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Bonnes adresses de restaurants et de bars à tapas de Paris

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Il existe plusieurs versions de légendes sur l’origine des tapas. Une des plus connues fait référence au Moyen Âge, pendant le règne du roi Alphonse X le Sage au XIIIe siècle. On dit que le roi, souffrant, se vit prescrire du vin et pour éviter les effets de l’alcool à jeun, prenait des amuse-gueules en accompagnement de la boisson. Après son rétablissement, il a décidé que, dans les châteaux de Castille, le vin devait se servir convenablement accompagné par une ration de nourriture. Avec cette mesure, les consommateurs étaient moins affectés par les effets de l’alcool.

 

 

 

 

 

 

Une autre version attribue la création du terme tapa à une visite du roi Alphonse XIII (1886-1941) dans la province de Cadix, dans laquelle il s’est arrêté dans une auberge. Étant assis, à la terrasse, un courant d’air s’est levé et l’aubergiste, pour éviter que la poussière ou le sable ne tombe dans le verre, a trouvé comme solution de boucher (tapar) les verres avec des tranches de jambon. La solution de l’aubergiste a plu au roi qui appréciait le jambon et en redemandait.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cependant, l’authenticité de cette anecdote est douteuse, car l’usage de pain dur ou de soucoupes pour boucher les verres est mentionné dès le XVIIIe siècle, donc déjà deux siècles plus tôt. Cependant, il est curieux de constater que les légendes les plus populaires attribuent l’intervention, directe ou non, des rois à l’origine de la tapa

Une version populaire plus simple raconte que la tradition des tapas a pour origine un casse-croûte des paysans en attendant l’heure du déjeuner, ledit casse-croûte naturellement étant accompagné d’un peu de vin comme dans toutes les campagnes. De cette manière, au milieu du XIXe siècle en Andalousie, on mettait des morceaux de fromage, de jambon ou de lomo (échine de porc) sur les verres de vin, bouchant ainsi leur contenu.

À partir de ces principales légendes sur l’apparition du terme « tapa », il existe de nombreuses versions locales, plus ou moins connues. Dans chacune d’elles, l’origine de la tapa est un moyen de réduire l’ébriété, de protéger la boisson, ou une combinaison de ces raisons.

Rien de tel qu’un bar à tapas pour trinquer tout en se régalant. Par ici les bonnes adresses à Paris pour passer du bon temps à l’heure de l’apéro avec de bonnes assiettes à partager (ou non !).

Vous êtes à la recherche d’un bar à tapas à Paris afin de faire d’une pierre deux coups, et de satisfaire vos envies de food et vos envies de drinks en même temps ? Pas de doute, il s’agit de la formule idéale qui permet de se retrouver avec vos proches autour d’un verre de vin, d’un cocktail, d’une bière fraiche voire d’un mocktail pour celles et ceux qui ne boivent pas d’alcool, tout en grignotant de bonnes assiettes à partager. L’occasion de picorer tout en trinquant un bon coup entre amis, dans une ambiance de partage, conviviale et chaleureuse.

 

 

 

 

À Paris, il existe des belles tables qui vous proposent des diners-apéros savoureux, qu’il s’agit de bars ou de restaurants de tapas. Alors, autant profiter de tout ce que la capitale offre pour passer des soirées inoubliables et hautement gourmandes. Vins tendance nature ou en biodynamie, bières artisanales, le tout accompagné de tapas aux accents ibériques, asiatiques, français, corses ou encore libanais, il y en a pour tous les goûts et tous les publics.

Découvrez sans plus tarder les bonnes adresses de restaurants et de bars à tapas de Paris !

 

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

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Alma

 

 

 

 

 

Alma, restaurant et bar à tapas corse, régale du côté de Montorgueil. Au menu, de ravissantes petites assiettes à partager, travaillées à partir de produits de l’île de Beauté. Dans une ambiance conviviale et plutôt bruyante.

 

 

 

 

 

Après L’Alivi, le fabuleux restaurant corse du Marais et Chez Minnà, la cantine Corse des Grands Boulevards, Romain Barboni et Saveriu Cacciari avaient ouvert une troisième adresse parisienne, Alma. Un restaurant, ou plutôt un bar à tapas dont la carte propose des assiettes à partager (ou pas) aux accents corses.

 

 

 

 

 

 C’est dans le très vivant quartier Montorgueil, dans le 2ème arrondissement, qu’Alma a élu domicile. Et plus précisément dans la très calme rue Mandar, pourtant à quelques pas seulement de l’agitée rue Montmartre. La décoration d’Alma est signée David-Olivier Descombes, qui a également décoré les restaurants Uno, Tripletta et Le Bouillon Pigalle. Une déco végétale, en partie, avec notamment olivier et feuillages qui recouvrent le miroir du plafond. Car Alma n’est pas très haut de plafond, d’autant plus que la plupart des tables sont hautes, tout comme les chaises qui les entourent. Une faible hauteur compensée par ce miroir et ces feuilles qui ne donnent pas du tout l’impression de petitesse. Toutefois, le bruit s’y concentre bien.

 

 

 

 

 

 

Une déco qui fait aussi la part belle à la musique, avec cette guitare qui trône au mur, car chez Alma, on aime la musique. À peine 20 heures dépassées, que le volume sonore augmente. Chez Alma, on aime aussi la fête.

Sur la carte d’Alma, pas vraiment de distinction entre entrées et plats, mais une proposition de divers plats salés à partager (ou pas). Outre des planches de charcuteries et fromages corses, on y trouve des brocolis savamment assaisonnés de noisettes et d’une vinaigrette pralinée ou encore un tataki de thon découpé en saku, avec un poisson mi- cuit, accompagné d’agrumes et notamment d’un gel de pamplemousse pour une recette sucrée/salée réussie.

