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Bonnes tables où ripailler dans la capitale sur la rive gauche

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Vous recherchez une bonne table où ripailler dans la capitale sur la rive gauche ? Du plus prestigieux au plus convivial, découvrez nos restaurants coup de coeur, au rapport qualité-prix tout simplement excellent.

 

 

 

Des établissements aux univers tous différents, du bistrot au restaurant étoilé Michelin, de la cuisine française à la gastronomie italienne. Un seul point commun entre tous ces restaurants ?

 

 

 

 

Au coeur de ceux-ci, vous serez sûrs de bien manger !

 

 

 

 

À découvrir :

 

Alcazar 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Toujours de la fête, de la branchitude et des mets délicieux du côté du célèbre Alcazar, niché dans le 6ème arrondissement de Paris. Au coeur de Saint Germain des Près, c’est un restaurant des plus trendy qui vous accueille pour une soirée idéale entre amis. Déco chic chinée et intérieur fleuri aux allures de jardin, balcon bar à l’étage, animations musicales, cuisine traditionnelle revisitée… 

 

 

 

 

 

 

Ainsi son nouveau décor joue avec bonheur sur le registre de l’artisanat en conjuguant le marbre, le laiton, le terrazzo, la paille, le bois… et en mariant subtilement laqué, le ciré, l’encaustiqué, le brut et le sauvage, avec une salle du rez-de-chaussée au charme bucolique grâce à une abondance de plantes vertes.

 

 

 

 

Même atmosphère végétale sur la vaste mezzanine, sorte de balcon sylvestre, où l’on se retrouve pour déguster un cocktail accompagné de petits plats, voire pour danser sur la musique d’un DJ à partir de 22h.

 

 

 

 

 

Côté cuisine on continue à jouer dans un registre créatif et fusion, avec une carte séduisante qui fera sans problème le bonheur des foodistas parisiens.

 

 

 

 

 

 

 

Comptez environ 65 € hors boissons à la carte. Menu à 40 € et formules à 26 et 33 € au déjeuner. Brunch à à 41 € le dimanche (25 € pour les enfants)

Alcazar

 62 rue Mazarine

75 006 Paris

Tél :  01 53 10 19 99

L’Atlas  

 

 

 

 

Des restaurants comme on en fait plus : serveurs droits comme des pics et torchon blanc au bras, couscous seffa proposé à la carte (sucré-salé, difficile à trouver à Paris), déco qui en impose. On regrettera des tarifs un chouia élevés et des portions pas très généreuses.

 

 

 

 

 

 

 

Depuis 1985, entre l’Institut du Monde Arabe et Notre-Dame, dans le 5e arrondissement de Paris, le restaurant L’Atlas accueille les amateurs d’une cuisine marocaine traditionnelle, fine et savoureuse.

 

 

 

 

 

 

 

Benjamin ElJaziri, le propriétaire, vous réserve un accueil chaleureux dans un cadre des 1001 nuits vraiment dépaysant, une cuisine gourmande et un service agréable.

 

 

 

 

 

D’origine marocaine et formé à l’école française, le patron met toute son expérience au service de vos papilles en vous offrant par exemple un tajine de bar à la fondue de fenouil, le fameux couscous de l’Atlas ou encore une pastilla au foie gras et girolles entre autres créations.

 

 

 

 

 

 

Il y a également de bonnes grillades comme les brochettes d’agneau ou de veau et des desserts classiques comme les pâtisseries orientales ou plus originaux comme le baghrir au miel.
Le prix des entrées vont de 9 à 19€. Les plats de 17 à 39€. Et les desserts de 7 à 10€.

L’Atlas 

12 boulevard Saint-Germain

75005 Paris

Tél : 01 46 33 86 98

 

Aux Près

 

 

 

Après le Quinzième, puis le Chardenoux, Cyril Lignac a ouvert son troisième restaurant sur la place parisienne avec une nouvelle adresse dans le 6ème arrondissement avec un nom joliment décliné par l’air du quartier : le Chardenoux des prés renommé depuis 2015 Aux Prés !

 

 

 

 

 

 

Cyril a choisi avec soin ce nouveau lieu, il s’est épris pour Saint-Germain-des-Prés : un quartier bouillonnant d’adresses qui fut un haut lieu de la vie intellectuelle et culturelle parisienne…

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais surtout Cyril fut fasciné par l’histoire du restaurant Claude Sainlouis, ce restaurant mythique du quartier Saint-Germain ouvrit ses portes en 1960, tenu par un charismatique patron, cette adresse devint un must de l’époque et vit défiler des célébrités du Show Biz comme Serge Gainsbourg ou de la politique (François Mitterand,…).

La décoration du restaurant a été conservée et restaurée afin de conserver l’esprit du lieu.

 

 

 

 

 

 

 

Notamment, la belle tapisserie fleurie a été bichonnée par les restaurateurs, le carrelage d’époque ainsi que toutes les peintures refaites en couleurs d’origine.

Arrivés au restaurant, on croise Cyril Lignac en pleine conversation avec un membre de son équipe de cuisine, toujours aussi décontracté et naturel 🙂

La première salle se présente comme un typique bar de bistrot, avec des sièges de comptoir un peu particuliers au look 70’s mais visiblement très confortables.

La seconde salle « au papier fleuri » vous accueille dans ses belles banquettes, avec toujours ce côté typiquement bistrot dans le décor.

Luminaires d’origine diffusant une lumière tamisée, peut-être un poil trop considérant la couleur sombre du papier…

La troisième salle est ravissante, la plupart des anciens portraits de présidents de l’ancien restaurant y ont trouvé place, très jolie ambiance, en tête à tête c’est parfait.

 On retrouve en effet les grands classiques de bistrot à la carte, revisités bien sûr avec la patte du chef !

Sans hésitation les Quenelles façon Chardenoux. Elles sont fièrement gonflées et se révèlent fondantes à souhait… sur un petit lit de champignons et bordées de crème savoureuse   avec une saveur légèrement acidulée du plus bel effet.

Le Carpaccio de dorade royale et sa crème aigrelette parfumé au gingembre est d’une fraicheur exceptionnelle. Parsemé d’Aneth et de petits morceaux de croutons biscuités, c’est un délice !

À la carte également : le pâté en croute de tradition au canard foie gras et figues, l’émietté de tourteau et sa salade de pomme de terre tièdes en vinaigrette ou encore la poêlée de chipirons et sa piperade à la basquaise.

En plat, le Cabillaud cuit doucement, petits pois frais et douceur d’orange est servi avec panache dans un plat rutilant.

La chair du poisson est ferme, se découpe avec facilité et d’un fondant magnifique… En effet la cuisson lente est tendance, réglée tout juste pour obtenir une texture entre deux… Cette impression de poisson non cuit à coeur peut en rebuter certains, mais les avantages apportés sont tellement appréciables que, nous, on aime !

Les petits pois « cueillis du matin dans le jardin » comme nous le dit le serveur, sont croquants, cuits aussi au plus juste et explosifs en saveurs : la nature en pleine bouche !

