18Paris regorge de parcs et de jardins magnifiques, des écrins de verdure qui invitent à la détente, loin du brouhaha de la ville. Découvrez vite les plus beaux spots de verdure dans la capitale et en Ile-de-France !

Que serait Paris sans ses magnifiques parcs, squares et jardins  ? Si vous avez envie de vous mettre au vert sans quitter la capitale, ni une ni deux, partez à la découverte des plus beaux écrins de verdure, au coeur de Paris. 

Des Tuileries aux Buttes-Chaumont en passant par le Parc Montsouris, voici lesparcs ou jardins à ne pas manquer à Paris.

Á découvrir :

L’historique : le jardin des Tuileries

Célèbre pour ses terrasses à la française et son bassin donnant sur la Concorde, ce jardin longeant la Seine est le plus ancien parc public de Paris. Construit à partir de 1564, il a appartenu pendant trois siècles au domaine royal du palais des Tuileries, aujourd’hui disparu. S’épanouissant désormais dans la continuité du Louvre, il prend lui-même des airs de musée en plein air : en plus de sculptures classiques, le jardin abrite un bel ensemble d’œuvres du XXe siècle, de Rodin à Dubuffet en passant par Giacometti. Immanquable !

Le jardin des Tuileries est un lieu incontournable de Paris ! Cet espace vert de 23 hectares longe la rue de Rivoli et la Seine, liant ainsi le Musée du Louvre et la place de la Concorde. Classé Monument historique en 1914, il est également inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1991. On y trouve de magnifiques statues historiques, accompagnées d’œuvres d’art.

Lorsqu’on est à Paris, on résiste difficilement à l’envie de se promener dans le jardin des Tuileries. Et pour cause il est au centre de la capitale, entre le Musée du Louvre et la Place de la Concorde, et offre une pause ensoleillée avec ces nombreux bassins. Au milieu de toutes ces splendeurs, le jardin des Tuileries s’impose comme le noyau de ce Paris de rêve !

Crée par Catherine de Médicis en 1564, il s’agit du plus ancien jardin à la française de Paris. Lorsqu’on s’y balade, on fait un véritable saut dans le temps. À l’origine, le jardin était réservé à une poignée de privilégiés. Il faudra attendre 1793 pour que le jardin s’ouvre aux Parisiens, avec l’organisation de quelques fêtes révolutionnaires.

Le jardin des Tuileries est parsemé de belles statues et de plusieurs bassins peuplés de canards et de poissons, sur lequel on peut faire naviguer des voiliers en bois. De nombreuses chaises sont mises à disposition pour prendre le soleil ou se permettre une petite sieste bucolique ! Il abrite également en son sein deux lieux culturels, le Jeu de Paume ainsi que le musée de l’Orangerie, situés du côté de la Place de la Concorde L’occasion mettre un joli point final à votre balade ou de démarrer en beauté votre promenade le long de ce jardin mythique.

Jardin des Tuileries

Place de la Concorde

75001 Paris

Le scientifique : le jardin des Plantes

Jardin ou musée ? Les deux ! Cœur historique du Muséum national d’Histoire naturelle, le jardin des Plantes déploie ses jardins botaniques, serres tropicales et galeries de conservation sur 28 hectares au cœur du Quartier latin. Créé à des fins scientifiques en 1640, l’ancien « jardin royal des plantes médicinales » abrite encore aujourd’hui des lieux de science incontournables, comme la Grande Galerie de l’Évolution et les Galeries de Paléontologie.

Le Jardin des Plantes cache en son sein un jardin alpin magnifique. Situé entre les Grandes Serres et la Ménagerie, ce jardin, qui n’a pas de portes d’entrée, est accessible par un passage sous-terrain caché. On y découvre les rocailles, plantes sauvages de montagne. C’est un véritable havre de paix à (re)découvrir tout au long de l’année.

