Restaurants, bistrots, cafés, salons de thé , glaciers

Une virée dans les bistrots typiques de Paris

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Le grand Empire de Napoléon vit en 1814 ses dernières heures. Prussiens, Autrichiens, Bavarois et Russes sont aux portes de Paris. S’en suit la capitulation Française, puis l’entrée en grande pompe dans la capitale du Tsar de Russie et de ses troupes. Les cosaques (Soldats de la cavalerie de l’armée russe) sont alors très nombreux à Paris.

Fidèles à leur image de « bon vivant », les soldats ne manquent pas une occasion de se rendre dans les bars parisiens pour – restons dans les clichés – y boire une petite vodka. Cela leur est pourtant interdit.

C’est pourquoi, après chaque commande, le patron est immanquablement sommé d’un « быстро, быстро » signifiant « vite !, vite ! ». En Français, быстро se dit… bistro !

 

 

Il y a des centaines de bistrots, disséminés dans tous les quartiers de la capitale pour lesquels nous serions prêts à traverser Paris à pied, en Vélib’ ou en taxi.

 

 

 

Ambiance du Paris 1900, bar en zinc, grand choix de plats traditionnels et bons vins vous attendent dans ces établissements. 

 

 

Preuve de leur succès : ils sont pris d’assaut aux heures de pointe ! Pas forcément romantique mais tellement typique !

 

 

 

Paris est à vos pieds en couple, seul ou entre potes.

Faisons une virée dans les bistrots typiques de Paris, à découvrir : 

 

Le Baratin

 

 

 

L’ambiance. Les foodies, les people, les gens du coin et d’ailleurs, les collègues aussi… Tous ont craqué depuis belle lurette pour la cuisine de l’Argentine Raquel Carena, l’âme gourmande de l’Est parisien. Le rond de serviette vaut cher dans ce rade de choix dont la simplicité du cadre n’a d’égale que la limpidité de la cuisine.

 

 

 

À l’ardoise. L’assiette ne ment jamais. Que ce soit sur la formule déjeuner, à un tarif défiant toute concurrence pour cette qualité, ou à la carte, le soir. On ne cherche pas l’épate ici, ni la sophistication, juste la précision et le goût.

 

 

Si bien qu’un simple saumon cru à la citronnelle, une queue de bœuf à l’orange ou une toute bête poêlée de figues peuvent relever du grand moment.

Menu : 18 € (déj.). Carte : env. 40 €

Le Baratin

3 rue Jouye-Rouve

75020 Paris

Tel : 01 43 49 39 70

Le baron rouge

 

 

 

 Un bistrot à vin situé dans le 12ème arrondissement de Paris, à côté du marché animé d’Aligre.

L’établissement propose une salle de dégustation au décor de cave à vin. D’ailleurs la distribution du vin se fait directement au tonneau. On y vient manger des assiettes de charcuterie, de fromage, des huîtres d’Oléron (en saison).

 

 

 

Le Baron Rouge est une adresse bien franchouillarde où on laisse de côté le Bling Bling et où l’on prend tout simplement du plaisir.

 

 

 

Les initiés du quartier portent ici leurs bouteilles vides pour acheter du vin en vrac puisé à la barrique. Les autres peuvent choisir de bons crus dans une sélection à emporter.

C’est ouvert tous les jours même le dimanche de 10h00 à 14h00 et de 17h00 à 22h00. Le patron justement annonce la fermeture avec sa cloche.

Des tonneaux, côté rue font office de table à l’extérieur.

Le baron rouge

 1 Rue Théophile Roussel

75012 Paris

Tel : 01 43 43 14 32

Bistrot Paul Bert

 

 

 

 

C’est certainement l’élève modèle de la classe : décor parfaitement respectueux des codes du genre (banquettes, carrelage, nappes blanches…), patiné comme il faut et férocement séducteur. Année après année, la salle ne désemplit pas et fédère aussi bien les fidèles indéboulonnables que les touristes avides de s’attabler dans un «must eat» de la capitale.