 

 

 

 

 

La sauce en émulsion parfume délicatement le poisson, quelques effluves d’orange en effet, mais cela restait discret…

Les amateurs de poissons iront aussi du côté du Saint pierre cuit à la plancha et ses petits pois cuisinés au chorizo bellota…

Ayant un grand appétit, je choisi en plat la belle côte de cochon noir de Bigorre au saté accompagné de pommes dauphines.

Le morceau de viande est plantureux, superbement tendre et épicé au plus juste, car le mélange d’épices saté est puissant et particulier au palais… et ici la saveur de la viande s’exprime pleinement avec son assaisonnement. Pommes dauphines exquises, j’adore !

 À déguster également et pour suivre la tradition des plats de viande de l’ancienne maison : la belle entrecôte Black Angus de 300gr et sa sauce béarnaise ou le tartare de boeuf au couteau et ses frites maison ! Ou encore le riz de veau de Corrèze, jus acidulé et purée de carottes au curcuma…

 

 

 

 

 

 

 

Des desserts de tradition parfaitement réalisés.

Pour les amateurs du genre, le Baba au rhum s’impose de lui-même, servi royalement avec ses deux bouteilles de rhum à discrétion : Bacardi ou Saint-James… et sa crème chantilly maison servie dans sa saucière. Le Baba est parfaitement réalisé et bien arrosé, c’est miam miam  c’est délicieux !

Sinon le riz au lait parfumé à la vanille bourbon est une bonne option et les profiteroles sauce chocolat, un choix gourmand !

On termine le repas comme il se doit avec un petit café, et là, surprise! Le directeur du restaurant déambule dans la salle avec un moule à madeleines 🙂

Tout chaud, vous agrippez fébrilement ce petit gâteau et c’est le bonheur !

Le service est à la hauteur de ce qu’on attend d’un restaurant : attentif, poli, respectueux et un brin décontracté. (Au service, Jacques est drôle comme tout !).

Compter entre 40 € et 50 € pour un menu le soir et 25 € pour la formule du midi 

Aux Près

27 Rue du Dragon

75006 Paris

Tél  : 01 45 48 29 68

 

 

Le Bar des Prés

 

 

 

 

 

 

Plus besoin de présenter Cyril Lignac, sa bouille enjouée, son accent du soleil et son CV long comme le bras de Rudy Gobert. Parmi ses plus franches réussites ? Sa triplette d’adresses qui enflamment la rue du Dragon, dont notre préférée, le Bar des Prés, ex-institut de bronzage devenu crépusculaire comptoir d’inspiration nippone à la sauce Lignac. La déco chicos signée Studio KO invente l’izakaya de luxe avec ses tables marbrées, ses luminaires en osier et ses banquettes à motifs paon, tandis que la cuisine envoie blockbusters du chef et tueries japonisantes.

 

 

L’autre soir, flottant dans une faune BCBG ascendant Rolex sur fond de musique gentiment électro, on cale nos coudes sur le bar pour commander au staff avenant LE gimmick Lignac : sa craquante et fine galette de chair de tourteau et avocat, génialement parfumée au curry Madras (28 €), suivie d’un assortiment de six sushis chèrement facturés (38 €) mais parfaitement fondants et exécutés, entre otoro (ventrèche de thon gras), anguille laquée et Saint-Jacques.

 

 

 

 

 

 

 

On enchaîne avec des moins convaincants california de crevettes croustillantes, sésame wasabi et mayonnaise thaïe (28 €). Avant de ne laisser aucune chance à des oursins marinés au tosazu (vinaigre de riz à la bonite fumée), cébette et citron vert, génial plat méconnu de la préfecture de Kōchi (au sud du pays).

 

 

 

 

On fait passer tout ça avec des cocktails plutôt bien troussés, comme ce doux et acidulé Tokyo Garden (gin, saké, yuzu, shiso, litchi) à 19 €. Fin de partie avec un splendide chiffon cake au thé matcha et chocolat Guanaja nous rappelant que Lignac est aussi l’un des meilleurs pâtissiers de sa génération.

Prix : plats : 30-40 €

Le Bar des Prés

25 rue du Dragon

75006 Paris

Tél : 01.43.25.87.67

Le Beurre Noisette

 

 

 

 

 

Ce Beurre Noisette au décor bistrot revisité sans ostentation ne désemplit pas. Et pour cause, le chef Thierry Blanqui, passé par les cuisines les plus raffinées de la capitale (dont celles du Ledoyen de Christian Le Squer), y concocte des plats classiques mais revisités magistralement pour le plus grand bonheur des gourmets.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Installé dans la rue Vasco de Gama depuis 2001, dans le 15e arrondissement de Paris, le bistrot Le Beurre Noisette de Thierry Blanqui est une valeur sûre dans le quartier avec sa cuisine aux saveurs d’Auvergne comme son chef.

 

 

 

 

 

 

Dans un cadre de bistrot simple mais élégant, le service est agréable et aux petits soins, les assiettes sont belles et gourmandes et les prix corrects.

 

 

 

 

 

Le chef ne vous propose pas de carte fixe dans son restaurant, mais une ardoise du marché avec des plats qui changent très souvent suivant les produits du jour, son inspiration… donc difficile de citer des spécialités maison.

Et puis, tout est bon, voire très bon au Beurre Noisette… forcément, avec ce nom, c’est gourmand, c’est gourmet !

Ce Beurre Noisette au décor bistrot revisité et relifté en 2011, version appartement, sans ostentation ne désemplit pas.

 

 

 

 

 

Et mention au service féminin, efficace et charmant à souhait !

Carpaccio de pied de cochon en ravigote aux lentilles, Consommé de homard en gelée, Brandade de haddock au chou, Tourte feuilletée de ris de veau et foie gras, croustillante et fondante à la fois…

En dessert, Riz au lait, avec son caramel, ses brisures de sablé et ses morceaux de fruits cuits, Quenelles au chocolat, Baba au rhum, Sablé breton à la rhubarbe avec sa glace au miel.

Côté prix, le chef du Beurre Noisette vous propose :

Formule à 23€ (entrée-plat ou plat +dessert)

– Menu le midi à 32€ (Entrée+Plat+Dessert)

– Menu le soir à 36€ (Entrée+Plat+Dessert)

– Un menu dégustation en 7 plats est proposé pour 55€ par personne et à l’ensemble de la table.

Bon point : la table d’hôte dans une salle privée pour les dîners entre amis, le service tardif…

Le Beurre Noisette

68 rue Vasco-de-Gama

75015 Paris

Tél : 01 48 56 82 49

Bigbang

 

 

 

 

 

Le restaurant Bigbang met en avant la haute gastronomie coréenne, notamment son barbecue coréen réalisé à partir de produits frais. Bœuf mariné, filet de poulet, filet de canard, poitrine de porc, le chef sélectionne personnellement les meilleures viandes pour que votre barbecue soit le plus convivial possible.

 

 

 

 

 

 

 

 

À côté du plat principal, vous pourrez profiter de raviolis grillés, beignets d’ailes de poulet caramélisé, ou de porc kimchi sauté avec du tofu. Un verre de thé servi dans une belle vaisselle en porcelaine finit de nous faire voyager.