Êtes-vous déjà passé devant ce superbe jardin alpin, visible en contrebas de l’allée de promenade, entre la Ménagerie et les Grandes Serres au Jardin des Plantes ? On voit souvent, tout au long de l’année, des gens tourner autour sans jamais y trouver l’entrée. Et pour cause, son accès est totalement caché à l’intérieur d’un autre jardin, il faut le savoir ! Il faut en effet passer par le Jardin de simples de l’École de Botanique, situé au cœur du Parc.

Une fois au milieu du jardin, on aperçoit une allée sous-terre qui mène vers ce jardin alpin dissimulé. Ouvert tous les jours gratuitement de 8h00 à 18h30, ce jardin est une vraie pépite à découvrir. Grâce à son aspect confidentiel et caché, il est de fait moins fréquenté que les autres et se révèle être un réel cocon pour une pause bucolique.

Le Jardin Alpin, tel qu’il se présente à nous aujourd’hui au sein du Jardin des Plantes, est né dans les années 1930 de l’initiative d’André Guillaumin (1885 – 1976), botaniste, assistant de la chaire de Culture au Muséum. Avec l’aide de Camille Guinet et Mariska Heklova, il réaménage le carré des couches, utilisé comme un lieu d’expérimentation depuis le 18e siècle. Son emplacement mi- ombragé et protégé par un coin de forêt et ensoleillé en contrebas en fait le coin idéal pour ces plantes d’altitude, qui se retrouvent à l’abri du vent, du gel et des canicules. Le but de ce jardin ? Nous-y dévoiler la flore alpine et méditerranéenne.

Pour rappel, on appelle en France « Jardin Alpin », ces jardins qui rassemblent les plantes sauvages de montagne, principalement collectées dans les Alpes. Celui du jardin des plantes rassemble pas moins de 2 000 espèces de plantes montagnardes et 32 rocailles différenciées selon des secteurs géographiques (Alpes, Caucase, Himalaya, …) et des milieux montagnards reconstitués (tourbière, éboulis, mégaphorbiaie, …).

Ce coin de Paradis s’étend sur 4 000 m2. Tout au long de l’année, les floraisons s’y succèdent et changent le décor. On se retrouve tantôt dans un sous-bois à longer un mini-ruisseau, tantôt sur une butte à admirer les étages de rocailles ou encore au pied des superbes arbres qui ornent cet espace vert. Les parties exposées au nord bénéficient d’une température constante avec peu d’amplitude thermique, tandis que celles exposées au sud supportent d’importantes variations de température. Il faut savoir que les plantes qui ornent le Jardin Alpin ne proviennent pas uniquement de France, mais du monde entier. Ainsi, des plantes du Japon, du Maroc, de Palestine ou encore de l’Himalaya sont à découvrir.

Notez que ce jardin est classé Monument Historique depuis 1993, c’est pour nous le cadre idéal pour admirer des plantes qu’on n’a pas forcément l’habitude de découvrir en ville. Ceci dit, les beaux jours, on y admire aussi de superbes rhododendrons et des glycines majestueuses. 

À nous aussi, le joli puits et la marre de nénuphars à proximité.

Jardin des Plantes

57 rue Cuvier

75005 Paris

L’élégant : le parc Monceau

Derrière ses superbes grilles, ce jardin dessiné en 1860 renferme une multitude de trésors : le pavillon de Chartres, une rotonde néoclassique qui servait autrefois de guérite d’octroi, et la Naumachie, un bassin bordé d’une colonnade corinthienne, en sont les plus remarquables. Plusieurs statues en marbre, un pont accompagné d’une cascade et d’une grotte artificielles, des ruines récupérées de l’ancien Hôtel de Ville et de belles allées ombragées viennent parfaire cet élégant tableau, propice à la contemplation.

Le Parc Monceau, sans doute l’un des plus beaux jardins fleuris de Paris, niché entre le 8e et 17e arrondissement, est havre de paix romantique où se côtoient ruines, sculptures d’artistes et végétation luxuriante. On vous emmène faire un tour à la découverte de son histoire et de ses particularités.

Pour la petite histoire, le Parc Monceau est une ancienne propriété du Duc de Chartres qui avait confié la conception au peintre Carmontelle afin qu’il lui en fasse un « pays d’illusion ».