 

 

 Le classique a du bon quand il a cet allant, ce rapport simple au produit et ce culte de la gourmandise. Même soin apporté à la terrine de campagne maison qu’aux envolées plus fines (pigeon rôti et petits légumes ; lotte au gingembre…) et aux incontournables, dont le mythique paris-brest.

 

 

Sur la façade de ce sympathique bistrot s’affiche « Cuisine familiale ». Traduisez : feuilleté de ris de veau aux champignons, cerf rôti aux airelles et purée de céleri… Des assiettes copieuses et goûteuses, préparées sans tralala. Pour une vraie cuisine franche et amicale, le fromage de tête, l’os à moelle, la salade de légumes, la côte de cochon fermier rôti au jus et pommes grenailles, le parmentier de bœuf, les rognons de veau à la moutarde. Après tous ces bienfaits, on ne peut qu’enchaîner avec l’île flottante, la crème caramel ou, les jours de festin, avec le soufflé Grand Marnier.

Formule : 18 € (déj.). Menu-carte : 36 €.

Bistrot Paul Bert

18, rue Paul-Bert

 75011 Paris

Tel : 01 43 72 24 01 

 

Le bistrot du Peintre

 

 

  Le bistrot du Peintre, est un bar typique 1900 parisien à Bastille. Les verres trinquent autour du bar ou sur la grande terrasse. Le décor est superbe et unique, dans son jus, typique, sympathique.

Le Bistrot du Peintre s’est refait une beauté en 2012  où tout a été entièrement refait mais en gardant son style Art Nouveau : de ses luminaires, à ses portes, en passant par les boiseries, le cuivre, sa mosaïque au sol, ses miroirs, ses banquettes… Le décor intérieur et la façade sont même inscrits aux Monuments Historiques.

La carte change 3 ou 4 fois par an. Quotidiennement, un menu du jour différent est proposé avec une entrée, une salade, deux plats et un dessert à l’ardoise.

A la carte, de la cuisine française traditionnelle, avec des produits de saison, des plats typique de brasserie.

 

 

 

En entrée, on trouve le céleri rémoulade oeuf poché, la soupe à l’oignon (faite à partir du bouillon de cuisson de toutes les volailles) qui est à la carte depuis 25 ans et qui n’en bouge jamais, l’os à moelle, des escargots mais aussi de la mozzarella di Buffala avec ses tomates coeur de boeuf de très bonne qualité et son pesto maison ou encore le saumon mariné maison et sa sauce gravlax, très frais en cette période estivale.

 

 

 

Du côté des plats, des salades, un croque, un cheeseburger, du poulet rôti, de la saucisse au couteau, du tartare de boeuf, mais aussi une andouillette grillées 5A avec d’excellentes frites maison parfaitement cuites et une cuisse de canard, élevé en Vendée, confite par une conserverie de Pont-l’Evêque d’après une recette mise au point par Hervé Bonal.

Difficile de choisir entre la tartelette spéculoos, le moelleux au chocolat, et les glaces, mais on opte pour la spécialité de la maison, une tarte à l’orange et crème d’amande. Première surprise quand la tarte arrive, ce n’est pas un crémeux à l’orange comme on s’y attendait mais bien des morceaux d’orange confites. Deuxième surprise, à la dégustation, la tarte est servie tiède. Troisième surprise, parmi l’orange confite, se cachent des petits raisons secs. C’est franchement bon et, même si l’orange est un fruit estival, ce dessert rappelle les saveurs du pain d’épices de Noël.

Le menu du restaurant propose de nombreux plats qui conviennent également aux végétariens, et tu trouveras également divers plats de la cuisine locale.

Le tout avec des prix raisonnables de bistrot. Les entrées sont à partir de 6.50 euros, les plats à partir de 13.50 et les desserts dès 4.50 euros.

Et tout cela pour un budget de moins de 30 euros.