À côté du plat principal, raviolis grillés, beignets d’ailes de poulet caramélisé, ou de porc kimchi sauté avec du tofu. Un verre de thé servi dans une belle vaisselle finit de nous faire voyager.

 

 

 

 

 

 

Les autres plats incontournables de la cuisine coréenne sont aussi au rendez-vous du restaurant Bigbang : bibimbap servi dans un bol de pierre brûlant, bœuf mariné sauce soja (bulgogi),

 

 

 

 

 

 

 Les autres plats incontournables de la cuisine coréenne sont aussi au rendez-vous du restaurant Bigbang : bibimbap servi dans un bol de pierre brûlant, bœuf mariné sauce soja (bulgogi), il y a de quoi se régaler.

 

 

 

 

Tous les plats sont préparés avec les plus grands soins par le chef coréen Kim Kyng Yong , chef expérimenté et spécialisé dans la gastronomie coréenne depuis des dizaines d’années : un délice testé et approuvé.

Prix moyen : 25 €

BigBang

4 Rue Gay-Lussac

75005 Paris 

Tél : 01 43 29 09 99

 La Cantine du Troquet

 

 

 

 

 

Brillant cuisinier formé dans de grands restaurants étoilés, Christian Etchebest avait choisi le registre de la bistronomie quand il s’était mis à son compte.

 Le patron de ce bistro sympa Mais attention, ici pas de réservations : on attend au joli zinc qui se trouve à l’entrée devant un verre de vin et des tranches de saucisson, qu’une table se libère pour pouvoir s’installer. D’ailleurs, si les tables en duo sont toutes prises, on s’installe sans façons à côté d’autres convives sur l’une des deux grandes tables en bois sombre et ça n’a l’air de gêner personne… bien au contraire, ça crée même une chaleureuse convivialité !

 

 

 

 

Mais avant de vous installer, comme on ne vous donne pas de carte ou de menu à table, il faudra encore que vous alliez voir sur la grande ardoise accrochée aux murs, quelles sont les propositions du jour,

 

 

 

 

 

Et bien tout ça n’empêche pas une belle clientèle de gourmands de remplir chaque jour la maison pour se régaler d’une rare cuisine bistrotière tarifée avec mesure.

 

 

 

 

 

 

 

Son oreille de cochon bien grillée servie sur un mesclun de salade, ses délicieux couteaux cuits à la plancha, son impeccable cabillaud sauce vierge, son délicieux lomo de cochon grillé au piment d’Espelette servi avec d’excellentes frites maison, son  riz au lait crémeux ou son crumble façon cantine ne sont que quelques exemples des mets à succès de la maison.

 

 

 

 

 

 

 Mais finalement, donnez carte blanche à Christian Etchebest et demandez-lui de composer un menu pour toute la table. Ça ne vous coûtera qu’autour de 35 € par personne pour faire un remarquable repas.

Fourchette de prix : 25€ – 35€

 La Cantine du Troquet

 101 rue de l’Ouest

 75014 Paris 

Tél : pas de téléphone

La Cave de l’os à Moelle

 

 

 

 

 

Selon la saison, la carte du restaurant La Cave de L’Os a Moelle annonce le fois gras de canard maison, les oeufs mimosa et macédoine de légumes croquants, le saumon mariné avec crème de raifort, le poulet fermier rôti et pomme purée, ou la choucroute garnie.

 

 

 

 

 

 

Pour le dessert, le riz au lait aux pruneaux et à la cannelle, la tarte aux fruits à l’alsacienne, le Bettelman « mendiant » aux griottes, ou le gâteau de semoule aux fruits confits et poires aux épices. Les vins du restaurant La Cave de L’Os a Moelle sont au prix de la boutique et à choisir sur les vastes étagères qui courent le long du restaurant.

 

 

 

 

Très convivial. Parfait pour se faire de nouveaux amis.
Quelques tables hautes en terrasse pour les beaux jours.

 

 

 

 

 

 Á la carte du restaurant La Cave de L’Os a Moelle compter environ de 20 € à 30€.
Buffet à 25 € de cuisine de grand-mère (blanquette de veau, brandade de morue, boudin, baratte de beurre à partager) comprend entrée, potage, plat du jour, fromage et dessert.

La Cave de l’os à Moelle

181 Rue de Lourmel 

75015 Paris

Tél : 01 45 57 28 28

 

Chez Tonton

 

 

 

 

 

Chez Tonton, la petite salle est élégante avec ses murs bleus, son grand tableau d’herbes des champs, ses lampes d’inspiration industrielle et ses fleurs disposées çà et là. La cuisine semi-ouverte laisse filtrer ses secrets et les fumets des plats qu’on y prépare minute.

 

 

 

 

 

Ce restaurant chinois du 15e arrondissement sort du commun: il nous propose de découvrir la cuisine de Mandchourie –un vaste territoire au nord-est de l’Asie qui couvre majoritairement la Chine, et une petite partie de la Russie.

 

 

 

 

 

 

Vous n’y trouverez pas les plats que l’on a l’habitude de voir à la carte des restaurants chinois. Chez Tonton, c’est un dépaysement total et une cuisine authentique, avec un choix végétarien et végétalien non négligeable.

 

 

 

 

 

Alors que vous goûtiez les raviolis à la vapeur courgette et œuf, les lamelles de porc sautées, les beignets d’aubergines, les champignons noirs chinois au vinaigre, ou le fameux Tonton bœuf avec des cacahuètes et noix de cajou grillées, de la coriandre, de l’ail, des huiles parfumées et de la sauce soja, vous ne serez pas déçus!

La salle n’est pas grande, donc réservation indispensable.

Prix : entre 30 et 50 euros

Chez Tonton

20 Rue Gramme

75015 Paris
Tél  : 09 53 31 25 80

Compagnie des vins surnaturels

 

 

 

 

 

 

 

  Depuis son ouverture en septembre 2011 face au Marché Saint-Germain-des-Prés dans le 6ème, le bar à vin Compagnie des Vins.

Le concept est classique : des vins à déguster au verre ou à la bouteille tout en dégustant seul ou en partageant des planches de charcuteries, de fromages et autres tapas. Le succès repose juste sur la bonne humeur du patron et une cave à vins d’exception accompagnée de produit de qualité.

 

 

 

 

Pour ceux qui souhaitent découvrir des vins de qualité, hors des sentiers battus et adaptés à toutes les bourses (et tous les excès), ce bar intimiste du 6ème est à connaitre.

Beaucoup de régions viticoles françaises et du monde sont représentées et c’est idéal pour se laisser tenter par des sud-africains ou des argentins.

La restauration n’est pas en reste puisque les antipastis proposés (environ 15€ l’assiette) s’associent parfaitement avec la carte des vins : Rillettes, Pata negra ou Fromage, Saint-Jacques à la truffe ou Burrata…

 

 

 

 

Le plus, c’est le choix de vins au verre (une vingtaine, de 8 à 50€) qui permet de découvrir de grands vins sans trop se ruiner. Merci le progrès avec les machines à Xeon qui permettent la conservation des bouteilles ouvertes.

 Sinon, vous avez environ 400 références en bouteille, avec un minimum de 30€ (Morgon de Burgaud) et un maximum à plusieurs milliers d’euros (Pétrus 1989 à 2900€).

