Curiosités parisiennes Guide de Paris

Quiz Paris et ses incontournables

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Quiz de culture générale : connaissez-vous les secrets de ces monuments de Paris ?

 

 

 

 

Retrouvez les lieux emblématiques de la ville lumière.

 

 

Et le ciel de Pari a son secret pour lui »… Comme chantait Jean Bretonnière dans le film Sous le ciel de Paris, « depuis vingt siècles » le capricieux ciel parisien garde jalousement les mystères de sa vieille cité. Arc de Triomphe, Panthéon, Tour Eiffel, Palais Garnier ou encore Sacré Cœur…

 

 

 

Les mystères des monuments de Paris n’aspirent pourtant qu’à se dévoiler aux curieux, badauds et amoureux.

Voici une  nouvelle série de questions sur Paris.

 

 

 

 

 

Des questions insolites, sur divers domaines de l’Histoire de Paris, si vous n’avez pas trouvé!!!!

Les réponses figurent en bas de page, à découvrir :

 

 

1

Quelle est cette tour nommée la Dame de fer ?

Quelle est cette tour nommée la Dame de fer ?

 

 

 

 

2

 
Quelle est cette ancienne gare transformée en musée ?

Quelle est cette ancienne gare transformée en musée ?

 

 

 

 

3

Quelle est cette basilique construite en 1875 en haut d'une butte ?

Quelle est cette basilique construite en 1875 en haut d’une butte ?

 

 
 

4

 
Une visite sur la Seine permet d'admirer les plus beaux monuments de la capitale. Que transport utiliser ?

Une visite sur la Seine permet d’admirer les plus beaux monuments de la capitale.

 

Quel transport utiliser ?

 

 

 

5

 

De quel édifice peut-on admirer la plus belle avenue du monde ?

De quel édifice peut-on admirer la plus belle avenue du monde ?

 

6

 
Sur quel boulevard est situé le palais de l'Elysée, résidence du président de la République ?

Sur quelle artère est situé le palais de l’Elysée,

 

résidence du président de la République ?

 

 

7

 
Dans quel cimetière parisien peut-on visite la tombe de Jim Morisson ?

Dans quel cimetière parisien peut-on visiter

 

la tombe de Jim Morisson ?

 

 

8

Dans quel type de restaurant parisien faut-il aller pour revenir à la Belle Époque ?

Dans quel type de restaurant parisien faut-il aller

 

pour revenir à la Belle Époque ?

 

 

9

 
Dans quel quartier pourrez-vous observer la plus petite maison de la capitale ?

Dans quel quartier pourrez-vous observer

 

la plus petite maison de la capitale ?

 

 

10

Incontournable de l'histoire de Paris quel est cet édifice en pleine rénovation ?

Incontournable de l’histoire de Paris

 

quel est cet édifice en pleine rénovation ?

 

 

11

Quel est cet immeuble contemporain visible depuis 1989 à Paris ?

Quel est cet immeuble contemporain

 

visible depuis 1989 à Paris ?

 

 
 

12

 
Quelle est cette "usine" inaugurée en 1977 en plein centre de Paris ?

Quelle est cette « usine » inaugurée

 

en 1977 en plein centre de Paris ?

 

 

13

 

Quel est ce magnifique parc situé dans le XIXe arrondissement de Paris ?

Quel est ce magnifique parc

 

situé dans le XIXe arrondissement de Paris ?

 

 
 
 

 

Réponses aux questions : 

1

 

 

 

La bonne réponse est la A

La Dame de fer est le surnom le plus répandu pour évoquer la tour Eiffel, achevée en 1889. 

En effet, à l’approche de sa cinquantaine, dans les années 1930, on voit donc fleurir dans la presse et les ouvrages les surnoms suivants :  « Grande dame », « Belle grande dame », puis « Grande dame de fer », parfois, avec l’âge, « Vieille dame de fer »… C’est aujourd’hui le surnom « Dame de fer » qui est resté et particulièrement usité dans la presse.

Il s’agit bien entendu du métal de la structure de la Tour : plus précisément du fer puddlé, un métal qui a subi un traitement spécifique pour le rendre plus pur, et encore plus résistant tout en étant moins rigide que l’acier, et plus léger. 

 

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La bonne réponse est la B

L’idée de transformer la gare d’Orsay en musée voit le jour dans les années 1970. Terminus des trains en provenance du sud-ouest de la France jusqu’en 1939, la gare d’Orsay, victime du progrès technique, change de vocation au fil des ans.

