites « amande ».

Rendang

rendang

Le rendang est un plat originaire du pays Minangkabau en Indonésie .

Le rendang est généralement fait de bœuf ou parfois de poulet, de mouton, de buffle d’eau, de canard ou encore à base de légumes ou de fruits comme le fruit du jacquier ou le manioc.

Cette base est lentement cuite dans du lait de coco avec des épices pendant plusieurs heures, le temps que le liquide s’évapore et que la viande ait absorbé les condiments.

Parmi les épices utilisées, il peut y avoir le gingembre, le galanga, le curcuma, la citronnelle et le piment.

Si la viande est du poulet ou du canard, du tamarin peut être utilisé.

Sarmale ou sărmaluțe ou encore varză umplută

Les sarmale ou sărmaluțe ou encore varză umplută sont un mets traditionnel roumain et moldave.

Il s’agit d’un chou farci ou encore d’une paupiette de chou, composé d’une feuille de chou aigre de type choucroute farcie avec de la viande hachée de porc et du riz mélangé avec des légumes, des oignons, des champignons et des herbes aromatiques comme la sarriette ou l’aneth.

Les sarmale sont traditionnellement cuits empilés dans un pot en terre cuite dans un mélange de bouillon de borș et de sauce tomate. Une sauce brune appelé rântaș à base de farine et d’oignons, est souvent ajoutée à la fin de la préparation.

Les sarmale sont généralement servis chauds avec un bol de smântână (crème fraîche) accompagné de mămăligă ( bouillie de farine de maïs).

En Moldavie, il n’est qu’un plat parmi d’autres, mais en Roumanie, il a acquis le statut de plat national au point de devenir l’objet de fantasmes historiques, mythologiques, nationalistes et nutritionnels.

Les ingrédients nécessaires pour préparer le sarmale ou sărmaluțe ou encore varză umplută  sont : riz rond, oignon, sauce tomate, choux ou de feuilles de vignes, botte de persil, sel, poivre, cube de bouillon de poule…

Soused Herring

Le soused Herring est aux Pays-Bas, le premier hareng de la saison prêt à être consommé. Le hareng est mariné dans un liquide de conservation à base de cidre, de vin, de sucre et d’herbes ou épices.

Le soused Herring est un hareng cru imbibé d’un doux liquide de conservation . Il peut s’agir de hareng cru dans un pickle doux de vinaigre ou un hareng haché néerlandais .

En plus du vinaigre, la marinade peut contenir du cidre, du vin ou du thé, du sucre, des herbes ( habituellement la feuille de laurier ), des épices ( habituellement de la menthe ), de l’oignon haché.

Les ingrédients nécessaires pour préparer le soused Herring  sont : petits harengs, nettoyés et désossés, sel et poivre, oignon, grains de poivre, feuilles de laurier, tiges de persil, vinaigre de malt, eau…

Stamppot

stamppot

Le stamppot est un plat traditionnel néerlandais fait d’un mélange de purée de pommes de terre et d’un ou plusieurs autres légumes, et parfois aussi de bacon.

Les légumes d’accompagnement sont traditionnellement la choucroute, les endives, le chou frisé, ou un mélange carottes et oignons .

Il est généralement servi avec des saucisses ou des viandes en sauce. Le stamppot peut être acheté déjà préparé dans le commerce. Il peut également être commandé dans les brasseries et restaurants.

Le stamppot se prépare en faisant bouillir les légumes et les pommes de terre séparément. Ensuite, les pommes de terre sont ajoutées aux légumes dans un même récipient et l’ensemble est complètement écrasé. Certaines personnes ajoutent à ce mélange une compote de pommes soit pour en modifier le goût, soit pour le rendre plus moelleux.

Une rookworst (saucisse fumée) est la viande préférée pour accompagner ce plat.

  Sushi

sushi1

Le sushi est un plat traditionnel japonais composé d’un riz vinaigré qui est habituellement du poisson cru ou des fruits de mer.

C’est, hors du Japon, un des plats emblématiques de la cuisine japonaise, alors que sa consommation n’est qu’occasionnelle au Japon.

Il existe plusieurs types de sushi les plus répandus sont les :  nigirizushi, les makizushi,les chirashizushi.

Taboulé libanais

taboulé lib

Le taboulé libanais est constitué surtout de persil et de très peu de boulghour fin et brun (blé complet) .

Avant l’introduction de la tomate au Liban, le taboulé était préparé avec beaucoup de persil plat, de menthe fraîche, d’oignons blancs, d’un peu de boulghour brun, de jus de citron et d’huile d’olive avec une pincée de sel. Jusqu’à ce jour, certaines familles le préparent de cette façon traditionnelle et servent les tomates en dés, à part ou sur le mélange.