Le bistrot du Peintre

116 Avenue Ledru-Rollin

75011 Paris

Tel : 01 47 00 34 39

Bistrot Victoires

 

 

 

 A deux pas de la place des Victoires, ce bistro patiné intrigue. Trop beau pour être vrai. Eh non, pour une fois c’est de l’authentique. Avec une devanture qui répond aux promesses qu’elle suggère.

Excellente adresse pour un déjeuner ou un diner pas cher et délicieux, dans un cadre très agréable ! Bonne viande, salades copieuses, fromages affinés, desserts gourmands !

 

 

 

On devient vite un habitué du lieu ! La salle est agréable, avec ses grands miroirs et petits recoins. Décor à l’ancienne avec stucs, et miroirs, ambiance animée et tables rapprochées.  Et puis, il y a la vie.

Les tables sont propices pour les couples, petits et grands groupes. Le service est efficace et rapide en toute sympathie.

 La carte des vins est sommaire, avec un petit panel qui plaira à tous les palais. En somme, une adresse qu’il faut essayer sans aucun doute. Les petits plus: le gros brunch du dimanche pour 15€. 

 

 

 

À 10/11 euros le plat, 5 euros le dessert et 8 euros les salades géantes …  difficile de faire mieux dans ce quartier chic (Galerie Vivienne, place des Victoires, Palais-Royal).

Mais la spécialité maison dont le succès ne se dément pas c’est l’entrecôte grillée au thym brûlé de la garrigue. Quelques minutes après avoir passé la commande, votre entrecôte arrive  avec de petits branches de thym toutes fumantes accompagnée de frites au couteau Maison. Le patron sélectionne un petit vin du mois qui tient la route.

Bistrot Victoires

6 Rue La Vrillière

 75001 Paris

Tel : 01 42 61 43 78

 Café des Musées

 

 

 

L’ambiance est bookée, survoltée, (hyper) décibelée lors­­que c’est plein, autant dire à peu près tout le temps. Avec un décor où rien n’accroche l’œil, presque ingrat : une salle tout en longueur, une petite marche assassine en sortie de comptoir, un ballet de serveurs que vous encombreriez presque. Mais aussi une sorte d’énergie, de niaque gourmande qui pulse tout sur son passage.

 

 

 

À l’ardoise, que du bon, dont quelques rituels qu’on récite avec des trémolos : cocotte de légumes du moment, tartare au couteau, salade et frites fraîches, crème caramel et son financier.

 

 

La saison s’exprime aussi à travers une salade de girolles (excellentissime), un colvert rôti, coing et potimarron, un parmentier de faisan et quelques fantaisies tripières.

Formule à 14 € (déj.). Carte : env. 30-35 €.

Café des Musées

49 rue de Turenne

 75003 Paris

Tel : 01 42 72 96 17  

 

Chatomat

 

 

 

 Petite salle à manger de quartier, où l’on se serre autour des quelques tables pour découvrir l’éclosion de jeunes talents passés par les grandes maisons. Beaucoup de clients du quartier puis des visiteurs venus faire tamponner leur passeport gourmand.

 

 

 

 Voici tout l’aplomb d’une nouvelle génération qui n’a pas froid aux yeux.

 

 

Le propos est vif et dru et les produits tombent pile au centre de cette danse tonique : céleri-rave en croûte de sel, champignons de Paris et parmesan ; cocos de Paimpol, calamars et sorbet poivron rouge, carré de porc maggiore choux et mélisse, gâteau et glace au maïs, coulis d’açaï et fruits rouges.

Carte env. 40 €.

Chatomat

6 rue Victor-Letalle

 75020 Paris 

Tel : 01 47 97 25 77

 Le cochon à l’oreille

 

 

 

 Il y a des bistros qui n’ont que le cadre historique, d’autres qui n’ont qu’une bonne cuisine, d’autres qui sont trop chers. Le Cochon à l’Oreille réalise une jolie quadrature du cercle. Son cadre a été miraculeusement épargné des vagues de la modernité qui ont frappé les Halles, il sort directement de la Belle Epoque.