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La bonne réponse est la B

Le cardinal Guibert, archevêque de Paris l’accepte dans le courant de l’année 1872. Il est décidé que la basilique sera dédiée au Sacré-Cœur : Un hommage à l’amour du cœur de Jésus (peu répandu dans les églises à l’époque). Cet amour est grandement représenté dans le chœur de la basilique par une immense mosaïque.

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La bonne réponse est la A

Oui les bateaux mouche, ces derniers avaient été construits à Lyon, dans les chantiers du quartier de la Mouche, comme on l’appelait alors. L’armateur s’appelait Michel Félizat et on parlait donc des Bateaux-Mouche, sans s, puisque c’était un nom propre.

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La bonne réponse est la B

Une fois après avoir désigné la place de l’Étoile comme lieu d’élévation de l’Arc de triomphe, les architectes Jean-François Thérèse Chalgrin et Jean-Arnaud Raymond ont établi une série de plans. Ils optent notamment pour un arc à ouverture simple, dans la mesure où celui-ci se présenterait aussi comme une porte de la ville.

C’est Napoléon Ier qui est à l’origine de la construction de l’Arc de triomphe. Après sa victoire à la bataille d’Austerlitz en décembre 1805, l’empereur s’inspira des arcs érigés durant la Rome antique pour demander l’édification d’un monument similaire à la gloire de la Grande Armée, l’armée impériale.

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La bonne réponse est la B

Le palais de l’Élysée est la résidence officielle des présidents de la République. Elle commence en 1718. Le comte d’Évreux souhaite se faire construire un hôtel particulier au cœur de Paris. À sa mort en 1753, l’hôtel est acheté par la marquise de Pompadour. Il est ensuite légué au roi Louis XV, puis à Louis XVI et à la duchesse de Bourbon. C’est sous la Révolution que la résidence prend le nom d’Élysée, en référence aux allées voisines des Champs-Élysées.

 

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La bonne réponse est la A

En rupture avec les Doors, il veut se remettre à l’écriture. S’il est enterré au Père-Lachaise, assure le guide-conférencier Thierry Le Roi, c’est non seulement parce qu’il appréciait le lieu, mais aussi parce que rapatrier sa dépouille dans son pays natal aurait été « contraire à l’état d’esprit dans lequel il était ».

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La bonne réponse est la B

Son restaurant ouvert, il prépare un hochepot de boeuf dans son bouillon, ce qui donnera le nom au lieu. Les bouillons prennent rapidement de l’ampleur et en quelques années se multiplient : au début du XXe siècle, on pouvait en trouver près de 250 dans Paris…

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La bonne réponse est la A

Au n° 39 de la rue du Château-d’Eau, dans le 10e arrondissement, vous pouvez apercevoir l’une des maisons les plus insolites de Paris. Coincée entre deux immeubles, elle mesure un peu moins d’un mètre cinquante de large sur cinq mètres de haut. C’est la plus petite maison de Paris.

La légende concernant la plus petite maison de Paris ne manque pas de piquant. Au début du XIXème siècle, une querelle de succession fait rage entre les héritiers de la vaste parcelle comprise entre la rue du Château-d’Eau et la rue du Faubourg Saint-Martin. Un étroit passage percé à travers le bâti et reliant les deux voies, focalise toutes les dissensions.

Les descendants du propriétaire trépassé ne parviennent pas à s’entendre sur la répartition et la gestion des biens. La discorde est telle qu’une solution radicale est trouvée afin de régler définitivement la brouille. Le passage sera colmaté par une construction élevée entre les deux murs mitoyens des immeubles donnant sur notre actuelle rue du Château-d’Eau.

La bicoque est édifiée, suffisamment grande pour combler l’entrée de cet objet de dissension, mais de dimension modeste afin de limiter le budget. Et peu importe si elle n’est guère habitable. Sa conception dédie le rez-de-chaussée à un commerce dont la devanture est la plus étroite de Paris.

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La bonne réponse est la A

L’incendie de Notre-Dame de Paris est un incendie majeur survenu à la cathédrale Notre-Dame de Paris, les 15 et 16 avril 2019, pendant près de 15 heures.

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La bonne réponse est la B

Si la Grande Arche de la Défense est décalée de 6° par rapport à l’axe historique de Paris (celui reliant la Défense au Louvre par les Champs-Elysées et la Concorde), c’est pour reproduire les 6° de décalage qu’il y a, à l’autre extrémité, entre ce même axe et le palais du Louvre.