Petit plus : découvrez un vin mystère pour gagner la bouteille… les perdants reçoivent la réponse par mail lorsque quelqu’un trouve la bonne réponse.

Une adresse parfaite pour un rendez-vous romantique grâce à son ambiance tamisée, sa décoration chaleureuse et ses canapés moelleux 

 

 

 

 

Le patron a le sens de l’accueil, un vrai passionné qui aime partager. Le service est aussi attentionné et compétent.

Une adresse à noter mais n’oubliez pas de réserver car à partir du jeudi, les tables sont prises d’assaut et l’endroit est assez petit.

La devanture ne porte aucune enseigne. Le patron laissera comme ça : il a déjà beaucoup de succès comme ça, avec une salle comble tous les soirs du jeudi au samedi.

Pour les grands amateurs, la salle feutrée ne permet pas vraiment de distinguer la robe des vins. Préférez la dégustation au comptoir bien éclairé !

 

 

 

 

 

 

Côté food, c’est pareil. Pour exemple ce Croque Mozza, vous avez là l’intégralité de l’assiette à 14€. La carte commence avec le houmous à 10€ mais ça ne va pas vous caler. 

Même si ce sont des préliminaires qui risquent de vous coûter un peu cher. Les prix font en effet le grand écart – de 6 à 80 euros le verre, et de 20 à 4 000 euros la bouteille. Mais pas de panique, si vous n’avez pas quatre loyers à dépenser pour un flacon, les entrées de gamme sont déjà d’un très beau niveau. A tester, au moins une fois. Ne serait-ce que pour le prosciutto al tartufo ou la tarte au citron, parfaitement accordés.

Compagnie des vins surnaturels

7 rue Lobineau

75006  Paris

Tél : 09 54 90 20 20

Coya Beaupassage

 

 

 

Il fait incontestablement partie des plus beaux restaurants branchés et festifs de Paris : Coya Beaupassage !
Londres, Mykonos, Dubaï, Abu Dhabi, Londres… les fins palais aiment se retrouver chez Coya aux quatre coins du globe. À Paris, les amateurs de belles tables festives se donnent aussi rendez-vous chez Coya Beaupassage. Niché rue du Bac dans le 7ème arrondissement de la capitale, ce restaurant chic et branché s’insinue au coeur du spot hautement gastronomique Beaupassage. Ici, dans un cadre somptueux et dépaysant à souhait, on goûte à une cuisine péruvienne de haute volée.

 

 

 

 

 

 

 

Chez Coya Beaupassage, le temps d’une parenthèse exotique, plongez dans la chaleur de l’Amérique du Sud. Une expérience culinaire détonante, avec des assiettes aux saveurs, textures et couleurs incroyables. Lors de ce voyage des sens, nous avons eu l’occasion de goûter à bon nombre de délices concoctés par l’équipe de Coya.

 

 

 

 

 

Au Menu ? Un guacamole préparé sous nos yeux, des empanadas de canard de foie gras à la mayonnaise au Tamarin et des Tostadas de thon Albacore et caviar. En bouche, c’est une explosion de saveurs ! Et vous l’aurez compris, Coya Beaupassage mise sur l’excellence de ses produits. Nous poursuivons notre repas avec un Bao de Wagyu fondant et ultra savoureux. Puis, arrive à notre table un plateau de Ceviches & tiraditos ultra frais, aux multiples saveurs.

 

 

 

 

 

 

Du côté des plats, c’est aussi un sans faute. Servie à table sur son grill, la cuisson de l’entrecôte de boeuf Wagyu est parfaitement exécutée. Elle s’accompagne d’une sauce chimichurri et guasacaca qui nous transporte en Amérique Latine. Mention spéciale pour le Homard bleu au beurre de bisque fumée, à la sauce escabèche et oignons, dont nous nous souviendrons longtemps. En accompagnements, les asperges vertes au beurre de Tamarin et Broccolini sauce au piment, ail, gingembre & sésame se marient à merveille.

 

 

 

 

 

 

 

 

Après avoir siroté un délicieux Pisco Sour aux lettres de Coya, place aux desserts ! On craque pour le Pastel de Maïs au mezcal caramel, mousse au maïs et popcorn caramélisé. Une petite tuerie ! Gros coup de coeur pour le Chocolate & Tamarillo, à la mousse au chocolat Illanka, sorbet épicé à la fraise et tamarillo confit. L’apothéose !

Prix : À la carte : ceviches et tiraditos de 12 à 16€ ; anticuchos et tacos de 8 à 14€ ; poissons et viandes de 25 à 38€ ; desserts de 9 à 12€. Menu déjeuner à 29 et 35€. Cocktails de 14 à 17€.

Coya Beaupassage

 83 rue du Bac

 75007 Paris

Tél : 01 43 22 00 65

Les Délices de Shandong  

 

 

 

 

 

 

En poussant la porte du Délices de Shandong, le client ne se retrouve pas dans un énième restaurant asiatique, mais dans un des seuls représentants de la cuisine du Shandong, une province située au nord-est de la Chine. Même si on y cuisine des plats traditionnels chinois, ici les spécialités sont les tripes au piment, les racines de lotus ou encore la méduse à l’ail.

 

 

 

 

Le restaurant est devenu une institution grâce à son patron et cuisinier, monsieur Xue. Il est originaire de Qingdao, capitale de la province de Shandog située à l’est de la Chine et connue pour sa bière la Tsingtao (autre nom de la ville). Après plus de 30 ans d’expérience gastronomique, il met toujours en avant la cuisine de son pays et ses plats nous transportent véritablement à l’autre bout de la planète. En entrée, il faut goûter aux racines de lotus, douces et croquantes à la fois, ou aux oreilles de porc aux concombres, étonnant. Les plats sont assez pimentés et souvent curieux comme ces intestins frits de porc, très courants en Chine.

 

 

 

 

 

Plus classique le poulet aux ciboulettes à la vapeur ou à l’aigre-doux. La carte comporte aussi des poissons et des fruits de mer avec un bon choix de crevettes. Parmi les légumes les champignons parfumés associés au chou vert sont excellents. En revanche, un faible choix de desserts mais on peut s’en passer car monsieur Xue nous a bien régalés avec ses plats.

 

 

 

 

 Pour débuter le repas par les arachides au céleri (4 €), un plat frais et croquant typique de cette région où l’on cultive des cacahuètes. Quoique parfaitement moelleux, le bœuf aux cinq parfums (8 €) est nettement moins excitant que les cœurs, foies et gésiers de poulet au piment, qui se mangent aussi facilement que du pop-corn. Les méduses à l’ail (6,50 €) sont arrivées par hasard sur notre table, mais nous les avons mangées sans rechigner. Très fondantes, les aubergines à la sauce piquante (8 €) sont une expérience à répéter, et nous avons hâte d’explorer le reste de la carte variée, surtout les soupes et fruits de mer qui sont également des spécialités de la région.

Les tarifs varient de 15 à 30€ à la carte et au menu.