 

 

 

Sa cuisine est une véritable cuisine de bistro canaille, copieuse, savoureuse, et bon marché. Sa sélection de petits vins plutôt issus des rives de la Loire ou des coteaux du Languedoc et du Sud-Ouest surprend les palais.

 

 

 

 Il faut donc pousser sans hésitation la porte pour prendre le Cochon par l’Oreille. En patientant, on admirera des faïences d’origine sur les murs illustrant les scènes de la vie des Halles aux abords des pavillons Baltard à l’époque des Halles.

Prix moyen : 27 €

Le cochon à l’oreille

 15 Rue Montmartre

 75001 Paris

 Tel : 01 42 36 07 56

L’Entredgeu

 

 

 

On les aime, on les adore même, ces adresses discrètes qui se moquent des tendances et n’en font pas des tonnes pour séduire. Un comptoir, quelques chemins de table basquisant, un carrelage à damier et une ardoise épatante… Voilà qui suffit à rameuter dans cette zone peu fréquentée des colonies de sérieux grignoteurs.

 

 

 

À l’ardoise : de la piperade avec l’œuf mollet, des haricots blancs façon cassoulet avec l’épaule de veau, la tome de brebis qui va bien…

 

 

L’assiette met bien évidemment le cap au Sud-Ouest sans s’interdire quelques escales bienvenues (acras de morue sauce thaïe ; entrecôte de bœuf de Bavière ; minestrone de fruits exotiques). Le tout avec une sincérité désarmante et un à-propos indiscutable.

Formule : 23 € (déj.). Menu-carte : 33 €.

L’Entredgeu

83 rue Laugier 

75017 Paris 

Tel : 01 40 54 97 24

Fish la Boissonnerie

 

 

 

Depuis 1999, cette ancienne poissonnerie a pris l’accent anglo-saxon entre la Nouvelle-Zélande et Londres en passant par New York, car ce bar à vins affiche complet tous les soirs pour son ambiance survitaminée, ses flacons bien gaulés et une assiette étonnamment plaisante. Le meilleur endroit : autour du bar, mais il faut venir tôt pour décrocher l’un des huit tabourets.

 

 

 

Mais la carte reste toutefois très franco-italienne (tant mieux !), et la cave, exceptionnelle, avec 350 références de vins  (surtout du Languedoc-Roussillon, des côtes du Rhône et de Bourgogne); est vraiment aux couleurs de la France.

 

 

 

À l’ardoise. Alors que l’on pourrait s’attendre à des plats convenus, celle-ci excelle dans des plats bien troussés, comme un pigeon et petits légumes ou encore un filet mignon de porc et risotto de fenouil. Cuisine métissée et virevoltant continuellement.

Menu-carte : à 37 €

Fish la Boissonnerie

69, rue de Seine

75006 Paris 

Tel : 01 43 54 34 69

 Le Garde Temps

 

 

 

 

Une salle bien briquée, au sens propre du terme, des tables en bois verni, un comptoir carrelé au fond, le tout dans un style mi-loft, mi-arty. Après une longue fermeture, ce qui fut jadis le Carpe Diem est devenu l’un des nouveaux spots du bas Pigalle.

 

 

 

 Voici un type de menu : tarte à la compotée d’oignon rouge et magret de canard fumé, pavé de cabillaud à la plancha, assor­timent de carottes oubliées, pomme golden rôtie au four, chantilly caramel (gourmande).

 

Un quasi-sans-faute, mené de main de maître par un serveur-patron en one-man-show.

Menu-carte : à 29 €

Le Garde Temps

19 bis rue Pierre-Fontaine

75009 Paris

Tel : 09 81 48 50 55

Chez Gladines

 

 

 

 Idéal pour un repas convivial avec des amis. Ambiance survoltée (niveau sonore d’un bar espagnol…). Très bonne cuisine du sud-ouest, plats copieux et petits prix.