Inauguré en 1775, ce parc qui fût de prime abord un pavillon entouré d’un jardin à la française (qui n’existe plus aujourd’hui). Il a été pensé comme un jardin d’agrément qui mélange antiquité, exotisme et Moyen-âge à l’image de la reproduction de pyramide égyptienne et la Naumachie composée de son bassin entouré de colonnes corinthiennes, qui renvoie aux représentations de combats navals dans l’antiquité romaine. Ces fameuses colonnes proviennent d’une église de Saint-Denis démolie en 1719.

En 1785, le Ministre des Finances Charles-Alexandre de Calonne décide d’ériger le mur des Fermiers Généraux, un mur qui était destiné à délimiter Paris et ainsi lutter contre la contrebande. Ces murs s’associent à des Rotondes comme celle qu’on connait aujourd’hui, réalisée par Claude-Nicolas Ledoux. On était alors à cette époque, aux limites de Paris.

Devenu bien national à la Révolution, on le restitua à la famille d’Orléans, mais il ne resta pas longtemps entre leurs mains. L’Etat en fit l’acquisition en 1852. La physionomie du parc avait alors considérablement changé. Le financier Pereire avait fait élever de nombreux hôtels particuliers sur les côtés Est, Sud et Ouest, notamment les musées Cernuschi (art asiatique) et Nissim de Camondo (18ème siècle). Ils font aujourd’hui partie du prestige du quartier de la plaine Monceau, mais le parc fut dès lors amputé de moitié, passant de 20 à 8 hectares de nos jours.

Les dessins du parc furent modifiés une dernière fois par l’ingénieur Alphand, l’architecte Davioud et l’horticulteur Barillet-Deschamps, qui travaillèrent sous les ordres du baron Haussmann. En 1861, Napoléon III put enfin inaugurer le parc que nous connaissons actuellement.

En 1861, un pont à l’image d’un pont vénitien voit le jour. Ce pont au style original est alors réalisé à base de pierre mimant le marbre.

Le Parc Monceau aujourd’hui l’un des plus beaux jardins de la capitale. Il est fréquenté par une population très diverse, les mères de familles et leurs enfants, les touristes, les joggers et par la communauté russe qui se rend à la cathédrale orthodoxe Alexandre Nevsky (1861) toute proche.

Isolé par une ceinture végétale, de somptueux hôtels et des immeubles luxueux, c’est le calme qui règne dans ce grand parc orné de nombreuses statues en marbre de célèbres écrivains et musiciens de l’époque. On y découvre notamment un platane historique, planté en 1814 de 7 mètres de circonférence et un sycomore de 30 mètres de haut qui est aujourd’hui est le plus vieux et le plus ancien de l’arrondissement (1853).

Parfait pour s’y promener en amoureux ou en famille, ce parc propose un grand nombre d’endroits pour se poser et profiter du beau temps et de la bonne ambiance qui règne.

Pour finir, nous ne pouvons pas parler du Parc Monceau sans citer son étonnante diversité animale et végétale. C’est l’espace vert de l’arrondissement qui possède la plus grande diversité d’oiseaux, attirés par la hauteur des arbres, ainsi que par la fraîcheur que propose le bassin dans lequel nagent carpes et autres poissons rouges.

Parc Monceau

35 boulevard de Courcelles

75008 Paris

 L’institution : le jardin du Luxembourg

Le grand bassin octogonal et ses voiliers, le plus vieux manège de Paris où s’amusent les enfants depuis 1879, le théâtre de Guignol et ses marionnettes, les iconiques chaises vertes où prendre un bain de soleil, la si romantique fontaine de Médicis, les allées ombragées peuplées d’arbres remarquables et ruchers centenaires… Chaque recoin de ce jardin est une institution !

Le Jardin du Luxembourg à Paris est un parc très prisé autant par les Parisiens qui le surnomment « le luco » que par les touristes. Un jardin bucolique et très animé qui fait le bonheur de ceux qui ont choisi d’y flâner, surtout avec l’arrivée des beaux jours !