Les Délices de Shandong  

88 Boulevard Hôpital

75013 Paris  

Tél : 01 45 87 23 37

Épicerie Tempero  

 

 

 

 

 

Direction le 13e arrondissement pour découvrir Tempero, l’épicerie-cantine-cave à manger d’Alessandra Montagne-Gomes, ouverte juste en face de son restaurant Nosso. Dans les verres, des vins propres, dans les assiettes, des recettes d’enfance de la cheffe, et sur les étagères, des tonnes de bons produits locaux.

 

 

 

 

 

 

4 ans après la fermeture de Tempero, voilà que la cheffe Alessandra Montagne-Gomes dévoile la version 2.0 de ce projet, à quelques encablures de la BNF, de La Felicita et en face de sa table Nosso. Pensée comme un véritable garde-manger, cette nouvelle adresse s’étend dans un bel espace baigné de lumière du jour grâce à ses grandes baies vitrées, et se distingue par son triple emploi, à la fois épicerie où dégoter les plus belles trouvailles locavores de la cheffe, piochées en circuit court auprès de plus de 100 producteurs ; cave à manger où siroter un verre de vin propre en grignotant des produits fins ; et véritable petite cantine abordable, au déjeuner.

 

 

 

 

 

 

Parmi les produits que l’on y retrouve à emporter, citons les produits frais de Zone Sensible à Seine Saint Denis, les fromages de la Laiterie de Paris, les charcuteries sans nitrites de la Maison Montalet, les produits sans gluten de KOM&SAL, les produits marins de Maison Memmi, les épices d’Ankhor et de La Plantation, ou encore des conserves maison, saisonnières et produites en petites quantités par la brigade de Nosso.

 

 

 

 

 

 Mais il est aussi tout à fait possible de s’installer et de se restaurer sur place, avec une belle offre de sandwiches cuisinés, clins d’œils aux recettes signature du restaurant Nosso : croque-pao de queijo, oignons confits, jambon cru, salade d’herbes, vieux comté ; pain brioché maison, kefta de canard, pickles de chou et de moutarde, mayonnaise maison ; focaccia, pastrami maison, roquette, tomates séchées… Le plus dur sera de choisir !

Depuis quelques semaines, la cheffe a également fait le pari de proposer, le midi, des menus déjeuner abordables, 24€ le menu entrée/plat ou plat/dessert, 28€ le menu entrée/plat/dessert, à composer avec les propositions à l’ardoise. Les stars de la carte, chez Tempero, ce sont les cocottes (18€) qui changent tous les jours. Lors de notre passage, une moqueca de poisson crémeuse aux douces saveurs de coco, relevée d’une sauce pimentée de la création d’Alessandra Montagne, et un poulet grillé soigné, accompagné de gratin.

 

 

 

 

 

 

 

Ne faites pas non plus l’impasse sur les entrées (8€), particulièrement savoureuses, à l’instar de ces croquettes de boudin noir et purée de patate douce-citron vert, et de cette focaccia aux poivrons confits et feta. Cave à manger oblige, on accompagne bien sûr le tout d’un verre de vin nature, biologique ou en biodynamie soigneusement sélectionné par le chef sommelier de Nosso, Aurélien Gil-Artagnan, d’une bière artisanale ou d’un spiritueux français.

Avant de partir, laissez-vous tenter par un dessert (7€) comme le flan, doré et crémeux, ou la panna cotta à la mangue et au fruit de la passion, drôlement acidulée, et par une bonne tasse de café de la Maison Caron !

 Tarifs : entrée/plat ou plat/dessert pour 24 € – entrée/plat/dessert pour 28 €

Epicerie Tempero

24 Promenade Claude Lévi-Strauss

75013 Paris

Tél  : 01 45 84 19 81

 

Il était un square

 

 

 

 

 

A la recherche d’un restaurant où passer l’automne avec un menu 100% réconfortant ? Il était un square est un joli bistrot situé au pied de la butte aux cailles face au joli square René Le Gall. 

Les spécialités de la maison sont donc les tartares et les burgers avec leurs recettes originales et leurs buns faits maison leur viande bovine d’origine française et leurs frites et mayonnaise maison !

 

 

 

 

 

Hmmm rien que d’y repenser en écrivant cet article j’en ai à nouveau l’eau à la bouche !

À découvrir, à savourer : un burger très original : le cajun ! Un bon gros burger avec un steak de filet de poulet haché mariné aux épices cajun avec de la purée d’avocat aux oignons rouges, du bacon croustillant, de la salade croquante et de la sauce barbecue. Un vrai délice ! La tout servi avec de la salade et des frites délicieuses !

Mais si vous êtes plus traditionnels : le cheddar, plus classique mais tout aussi bon pourrait ravir vos papilles avec ses 150g de bœuf haché, ses oignons rouges caramélisés au vinaigre balsamique, sa tomate fraîche et sa généreuse crème de cheddar fondu qui dégouline de partout !

 

 

 

 

 

 

À tester les tartares notamment le péruvien : un ceviche de sole tropicale au citron vert sur lit de concombre, coriandre, oignons rouges, lait de coco et piment de Cayenne accompagné de riz et de salade de tomates d’autrefois (une prochaine fois s’il reste sur la carte !).

Chose amusante, il y avait autant de français que d’anglophones dans le restaurant !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le personnel du resto est tout de suite aux petits soins avec les clients. Ils sont sympas et on se sent tout de suite presque comme à la maison. L’ambiance est chaleureuse et la décoration agréable avec plein de petits dessins souvent humoristiques sur les murs.

Le service a été très rapide et impeccable !

 Tarif moyen :  entre 31-45 €

Il était un square

54 Rue Corvisart

 75013 Paris

Tél : 01 43 37 68 07

La Mer De Chine

 

 

 

 

 

C’est dans la très modeste rue du Château des Rentiers, un peu à l’écart du quartier chinois, que l’on trouve La mer de Chine. Ce restaurant chinois, au décor lui aussi modeste, propose en revanche une carte étonnante. On y sert les plats habituels, mais aussi de nombreuses spécialités cantonaises savoureuses et parfois étranges, très rarement goûtées par les palais occidentaux.  

Salade de méduse, crabe en mue sauté à l’ail, langues de canard sautées, liseron d’eau et autres spécialités pointues.

 

 

 

 

 

 

 

  La carte regorge de plats que vous ne trouverez nulle part ailleurs. Le service y est long et pour cause : c’est du fait maison ! Rassurez-vous, vous pourrez cependant patienter avec un bon verre de jus de coco accompagné de pétales de noix de coco. Un délice !

Parmi les plats que l’on vous conseille, il y a les pâtes de riz sautées maison (9,5€ ) . Il s’agit de leur spécialité. Ce sont des cubes de riz compact à la texture douce, laquées, service avec des pousses de soja, quelques feuilles d’algue, le tout recouvert d’une fine omelette. Et ça vaut le détour !

 

 

 

 

 

 

L’autre plat incontournable, c’est les cuisses de grenouilles sautées au sel et au poivre ( 13,5€ ). Charnues et savoureuses, elles sont recouvertes d’une petite couche croustillante qui relève leur goût.

 

 

 

 

 

Si vous avez cependant du mal avec la grenouille, il y a la même recette version crevettes ! Si vous avez besoin de plus de légèreté, la salade de mangues saura conquérir vos petites papilles.