Ici, ce sont des spécialités basques qui ont, les premières, fait la réputation de l’enseigne, qui au fur et à mesure a proposé d’autres plats. Ambiance bistrot décontractée, tendance jeune et souvent entre amis.

 

 

À table on est au coude à coude, il faut caser le plus de monde possible mais ça rentre… En revanche c’est bruyant à souhait. On leur pardonne car dans l’assiette c’est bon, copieux et pas cher. Les salades sont gargantuesques, les escargots au roquefort sont délicieux, les chipirons à la Biscaïna sont bien servis et en dessert il faut absolument goûter la croustade aux pommes. Une portion pour deux est parfois largement suffisante. Devant la porte ou à l’intérieur il faut juste être patient…

 

 

 

L’accueil est très sympa et s’il est vrai qu’il faut souvent attendre longtemps (pas de réservation possible) avant d’avoir sa table, le jeu en vaut la chandelle (prévoir de 5 minutes à 1h30).

Attention il faut avoir un chèque ou du liquide. Ils ne prennent pas les cartes de crédit.

Prix du menu/carte : À partir de 15 € jusqu’à 28 €

Chez Gladines

30 Rue des Cinq Diamants

 75013 Paris

Tel : 01 45 80 70 10

Le Mesturet

 

 

 

Le Mesturet est un traditionnel bistrot parisien, situé au cœur de Paris, entre l’Opéra et le musée du Louvre.

Fondé en 2003 par Alain Fontaine à la place d’un établissement historique ancré dans le quartier de la bourse depuis 1883, restaurant le Mesturet, propose une cuisine française qui marie authenticité et créativité.

Son décor fait de pierres apparentes et d’objets chinés invite à une parenthèse gourmande décontractée à tout moment de la journée.

 

 

 

 

Autour du décor vineux, des objets chinés chez les grands-mères de l’un comme de l’autre, confèrent un charme rétro à ce bistrot sympathique, l’un des restaurants favoris des amateurs de cuisine bistronomique.

Engagés depuis toujours dans la démarche du “fait maison”, Alain Fontaine, propriétaire du Mesturet et son chef Régis Fève, deux passionnés de gastronomie, servent exclusivement des plats élaborés à partir de produits frais transformés sur place et cuisinés dans le respect des règles culinaires.

 

 

 

Les habitués regardent l’ardoise du jour, les visiteurs s’en tiennent à ces classiques devenus rares, les harengs marinés et choucroute tiède, la cervelle de veau panée, l’araignée de porc, le parmentier de pintade, la brandade, la blanquette de veau.

 L’ambiance est bonne et solidaire, le «canardburger» plaît bien, et la cave a du répondant, en attendant la brioche perdue ou la tarte chocolat au sirop de coquelicot.

Formules

Petit Mesturet 28 €

Grand Mesturet  34 €

Le Mesturet

77 rue de Richelieu

 75002 Paris

Tel : 01 42 97 40 68

L’Office

 

 

 

  À deux pas du Théâtre Trévise, un formidable bistrot d’avant-spectacle ouvert en 2007 par Nicolas Scheidt et repris en octobre par un duo malin : Charles Compagnon et le chef new-yorkais Kevin O’Donnell. Mobilier en bois et comptoir dans son jus de rigueur, lumières tamisées le soir pour une ambiance cosy chic.

 

 

 

De jolies surprises dans des formules à prix doux : velouté de coco et lardo di Colonnata pour l’onctuosité, mariage détonnant de poulpe, os à moelle et citron, poulet tendre parfaitement rôti, girolles et panais.

 

 

Une belle maîtrise qui s’affiche jusqu’au dessert ultra gourmand, telle cette génoise aux châtaignes et chocolat blanc ou la déjà classique mini-apple pie maison et glace vanille Bourbon. Une bonne raison de rater un lever de rideau.