Le Jardin du Luxembourg est l’un des jardins parisiens les plus visités et ce n’est pas pour rien ! Situé dans le 6e arrondissement de Paris, entouré de belles terrasses, de salons de thé gourmands et de brasseries savoureuses, c’est un parc très animé où les splendeurs de la nature côtoient la beauté de l’architecture. C’est ici que trône fièrement le Palais du Luxembourg, actuel siège du Sénat. Ce même Palais est à l’origine de la création de ce jardin, demandé en 1612 par la reine Marie de Médicis pour accompagner ce bâtiment. Oui, le Jardin du Luxembourg ne fait pas son âge !

Le Palais du Luxembourg n’est pas le seul bâtiment qui orne ce jardin si champêtre. C’est également ici que se trouve le Musée du Luxembourg. On y découvre également une orangerie ainsi que des serres qui recèlent plus de 400 espèces d’orchidées. Mais les amoureux des plantes peuvent déjà admirer les merveilles botaniques du Jardin du Luxembourg avant même d’approcher les serres. Car ce jardin présente aussi une surprenante pointe d’exotisme qui nous ferait presque oublier que nous nous trouvons dans la capitale.

On y vient aussi pour admirer les diverses statues qui ornent ce jardin, la très belle fontaine de Médicis érigée en 1630 par celle dont elle tient son nom, Marie de Médicis, ainsi que pour se prélasser au soleil sur les nombreuses chaises qu’il comporte.

À l’ombre d’un arbre, à proximité d’un kiosque, vous aurez également l’occasion d’écouter un orchestre ou une fanfare animer le parc de leurs instruments. Rien d’anormal, le Jardin du Luxembourg est très prisé des musiciens.

Jardin du Luxembourg

Place Edmond-Rostand

75006 Paris

L’escarpé : le parc des Buttes-Chaumont

Étendu sur 25 hectares, ce parc a été créé de toutes pièces sur d’anciennes carrières de gypses à la fin du XIXe siècle. Depuis, cette oasis urbaine offre, dans un relief accidenté aux paysages variés, une promenade agréable et prisée des Parisiens. Lac, ruisseaux, cascade, grotte, mais aussi belvédères et chemins sinueux bordés de rusticage, partagent l’espace avec une myriade de platanes, peupliers et marronniers centenaires.

Le Parc des Buttes-Chaumont, situé dans le 19e arrondissement de Paris, est l’un des plus grands espaces verts de Paris. Pour un jogging, un pique-nique ou une balade champêtre, ce grand écrin de verdure est un incontournable.
Dans le 19e arrondissement de Paris se trouve l’un des parcs les plus exceptionnels de Paris : le Parc des Buttes Chaumont. Au total, ce sont près de 25 hectares de verdure aux paysages variés qui s’y étendent. Inauguré en 1867 sous le règne de Napoléon III, ce parc articulé comme un Jardin à l’anglaise a été réalisé par l’ingénieur Jean-Charles Alphand.

Il a été dessiné de sorte à reproduire un paysage de montagne. Et l’effet est réussi : entre les rochers, les alpages, les falaises et les cours d’eau, on a presque l’impression d’avoir quitté Paris.
Pour la petite histoire, il faut savoir que ce parc a été créé complètement sur un quartier pauvre et misérable rattaché en 1860, c’était autrefois des carrières de gypse. Napoléon III a voulu à l’époque, offrir aux pauvres du coin et aux paysans, un coin de verdure. Inauguré lors de l’exposition universelle de 1867, le parc des Buttes-Chaumont avait pour vocation de remplacer un espace immonde et nauséabond en bel espace vert, pari réussi.

Ici, petits et grands jouent les explorateurs près de sa grotte et admirent la cascade qui font le charme de ce parc. De nombreux Parisiens profitent de ce bel espace vert pour se prélasser au soleil, faire un pique-nique ou leur sport.

Car il faut dire que ce lieu est une véritable ode à la détente et à la contemplation. Difficile de rester de marbre face aux paysages variés que le parc des Buttes Chaumont offre à ses visiteurs.