La popularité du taboulé est due au fait que ses ingrédients se trouvaient aussi bien dans les potagers et celliers des riches que des pauvres. Il leur permettait ainsi d’avoir leur ration quotidienne de « légumes frais » sans trop de dépenses. Le taboulé s’est répandu bien au delà des frontières libanaises pour devenir une des salades les plus populaires du Proche-Orient, du monde arabe ainsi qu’à Chypre et en Arménie

Il est un des plats principaux composant le mezzé libanais.

Tajine ou tagine

tajine

Le tajine ou tagine , désigne, d’une part, un ustensile de cuisine traditionnel du Maghreb, plat de cuisson creux en terre cuite parfois vernissée, surmonté d’un couvercle conique, et d’autre part, une préparation culinaire du Maghreb , cuite dans cet ustensile, sorte de ragoût cuit à l’étouffée, qui peut être composé de mélange de viande, de volaille ou de poisson, de légumes ou de fruits et d’épices.

Le tajine est, par tradition, un plat familial et convivial. L’assemblée se dispose, assise sur de petits bancs, autour du plat, posé sur une table basse. Le couvercle est enlevé et chacun pioche directement dans le plat avec trois doigts: l’index et le majeur retiennent un morceau d’une galette de pain mise à disposition pour chacun des convives, le pouce ramène l’aliment sur le pain avant de porter le tout à la bouche. Les doigts ne doivent pas toucher le reste du plat.

Plat emblématiques du Maghreb, le tajine est une de ces recettes qui se transmettent de mère en fille.

Varenyky

 

Les varenyky est le plat national de l’Ukraine.

Ressemblant à des raviolis, ils sont plus volumineux et très similaires aux pierogi (leur équivalent polonais). Leur farce est constituée de pomme de terre.

Il existe en revanche de nombreuses déclinaisons : fromage, champignon, chou, voire plusieurs combinaisons entre eux, où même des fruits pour des varenyky sucrés.

 En Ukraine, ce plat est toujours préparé frais.

Wat ou wet

Wat ou wet

Le wat ou wet est un type de ragoût commun en Éthiopie et en Érythrée.

Il est habituellement à base de légumineuses, de divers légumes ou de viandes telles que le poulet, le bœuf ou l’agneau et assaisonné d’un mélange d’épices et de beurre, ou de bérbéré.

Le wat est servi sur l ‘injera, une crêpe faite à base de teff.

‘injera  est une sorte de grande crêpe caractéristique de la cuisine éthiopienne, .

Sa fabrication nécessite d’utiliser une farine faite à base d’une céréale locale : le teff blanc, rouge ou noir.

Xiǎolóngbāo

Un xiǎolóngbāo appelé shoronpo en japonais est une variété de raviolis originaire de Shanghai, Chine, contenant un hachis de viande (parfois de légumes) et de la soupe emballés dans une raviole de pâte de blé. Ils sont cuits à l’étuvée.

Leur nom signifie littéralement:  sac, à l’étuve. On les trouve, entre autres, dans les restaurants du Sud de la Chine, avec les dim sum, raviolis à la vapeur de Canton.

À l’intérieur du xiǎolóngbāo, se trouvent de petites poches de bouillon gélatiné fabriquées à base de poulet, de porc et de jambon cuit.

Yorkshire pudding

Yorkshire Pudding

Le Yorkshire pudding est un plat originaire du nord de l’Angleterre, peut être du Yorkshire, mais son origine précise est inconnue.

Sa popularité s’étend aujourd’hui bien au-delà de cette région. Contrairement à la grande majorité des puddings britanniques, le Yorkshire pudding n’est pas un dessert, même s’il peut occasionnellement être servi avec de la confiture ou une boule de glace.

Confectionné à partir d’une pâte à base de lait, d’œufs, de farine et de sel, il accompagne traditionnellement le plat principal. Le Yorkshire pudding se marie particulièrement bien avec un rôti de bœuf, du poulet, et plus généralement avec tous les plats en sauce. Le jus de viande est en effet considéré par les Anglais comme son accompagnement idéal.

Quand il est mangé en entrée, le Yorkshire pudding s’accompagne d’un jus fait à base d’oignons. On dit souvent que son but était de commencer le repas par un mets copieux et très bon marché pour, par la suite, servir les autres plats, plus onéreux, en moindre quantité.

Traditionnellement, le Yorkshire pudding est mis à cuire sous une pièce de viande afin d’en récupérer le gras.

Laisser un commentaire