Formules : à 19 et 24 € (déj.), 27 € (dîn.).

L’Office

3, rue Richer

75009 Paris 

Tel : 01 47 70 67 31

 L’Ourcine

 

 

 

 

 

  Solide atmosphère de vrais appétits venus en découdre dans un cadre bistrotier. Cette adresse traverse le temps avec constance et presque indifférence, comme si elle avait trouvé dès ses débuts sa voie gourmande.

 

 

 

À l’ardoise. Elle ne risque pas de vous décevoir car il y a dans la cuisine de Sylvain Danière une franchise de terroir et de marché : merlu aux herbes fraîches rôti meunière, agneau de lait frotté à l’ail et au thym, pièce de cochon fermier rôti à l’ail confit…

 

 

 

 

Plats allègres, bien sentis et fonçant droit au but.

Menus : à 26 € (déj.), 34 € (dîn.) avec de nombreux suppléments.

L’Ourcine

92 rue de Broca

 75013 Paris

Tel : 01 47 07 13 65.

Le Pantruche

 

 

 

  Une enseigne 100 % parigote pour un bistrot qui respecte les codes rétro du genre (piliers, grands miroirs, zinc…) mais s’est largement remis au goût du jour, grâce à trois associés bien dans leur époque, dont un chef au joli pedigree (Constant, Fréchon).

 

 

 

À l’ardoise : Non seulement les assiettes sont jolies à la sortie du passe-plat mais sacrément bonnes : crème de concombre au lait de coco, tartare de daurade au curry, poitrine de veau à la verveine, petits pois à la menthe, soufflé Grand Marnier caramel au beurre salé…

 

 

Et vous avez vu les prix ?

Formule: 17 € (déj.), menu à 32 €. Carte : env. 40 €.

Le Pantruche

3, rue Victor-Massé

75009 Paris  

Tel : 01 48 78 55 60

 Au Petit Fer à Cheval

 

 

 

La rue Vieille du Temple est de celles qui ne désemplissent jamais, il en va de même pour cet établissement, et surtout pour sa terrasse, qui, à toute heure, se voit assaillie par les nombreux touristes de ce quartier tendance.

 Le décor chargé est typique des bistros parisiens avec une touche à la fois rétro et chaleureuse quant aux toilettes, ils valent le détour ! Outre une carte fournie de plats traditionnels, il est possible de manger simplement un sandwich ou de savourer un copieux petit-déjeuner.

 

 

 

Au Petit Fer à cheval est ce que l’on appelle un bistrot ancien. Il se trouve à Paris 4. Son comptoir reproduit la forme d’un fer à cheval. Le sol est magnifique : il est en mosaïque. Dans cet établissement, Parisiens et touristes savourent des plats français.

On y mange une cuisine du marché avec des plats du jour à l’ardoise.  Le steak tartare d’Aubrac est à 16€. Le petit fer à cheval revendique comme spécialité maison « la cuisse de canard maigre confite comme autrefois pommes sautées salade » (23€).

 

 

Mais à toute heure on peut venir y croquer une copieuse salade (entre 12 et 14€). La sélection des vins est assez diverse et plutôt bon marché, avec un vin du mois mis en avant sur le tableau noir à 4€ le verre et 18€ la bouteille.

L’un des plats les plus appréciés par la clientèle c’est celui à base de veau. Les plats de canard sont également populaires. Goûtez au tartare qui a aussi une excellente réputation. Ou alors, laissez-vous tenter par le plat du jour. En dessert, misez sur la tarte Tatin pour offrir le maximum de bonheur et de plaisir à vos papilles.

Au Petit Fer à Cheval

30  Rue Vieille du Temple

75004 Paris

Tel : 01 42 72 47 47

Tel : 01 46 06 08 36

 Le petit Vendôme

 

 

 

  À deux pas de la place Vendôme, se trouve un petit restaurant qui vous propose une restauration rapide à midi : le Petit Vendôme. Dans un quartier calme où tout est luxe et volupté, le Petit Vendôme se démarque par son air vieux bistrot.