Coïncidence ou volonté de François Mitterrand, cet angle de l’Arche oriente le regard sur un axe qui passe par le Panthéon et la bibliothèque François-Mitterrand.

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La bonne réponse est la A

Le centre fut inauguré le 31 juillet 1977 par Valéry Giscard d’Estaing successeur de Pompidou à la tête de l’état.Il suscita  une très vive polémique que suscita à l’époque l’architecture de cet ensemble et des surnoms qui lui furent donnés : “Notre-Dame de la Tuyauterie, “le Pompidolium”, “la raffinerie de pétrole”, “l’usine à gaz” et autre “hangar de l’art”. Il faut bien reconnaître qu’en plein coeur de Paris, à côté de l’église Saint-Merri construite au XVIème siècle, le centre Pompidou peut interpeller avec ses tuyauteries et ses poutres apparentes et ses couleurs vives.

C’est de nos jours l’un des plus importants monuments de Paris, au cœur du Marais, non loin de l’Hôtel de ville. Le Centre Pompidou, dit aussi Beaubourg, est l’un des plus grands musées d’art moderne de la planète.

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La bonne réponse est la A

Le parc des Buttes-Chaumont ou l’histoire d’une sinistre carrière devenue jardin à l’anglaise.
Le 1er avril 1867, le parc des Buttes-Chaumont ouvrait pour la première fois ses portes aux visiteurs. Il a fallu trois ans de travaux pour transformer ce qui était autrefois un lieu sinistre en l’un des plus grands espaces verts de la capitale.
Une « merveille annoncée », « la plus belle chose que Paris puisse montrer », « le plus intéressant et le plus grandiose des travaux du nouveau Paris »,… Le Petit Journal ne tarissait pas d’éloges le 28 mars 1867 après avoir découvert le tout nouveau parc des Buttes-Chaumont. Et il était loin d’être le seul journal à s’émerveiller du lieu inauguré quelques jours plus tard, le 1er avril.
Etendu sur près de 25 hectares dans le XIXe arrondissement, le parc des Buttes-Chaumont est l’un des plus grands espaces verts de la capitale. De type jardin à l’anglaise, il donne à voir un lac, des cascades, des roches, une grotte et de nombreuses espèces végétales. Tel que ce cèdre majestueux qui cohabite avec l’un des premiers séquoias plantés en France.
On peut aussi y contempler un platane d’Orient, deux ginkgo biloba, un orme de Sibérie ou encore un sophora, énumère la Ville de Paris sur son site. Côté plantes, les promeneurs peuvent rencontrer la violette odorante, le compagnon blanc, le lierre terrestre ou encore l’orge sauvage qui poussent à travers les Buttes.
Et la biodiversité animale y est tout aussi riche. Selon un inventaire commandé par la Ville en 2012, on peut y recenser 689 espèces indigènes, dont 122 espèces animales. Parmi elles, une quarantaine d’oiseaux dont des chouettes hulottes, des pics verts, des mésanges ou encore des perruches. Des hérissons, des écureuils roux et des chauves-souris s’y cachent aussi.

L’un des endroits les plus lugubres de la capitale
Difficile de croire qu’une dizaine d’années avant son inauguration, le parc était l’un des endroits les plus lugubres de la capitale. Et pourtant. Le Petit Journal en témoigne :
Dire ce qu’étaient les Buttes-Chaumont, il y a deux ou trois cents ans, ne nous est pas possible, nous ne les avons pas vues à cette époque, mais elles devaient être encore à peu près ce que nous les avons vues en 1840, et c’est un des souvenirs les plus frappants de notre jeunesse que cette accumulation d’horreurs. Tout était là réuni comme à plaisir : le laid, l’horrible, le dangereux, le puant, l’infect !
Il faut dire qu’à cette époque, le jardin n’en était pas un. La végétation y était même quasi inexistante. Durant des décennies, après la Révolution française, les buttes furent exploitées pour le gypse que leurs sous-sols recelaient. Le matériau était alors largement utilisé pour la construction des immeubles parisiens.
La carrière fut en activité jusqu’en 1860, date à laquelle Belleville, commune sur laquelle se trouvaient les buttes, fut annexée par la ville de Paris. Abandonné, le site se changea alors de repère aux gens nécessiteux et aux brigands. Ces activités ne furent toutefois pas les seules à ternir la réputation des environs.

   

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