À la surface du lac, canards, oies et hérons cohabitent au beau milieu d’une végétation luxuriante.

Parc des Buttes-Chaumont

1 rue Botzaris

75019 Paris

Une belle réhabilitation : le parc George Brassens

rondissement de Paris à quelques pas du Paris expo Porte de Versailles, ce parc est très agréable et calme. Réalisé en 1987, il s’étend sur plus de 8,7 hectares. Son nom rend hommage au célèbre chanteur et poète français qui vivait non loin du parc.
Parc Georges Brassens.

Bien qu’il soit encore peu connu, le parc Georges Brassens faut pourtant le détour ! Parlons d’abord un peu de son histoire…
En effet, ce parc a connu de nombreuses vies avant de devenir un lieu charmant et calme. Eh oui, avant se trouvaient ici des vignobles, des cultures maraîchères et même des abattoirs !

Ce n’est qu’en 1975 que le marché aux animaux ferma suite aux plaintes des riverains. Il fut réhabilité et rouvrit en 1985.
A sa réouverture, le beffroi de la criée et la statue de taureau étaient toujours là, pour rappeler l’histoire du lieu.

Des chemins de terre, des arbres ainsi que des parterres de fleurs sont aujourd’hui également présents. Tout cela fait de ce lieu, un endroit unique et apprécié des Parisiens vivant dans le quartier !

Ce lieu calme est composé d’une rivière, d’un belvédère, de statues, de beaux arbres, d’un pont, de vigne et d’une ruche dont la récolte est vendu sur place un samedi par mois. C’est également un lieu attractif pour les enfants avec son aire de jeux, ses balades en poneys et ses théâtres de marionnettes.

Le parc est rendu vivant avec son théâtre Monfort qui est animé par des spectacles de danses, cirques et théâtres.

Enfin, le grand marché du livre d’ancien et d’occasion attire les fans de vieux livres tous les weekends.

Parc George Brassens

 2 Place Jacques Marette

75015 Paris

 De la modernité : le parc André-Citroën

Il porte ce nom en raison de son emplacement car l’ancienne usine automobile se trouvait là.

Situé dans le 15ème arrondissement de Paris, il est l’un des parcs les plus récents de la capitale. Inauguré en 1992, il s’étend sur plus de 14 hectares et offre une belle perspective sur la Seine, et est le seul espace vert qui donne sur un fleuve.

Dessiné par des architectes de renom (Alain Prevost, Gilles Clément, Patrick Berger, Jean Paul Viguier et François Jodry), le parc se divise en 3 parties :
– Jardin Blanc
– Jardin Noir
– Grand parc central

Les visiteurs peuvent y découvrir de grands arbres, des plantes rares, 2 serres gigantesques, une aire de jeux, des jeux à ressorts et le ballon captif à gaz proposant de s’envoler à plus de 150m pour découvrir Paris d’en haut.

Parc André-Citroën

2 Rue Cauchy

75015 Paris

Un oasis de repos : le parc Montsouris

Bâti par le Baron Haussmann durant la seconde moitié du XIX° siècle sur d’anciennes carrières désaffectées, le Parc Montsouris est un parc à l’anglaise d’une surface de 15 hectares, inspiré des parcs londoniens. Idéal pour une agréable balade sous les 1400 arbres, centenaires pour la plupart, il est également très prisé pour son lac et les nombreuses espèces d’oiseaux à y observer, aux côtés de l’observatoire météorologique de Paris.

Situé dans le 14e arrondissement de Paris, le Parc Montsouris s’étend sur 15 hectares. Édifié sur le modèle d’un jardin à l’anglaise, il fut inauguré en 1869 et voit encore aujourd’hui chaque jour ses allées se remplir de joggeurs, familles ou promeneurs solitaires en quête de tranquillité. On l’apprécie pour son lac, ses sculptures mais aussi ses nombreuses espèces d’arbres.

Les ornithologues amateurs sont également à la fête, le parc Montsouris abritant de très nombreux spécimens d’oiseaux.

Parc Montsouris

2 Rue Gazan

75014 Paris