 

 

 

Vous trouverez des petites tables, des néons blafards et des œufs durs sur le comptoir. Á l’entrée du restaurant, vous verrez des jambons pendus aux plafonds, ainsi que des saucissons et des fromages.

Bar à vin, charcuterie, fromage de pays, cuisine de terroir », l’enseigne ne trompe pas sur la marchandise. À deux pas de la très chic place Vendôme, ici on ne s’embarrasse pas de manière pour défendre des produits authentiques dans un cadre délicieusement suranné. Faux jambons et vrais saucissons pendent en vitrine, cave à fromages et panier à pain trônent sur le comptoir. Un joyeux bazar organisé dans lequel on ne vient pas pour être au calme mais pour avaler du roboratif, sur place ou à emporter.

 

 

 

 

Star du lieu, les sandwiches : jambon à l’os, saucisse sèche, fritons, rillettes à l’ancienne, saint-nectaire, camembert au lait cru, etc. Côté plats, du solide : salade de chèvre chaud, gigot d’agneau, andouillette 5A, pied de cochon, confit de canard. Attention, les frites maisons sont addictives.

Prix moyen à la carte 44,00 € Plats du marché de 16,00 € à 26,00 €

Le petit Vendôme

8 rue des Capucines

 75002 Paris

Tel : 01 42 61 05

Philou

 

 

 

 Assez rare pour le souligner, on est aussi bien ici en terrasse chauffée (pas de passage sur cette micro-avenue) qu’à l’intérieur, dans la salle aux banquettes rouges, habillée d’ardoises murales et électrisée par les lustres poèmes d’Ingo Maurer.

 

 

 

À l’ardoise. La cuisine finaude de Philippe Damas que l’on connut au Square Trousseau. Des plats de marché bien accompagnés, comme ce faisan rôti endives caramélisées, ce rumsteck grenaille et champignons, cette mousse citron et compote de figue.

 

 

 

 

 

Pas de régime mineur, c’est enlevé de l’entrée au dessert, avec un service efficace qui maîtrise ses tablées.

Formules : à 25 € (2 plats), 30 € (3 plats). Menu-carte : à 30 €.

Philou

12, avenue Richerand,

75010 Paris

Tel : 01 42 38 00 13

Le temps des cerises

 

 

 

 Dans ce restaurant, situé à deux pas de la Place d’Italie, place à la bonne humeur ! Cet établissement, au décor de bistrot parisien, vous propose une cuisine créative venue des quatre coins du monde.

 

 

Au programme : acras de morue, assiette grecque, lotte à la provençale, filet de boeuf à la périgourdine, boudin noir à la Normande, cuisse de canard confite sauce à l’oseille et purée cressonnière. On commence avec un menu très convenable à 9.20€ (entrées, plat, fromage ou dessert) avec un choix des mets changeant tous les jours de la semaine.

 

 

 

Puis un menu à 11€ avec des entrées et des plats plus sophistiqués, pour finir, un menu à 20€ avec des entrés et des plats encore plus complet et copieux.

Le temps des cerises

18-20 Rue de la Butte aux Cailles

 75013 Paris

Tel : 01 45 89 69 48

La Tourelle

 

 

 

Entrer à la Tourelle, c’est découvrir une salle un peu basse, garnie de tables de marbre, un verre deux couverts et un bon repas qui vous attendent.

Le restaurant La Tourelle est l’un des plus authentiques bistrots parisiens. Installé dans les murs d’un très joli hôtel particulier du XVIème siècle, il propose des plats de la cuisine française « faits maisons » avec un service aux petits soins.

Plats français de tradition dans un cadre cosy avec luminaires anciens, tables en marbre et bar en bois/zinc.

 

 

 

 Le long bar aux couleurs « acajou » qui ferme la salle, serait à admirer rien que pour le véritable zinc qui le recouvre.