 

 

 

 

En dessert, Mer de Chine vous propose leur incontournable : des beignets de taro ( 10€ ). Ils sont servis par dizaine alors mieux vaut se les partager.

Quand enfin vous repartirez de ce restaurant, à votre tour, vous ferez passer le mot à l’oreille de vos amis. Et ainsi se répètera l’histoire.

Formules : Menu midi 15 € Menu soir 25 € Carte 25-35 €

La Mer De Chine

159 Rue du Château des Rentiers

75013 Paris

Tél :  01 45 84 22 49

Narro

 

 

 

 

 

 

Narro signifie « je raconte » en latin. Justement, dans ce restaurant bien planqué à deux enjambées d’une Contrescarpe pas très gastro, on ne raconte pas de craques, seulement de belles histoires. Celle qu’écrit le chef japonais Kazuma Chikuda, ex-Le Sot l’y Laisse passé chez Bocuse (à Tokyo), vaut la peine d’être goûtée.

 

 

 

 

 

Improbable enclave de bon goût ornée de fauteuils en kilim, la salle aux couleurs chaudes est bordée d’une aguichante terrasse qu’il convient de prendre d’assaut, pile sous les fenêtres de l’Hemingway de Paris est une fête.  Et quelle fête !

 

 

Dans l’ébaubissant menu midi qui change chaque semaine, dressages poètes, légumes sexy, cuisson « laser », audacieux mélanges, sourcing soigné et longueur en bouche font de chaque assiette une joie d’esthète. Le choix est difficile : bombesque tataki de noix de veau, buffala fumée et légumes croquants ou entêtant œuf parfait, sardine fumée et siphon petit pois-lavande ?

 

 

 

 

 

 

Printanier lieu jaune nacré, risotto d’asperges blanches et nuage de coques ou bestiale basse côte de bœuf, asperges vertes et crème de morilles ? Obscène cookie dough tiède ou envoûtante tartelette kumquat-crémeux d’agrumes ? Si ça devient trop compliqué, demandez à Megumi Terao, délicieuse gérante de très bon conseil, de vous aiguiller.

 

 

 

 

 

 Côté pif, c’est Byzance ! Le gouleyant Thomas Legrand, sommelier à l’âme nature, écoule jajas désulfités, sakés et vins de macération avec, au verre, le sauvignon La Piffaudière d’Olivier Bellanger, Mâcon-Bray le Mouton Blanc (43 € la bouteille), et autres joyeusetés pour fins gosiers en pente.

Prix : menu midi (entrée/plat ou plat/dessert) : 24 € – Entrée/plat/dessert : 29 € – Carte : 40 € – 60 € – Vin au verre : de 7 à 12 €

Narro

72 rue du Cardinal-Lemoine

75005 Paris

Tél : 09.73.24.07.95

Persillé- Comptoir à Viande

 

 

 

 

 

 

On vient acheter sa viande garantie d’origine française et emballée sous-vide ou déguster son morceau sur place par appétit pressant. La semaine l’établissement propose des formules à composer, pour cela il suffit de choisir son plat et d’y ajouter des options telles qu’un dessert, une boisson, un café ou autres.

 

 

 

 

Avant de se poser pour manger sur un billot on sélectionne donc son assiette principale : burger persillé (bœuf haché sur place, emmental et sauce aux câpres), brochette de volaille marinée au satay, tartares ou tatakis… De nombreuses sauces maison peuvent accompagner les pièces notamment la chimichurri, la tartare, la poivre ou la comté-reblochon. Alors sortez les crocs !

 

 

 

 

 

Vous choisissez votre plat (prix affiché au tableau), vous composez votre menu avec l’accompagnement et la boisson à 4 euros puis vous vous installez à table avec un plateau en laissant le numéro qu’on vous remet en évidence. Quelques minutes plus tard, votre repas vous sera servi à table !
À tester une suggestion du boucher, la planche d’assortiments « entrecôte, bavette et faux-filet », en menu avec boisson à 26 euros. Servies sur une belle planche de bois avec des frites maison bien croustillantes, les viandes étaient cuites à la perfection, bien tendres à la dégustation en sus une excellente sauce au poivre en supplément à 1.50 euros en plus de la délicieuse sauce tartare. Vous avez également à disposition, à volonté, une sauce maison à base de ketchup, mayonnaise et cumin.

 

 

 

 

 

Á savourer également le burger dick pickles, à 16 euros en menu avec boisson, un burger à base de viande hachée sur place, poitrine fumée, pickles maison, oignons, cornichons, carottes, cheddar et sauce moutarde à l’ancienne, un burger bien gourmand digne de celui que vous prépareriez à la maison !

 

 

 

 

 

 

Pour terminer, pour 3.50 euros, vous avez le choix parmi quelques desserts faits maison. À tester conseille vivement le tiramisu fraise / framboise, onctueux, pas très sucré et frais pour terminer un aussi bon repas !
En fin de repas, vous pouvez repartir au comptoir pour sélectionner de la viande à emporter chez vous pour les repas des jours suivants, vous aurez donc fait d’une pierre deux coups en réalisant vos courses du boucher.
Formules : Menu midi 15 €

Persillé- Comptoir à Viande
66 Rue du Chevaleret
75013 Paris
Tél : 01 45 82 98 96

 

Petrossian

 

 

 

 

 

 

La célébrissime maison de caviar a ouvert fin 2018 un restaurant qui fait du caviar le Tsar du menu. À la carte, des déclinaisons surprenantes du précieux oeuf d’esturgeon, à l’image du quasi du veau de lait au caviar maturé, les tagliatelles fraîches au caviar Ossetra… Et que dire des frites Pont Neuf ou des pommes soufflées maison à tremper dans le caviar liquide !

 

 

 

 

En cuisine le chef Julien Viollet qui a travaillé avec Marc Meneau, remplace la chef Rougui Dia depuis l’été 2013 ; il respecte les produits et ajoute un excellent savoir-faire personnel.

 

 

 

 

 

Selon la saison la carte annonce le délicat et goûteux Crabe Impérial avec pétales de radis marinés et vieux balsamique, le spectaculaire oeuf caviar avec fleurette au céleri et caviar Alverta, l’Assiette de saumon fumé royal avec des légumes marinés sauce raifort plus toast et blinis parfaitement équilibré d’un produit remarquable, les harengs Silotka avec pommes charlotte et Malosol, les oeufs de saumon sauvage, les gourmandes coquilles Saint-Jacques avec endivettes cédrats et poutargue, le King Crab Roll avec céleri pommes vertes et fèves tonka, l’agneau Yagouline cuit 7 heures avec ris d’agneau croustillant et compotée de fruits épicés, l’esturgeon Osciètre avec oignons confits et caviar.

Et bien entendu une somptueuse sélection de caviar.

 

 

 

 

Pour le dessert, la soupe de chocolat avec profiteroles churros et poires, le soufflé chaud La Vatrouchka et crème glacée aux canneberges toujours apprécié, ou le magnifique Kyscielli de fruits de saison : châtaignes-pommes-poires-mandarines.

 

 

 

 

 

Le menu à 35 € avec entrée, plat et dessert servi au déjeuner est l’une des meilleures affaires de Paris.