Des publicités anciennes ornent les murs.

On effectue une plongée dans l’histoire de la gastronomie traditionnelle, partout où le regard se pose.

Mais nostalgie du passé ne rime pas avec passéisme.

Robert, le patron de cette Tourelle, sous une apparence placide, déborde d’idées qui se retrouvent directement dans sa carte.

 

 

 

À l’ardoise : Un émincé de thon aux herbes, un confit canard maison, un baba au rhum ou encore une crème brulée au miel de châtaigne.

Le prix du repas reste raisonnable puisque pour 23 € par personne vin compris, il vous sera possible de passer un petit moment de charme dans cette tourelle.

 De plus, chaque midi, deux menus à 13 € et 16 € sont proposés, ou un seul plat à 11 €, ainsi qu’un menu à 19.50 € le soir avec des petits plats simples bien cuisinés, blanquette, tartare, ris de veau, raie aux câpres…

Le Restaurant La Tourelle

5, rue Haute feuille

75006 Paris  

Tel : 01 46 33 12 47

Le verre à pied

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un vrai bistro-tabac qui a traversé les deux guerres sans problème. De l’AOC Bohème authentique. Rien d’artificiel, les tables et les chaises, le carrelage et le poêle en fonte sont là depuis les années trente, sans doute.

Le Verre à pied a ses habitués et son lot d’habitués : étudiants, jeunes, moins jeunes, ses fans, on y vient en famille avec les enfants boire un pot ou lire le journal.

On a envie d’y boire et d’y rester des heures à écouter les clients discourir de philosophes et à admirer les toiles et photos qui parsèment les murs.

 

 

 

 C’était le bistro du dénommé Mounna, fameux écolo, et candidat récurrent à l’élection présidentielle.

Le Verre À Pied s’impose comme une étape salvatrice indispensable. Ce vieux bistro d’antan reçoit sans manières, à coup de sourires sincères illuminés par un décor sans âge qui confèrent à l’ambiance une âme délicieusement bohème.

 

 

 

 

La journée, les étudiants, les commerçants du quartier, les artistes ou les professeurs retraités s’installent, picolent et philosophent, encouragés par l’atmosphère familiale. Les habitués se retrouvent aussi autour de soirées littéraires ou de la dernière exposition aux murs, qui alimentent, jusqu’à la fermeture, des débats enfiévrés.

Les curieux sauront trouver ici un bistro typiquement français : poêle en fonte à l’ancienne, carrelage suranné, vieilles tables et chaises en bois patinées, et se délecteront d’une cuisine faite maison traditionnelle et bon marché avec un excellent verre de vin.

PRIX : 47.10 €

Le verre à pied

118 Bis Rue Mouffetard

75005 Paris

Tel : 01 43 31 15 72

Vivant

 

 

 

 Au cœur du nouveau quartier bobo de la capitale, Pierre Jancou (ex-Crémerie, ex-Racines) fait revivre une oisellerie de 1903. Tables marbre et chaises vintage en Formica laissent la vedette aux superbes faïences d’époque qui recouvrent sol et plafond. L’atmosphère gouail­leuse et le service à son affaire donnent l’impression que les murs ont toujours abrité ce bistrot à vins, nature exclusivement.

 

 

 

Des assiettes dégustation et des petits plats (à 24 € tout de même) inspirés par les produits triés sur le volet que Pierre Jancou «recrute» principalement en Italie.

 

 

Cecina de Leon tranchée à la Berkel, crémeuse burrata des Pouilles, poulette et légumes racines glacés au beurre ou gnocchis aux herbes d’Annie Bertin. Incontournable : le gâteau de Zoé, sorte de mousse au chocolat cuite minute servie tiède avec une quenelle de crème montée aux noisettes du Piémont.

Carte : env. 30-40 €.

Vivant

43 rue des Petites-Écuries

75010 Paris

Tel : 01 42 46 43 55

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