Pour le plaisir ou le prestige, on peut y ajouter un plus de caviar dans un présentoir de 15g à 25 €, 39 € ou 52 € selon l’origine. Le soir menu à 60 €.

Menu à 95 € ; menus « Découverte Caviar » à 255 et 430 €.

à la carte compter environ de 62 à 105 €… et beaucoup plus avec les remarquables caviars.

 Petrossian

13 boulevard de la Tour Maubourg

75007 Paris

Tél : 01 44 11 32 32  

 

Phô 13

 

 

 

 

 

 

 

Le Pho 13 s’inspire grandement de la chaîne de Pho star au Vietnam (Pho24), qui a été la première a présenter à la clientèle de façon moderne cette soupe typique Vietnamienne : le fameux Pho !

Anciennement avenue de Choisy, le restaurant a déménagé non loin dans l’avenue d’Ivry. Beaucoup plus spacieux que l’ancien, à l’entrée de la dalle de Chinatown, on ne peut pas le rater !

 

 

 

 

 

 

 La salle toute en longueur présente une déco épurée, super nette et chaleureuse. Des teintes vives et gaies, avec du violet et du vert qui sont les codes couleurs de la maison.

La carte propose tous les grands classiques de la cuisine vietnamienne qu’on aime !

Les amateurs de cuisine à la vapeur seront ravis par le Banh Cuon (raviolis vietnamiens au porc). Ce sont des crêpes de riz fines fourrées de porc haché et champignons noirs, trempé dans du nuoc mam, c’est fondant et parfumé, pas mal du tout.

 

 

 

 

 

 

À découvrir des rouleaux de printemps bien originaux fourrés de légumes et de saucisse au porc finement tranchée.

Ils sont d’une fraicheur vivifiante et d’un goût délicieux, une première pour moi qui suis amateur du genre, je recommande fortement !

Cette fois on les trempe dans la sauce Hoisin, c’est divin.

 

 

 

 

 

 

Plein d’autres entrées sont à la carte, de nombreuses salades (Salade de papaye aux crevettes, salade au boeuf cru et citron…) mais aussi les galettes de farine de riz aux crevettes.

La soupe tonkinoise : le mondialement connu Pho (prononcer « feu »)

Venons-en à la star de la maison : le PHO !

On ne le placera ni en entrée, ni en plat, car il peut faire aussi bien l’office de l’un ou l’autre.

 

 

 

 

 

Cette soupe, une fois à votre table, occupe tous vos sens : la vue avec la vapeur qui s’élève du bouillon subtilement coloré par les épices, l’odorat avec l’odeur des herbes fraîches et les parfums de coriandre mêlée au boeuf mitonné… et bien sûr le goût car la saveur de cette soupe est inoubliable !

Pour le toucher, on vous laissera vous amuser avec les baguettes car capturer les boulettes de boeuf ça va, pour les pates faut s’entrainer.

Donc ici le Pho est servi bien chaud (c’est important !) avec tous les accompagnements qu’il faut (soja, différentes herbes). Le bouillon est goûteux, sans artifice, la viande est tendre et c’est généreux en quantité !

Sur la carte la maison conseille une de ses spécialités : la soupe Impériale de Hue au boeuf et porc (Bun bo Hue).

Cette soupe populaire au Vietnam mélange viande de boeuf et de porc (dont un gros morceau avec os) dans un bouillon orangé garni de vermicelles de riz.

Des grillades et des plats sautés, ce n’est pas parce que le restaurant s’appelle Pho 13, que l’on y mange que de la soupe tonkinoise.

Partez à la découverte des Banh Xèo, ces crêpes vietnamiennes façon omelette très fine, fourrées de viande de porc, crevettes, germes de soja … on déguste ce plat accompagné de salade et de différentes herbes, arrosé de nuoc mam, c’est terriblement bon… moi j’en suis un inconditionnel.

Le Boeuf sauté façon Loc Lac accompagné de son riz rouge (coloré à la tomate !) est une autre façon d’aborder la cuisine vietnamienne.

Ce qui compte sur ce plat, c’est de bien faire macérer la viande de boeuf coupée en cubes et de bien l’assaisonner dans son passage au Wok, superbe !

Ne pas rater les grillades : échine de porc grillé, travers de porc, cuisse de poulet ou brochette de boeuf, c’est super bon !

 Côté boissons, on notera la présence de milk shake tropicaux intéressant (5.50€) : au corossol, durian (on adore ou on déteste), mangue, avocat ou fruits du Jacquier.

Un coup de coeur pour le café au lait glacé vietnamien (Ca Phe sua da). Ici, c’est un vrai de chez vrai qui est servi, loin de toutes les imitations que je goute un peu partout : du véritable café viet, un délice ! (4.80€).

Quelques desserts asiatiques typiques

Pour le dessert, les spécialités du Vietnam méritent un dernier petit coup de cuillère !

On vous conseillera le Che Bap, des grains de maïs cuisinés au lait de coco, j’adore…

Dans le même style la banane au lait de coco et grains de sésame

C’est servi bien chaud, attention à la langue ! Le lait de coco est doux, les perles de tapioca donnent de la consistance et la banane ses parfums fruités Hmmmm…

Plus typique encore le fameux 3 couleurs (ou suong sa hot luu), faisant baigner dans du lait de coco bien glacé des gelées colorées vertes et rouges et des fruits de jacquiers (jaune), c’est étrange…

L’accueil est comme souvent dans les restaurants asiatiques : simple et rapide. Mais le souriant patron Anthony salue tous ses clients et de nombreux habitués peuplent la salle.

Fourchette de prix : 4€ – 30€

Phô 13

135 Avenue de Choisy

75013 Paris

Tél :01 45 86 59 15

Quinsou

 

 

 

 

 

Imperturbable aux modes, Antonin Bonnet, Cévenole aussi taciturne que talentueux, continue son apostolat gastronomique barycentré autour du produit, dans une salle aussi fantaisiste qu’un énarque sous Tranxène (parois claires, tables en enfilade et luminaires célestes).

 

 

 

 

 

 

Le zigue arpente l’Hexagone à la recherche des meilleurs poissons, des viandes les plus éthiques et des plus beaux légumes. Dans sa Boucherie Grégoire voisine, il opte pour de la charcute canaille à même le billot et dans son adresse étoilée, ce capitaine au long cool cisèle des assiettes sages mais précises, prenant souvent le grappin nippon et tarifées CSP++.

 

 

 

 

 

Malgré le calme mozartien de ce midi-là, on entendait pépier dans l’accord mets et vins (rajoutez 50 € à la cuenta) de ce quinsou – « petit pinson » en occitan – un délicat homard bleu Breizh émoustillé par des pickles de betterave pourpre (21 € de supplément à la place des Saint-Jacques malouines, on se pince !), adossé à un onctueux verre de crémant d’Alsace 2014 de Christian Binner, suivi d’une lotte des berges de Vendée au nacré palpable, chatouillée par un trio saké-yuzu-miso auquel ce catarratto sicilien apportait le gras idoine.

 

 

 

 

 

Puis, à l’angle carné, un sensuel ris de veau fermier d’Anne-Laure Jolivet reposait sur une crème truffée subtilement liée à un jus de viande (mais à 24 € de supplément, le veau est-il d’or ?).

 

 

 

 

 

Enfin, restons glucides, le cheesecake à la vanille rehaussé par différentes textures d’agrumes et sirop d’hibiscus conclut brillamment ce déjeuner, bien accompagné d’un coup d’auxerrois pétillant de Christophe Lindenlaub (cuvée Tu bois quoi là, 2021). En dépit d’une addition himalayenne, le service, les produits, les cuissons valent leur pesant d’or. Et tant pis s’il ne vous reste plus qu’un sou.  

Prix : menus déj à 75 € soir à 95 €

Quinsou

33 rue de l’Abbé Grégoire

75006 Paris

Tél : 01 42 22 66 09

Selva

 

 

 

 

 

 

 Selva est sans aucun doute l’un des meilleurs restaurants de Paris. Mais pourquoi aller y manger au juste ? Au coeur de ce restaurant sud-américain, le dépaysement est au rendez-vous, mais pas seulement. Ici, on découvre l’univers culinaire du Chef Felipe Camargo avec sa cuisine d’inspiration sud-américaine aux influences françaises. Des mets de qualité qui changent au gré des saisons et vous promettent l’évasion des sens. Sans quitter Paris, offrez-vous un voyage gustatif du Pérou à la Colombie.  

 

 

 

 

Envie de vous régaler tout en découvrant de nouvelles saveurs ? Alors vous allez adorer Selva, ce restaurant colombien-péruvien qui a ouvert à peine un mois avant le confinement en 2020 et qui vous attend désormais dans ses nombreux espaces.
L’té, se dévoilent deux parties terrasse, une face au restaurant et une en biais devant le Musée Cluny. A l’intérieur, nous voilà parti dans la jungle. Un grand bar végétal pour attend à l’arrivée avec une belle table de groupe. A droite, une salle avec plusieurs tables au programme.

 

 

 

 

 

 

 


Ensuite on longe l’escalier et son mur verdoyant pour découvrir une autre grande salle à l’étage. Bref, pas de soucis, l’espace ne manque pas en ce lieu luxuriant, qu’il fasse beau ou pas.
Dans l’assiette, on retrouve donc des spécialités sud-américaines, à nous les saveurs péruviennes et colombiennes en mode bistronomique. Aux commandes, deux chefs de talent : Felipe Camargo, passé par Manko et Jose Orlando.

 

 

 

 


On débute le repas avec de bons cocktails maison. À nous l’excellent Pisco Sour qui marie Pisco, citron, sucre, blanc d’oeuf et Angustura. Un vrai régal à découvrir. Les sans alcools se régaleront également avec de jolis cocktails adaptés.
Dans l’assiette, le soleil est au rendez-vous quel que soit le moment de l’année. Un carpaccio de poisson divin nommé Tiradito Nikkei, ce plat se compose de poisson bleu sauvage, différent selon les arrivages, de kumquat, avocat, kiwi, navet, le tout est agrémenté de sauce ponzu Nikkei. Il faut savoir que la cuisine Nikkei (surnom des japonais émigré au Pérou) est un fort courant dans la cuisine péruvienne. Chez Selva, le chef nous fait découvrir cette cuisine issue du métissage des cultures.

 

 

 

 

 

 


De l’autre le Membrillo à base de coin confit, suprême d’agrumes, de mousse au huacatay (une herbe aromatique péruvienne très herbacées, entre la sauge et l’estragon), de curable de quinoa, poivre Timut et poudre d’agrumes.

Bref, vous l’aurez compris, pour éveiller vos papilles, régaler les plus grandes faims et découvrir de belles saveurs, voilà un spot canon à découvrir absolument.

Tarifs : Entrées : 8€ – 12€  Cocktails : 10€ – 15€ Ceviche : 16€ Poulpe : 21€ Desserts : 9€

 Selva Restaurant

 22 rue du Sommerard

 75 005 Paris

Tél : 09 81 10 21 88

Shiro

 

 

 

 

 

 

 

Idéalement placé dans le cœur du sixième arrondissent de Paris, à deux pas de l’église de St Germain des Prés, Shiro blanc en japonais est une adresse pour les adeptes de cuisine fusion. Mêlant gastronomie française et influences japonaises, le Chef Hiroyuki Ushiro surprend et innove pour un aller-retour express au pays du soleil levant.

 

 

 

 

Le plus difficile, ce midi-là, sera de faire un choix : à la carte, le bento signature aux 9 petites créations bistronomiques sera le messie des indécis. Préparé à la minute, le plateau aux 9 compartiments gourmands est succulent et tout à fait ravissant.

 

 

 

 

 

 

 

Tour à tour, nous goûtons à un doux mélange de mets chauds et froids ; citons dans le désordre un poulet au sésame cuit basse température, un carpaccio de daurade à la prune japonaise, un succulent haché de bœuf Wagyu, un carpaccio de thon au wasabi ou encore un surprenant mélange de poissons marinés et frits.

 

 

 

 

 

 

 

La bouchée sucrée au sésame noir se chargera de finir ce déjeuner en beauté.
Dans le prolongement du voyage, Shiro propose des cocktails signature hybrides français / japonais et une carte des vins soignée avec une sélection nature et biodynamique.
Prix moyen : 60 €

 Shiro

168, Boulevard St Germain

75006 Paris

Tél : 01 56 81 91 62

La Verrière

 

 

 

 

 

 

 Le restaurant La Verrière Paris est situé en plein cœur du quartier du Montparnasse dans le 14e arrondissement de Paris, au sein de l’hôtel Niepce Paris Curio Collection by Hilton. Vous trouvez une entrée indépendante à celle de l’hôtel Niepce Paris. Le restaurant La Verrière Paris est idéal pour vos déjeuners ou dîners d’affaire.

 

 

 

 

 

 

 

 

Découvrez le charme de cet établissement qui s’inscrit dans la lignée des lieux remarquables de Paris. Le décor du restaurant est contemporain et raffiné, la grande salle de restaurant baigne dans la lumière naturelle grâce à son imposante verrière.

 

 

 

 

 

 

 

La chef Kayori Hirano et sa brigade invitent les convives à un voyage culinaire aux travers des saveurs réinventées. La carte et les menus proposés à La Verrière reflètent la personnalité raffinée et multiculturelle du chef : les saveurs du Japon associées à la délicatesse de la cuisine française. Ces influences inspirent chaque jour Kayori Hirano faire de chaque visite à La Verrière Paris une expérience unique.

 

 

 

 

 

 

 

Côtés mets, on va de surprise en surprise exquise avec le foie gras des Landes à la plancha, bouillon dashi, pétales de radis et jeunes poireaux, enokis, les crevettes « gambero rosa », sauce glacée curry coco, grenade et framboise ou encore le blanc de seiche au chou-fleur, fenouil, gelée de ponzu, dentelles d’encre de seiche.
 Tarifs : Menus : 27 (déj. formule), 34 € Carte : 55 €

La Verrière

4 rue Niepce

75014 Paris

Tél : 01 83 75 69 21

  

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