 

 

 

 

Les œufs, proposés durs, sont accompagnés de figatellu, cette saucisse sèche corse, déclinée en espuma et morceaux, tout comme les gnocchis qui sont, ici, servis avec, entre autres, le figatellu et un onctueux et gourmand mélange de mozzarella et parmesan.

 Au programme, les croquettes de tomme et de prisuttu avec leur mayonnaise épicée, les beignets de courgette avec sauce yaourt, miel, nepita, les polpette sauce tomate, la planche de lonzu,  la saucisse purée, les croustillants de chèvre au miel et sésame, la burrata et les tomates anciennes ou encore le tartare de loup aux herbes ou encore les gnocchis maison à la crème de truffe et parmesan font bel effet.

Les pommes de terre sont cuisinées en frites, mais aussi dans un millefeuille avec estragon et panzetta. Une recette maîtrisée.

Des petits plats salés qui s’accommodent très bien avec la carte des boissons, où l’on trouve notamment de la bière corse ainsi que des cocktails. Les originales créations maisons sont nombreuses, mettant à l’honneur les alcools et boissons de l’île de Beauté, comme L’Immortel, un frais breuvage, bien équilibré, où sont associés gin, fleur de sureau, jus de citron et eau gazeuse.

 

 

 

 

 

Côté sucré, place évidemment à la Corse, avec uniquement des desserts aux ingrédients de l’île. Le fiadone et ses agrumes sont joliment présentés et côtoient un généreux pastizzu, dessert à base de pain rassis, rendu gourmand grâce à son caramel et ses noisettes.

Tarifs : tapas : 9€ – 21€, planches : 9,5€ – 18€, cocktails : 12€ – 14€ desserts : 8,5€ – 9€

Alma

10 Rue Mandar

75002 Paris

 Tél : 01 40 28 02 48

La Bomba

 

 

 

 

 

 

 

Bomba c’est le superbe restaurant-bar qui débarque sur les Grands Boulevards. Dans ce spot insolite niché dans une jungle luxuriante on vient déguster une cuisine latino-américaine à travers des tapas à partager raffinés et des cocktails canons.

Bomba c’est le nouveau restaurant-bar des Grands Boulevards qui va vous faire voyager. À deux pas du métro Bonne Nouvelle, ce spot canon du groupe Mamie marque le renouveau de ce boulevard iconique. A la fois branché et insolite, le spot vous immerge dans une jungle luxuriante dans laquelle vous allez pouvoir déguster une cuisine raffinée aux accents latino-américains.

 

 

 

 

 

 

La cuisine ouverte vous offre un coup d’œil sur la magie qui opère derrière les fourneaux. Car ici, on savoure une carte gourmande imaginée par le Chef Franco-Colombien Guillermo Donoso. Après avoir fait ses armes à la brasserie du Louvre de Paul Bocuse et Les Ombres d’Alain Ducasse, ce jeune talent s’apprête à surprendre les gourmets parisiens avec des plats phares revisités à sa façon.

 

 

 

 

 

 

On découvre ainsi de délicieux tapas à partager. On commence forcément par un incontournable, les chips tortillas avec leur guacamole maison. Vous risquez peut-être de trouver cela classique et pourtant l’expérience vaut largement le coup : vous tremperez des chips de maïs dans un guacamole à tomber, délicieusement acidulée avec des grains de grenade qui viennent apporter encore plus de peps.

Pas question non plus de passer à côté du ceviche de thon, servi dans une noix de coco avec des chips de banane plantain, de l’ananas, de la grenade et du fruit de la passion. Ultra fruité et vitaminé, c’est l’idéal pour se sentir en vacances dans ce spot qui ne fait rien comme tout le monde.

Pour les amateurs de viande, le tiradito de carne pourrait bien faire chavirer votre coeur : le boeuf, tout juste saisi, fond littéralement en bouche. Les tranches sont disposées sur un lit de ce fameux guacamole avec des poivrons qui apportent également un croquant juteux irrésistible avec une sauce chimichurri.

 

 

 

 

 

On retrouve également de la street-food revisitée comme le maïs grillé. Là encore, il ne faudra pas s’attendre à de la simplicité : de toute manière vous pouvez faire confiance à Bomba pour que chaque plat que vous commandez provoque un souvenir gustatif marquant. Ainsi le maïs est recouvert de cream cheese et de parmesan qui se fondent parmi les grains.

Un dernier coup de coeur ? Le poulet braisé mariné à la bière savamment relevé et parsemé de cacahuètes. Celui-ci conviendra particulièrement aux amateurs de saveurs fumées et d’amertume.

Le spot, qui se prête parfaitement pour un déjeuner dans un cadre verdoyant se transforme le soir avec des lumières tamisée et une atmosphère festive. Du jeudi au samedi, on se laisse alors entrainer par une ambiance rythmée et dansante jusqu’à 2h du matin avec l’impression de se sentir en vacances tout en sirotant des cocktails qui mettent à l’honneur les saveurs sud-américaines.

Tarifs : maïs grillé : 7€, guacamole : 10€, tiradito de boeuf : 12€, ceviche de thon : 12€, poulet mariné : 13€.

Bomba

35 Bd de Bonne Nouvelle

75002 Paris

Tél : 09 82 46 06 40

Boteco Vila Mada

 

 

 

 

 

 

Embarquement immédiat pour le Brésil sans même quitter Paris ! Pour profiter de ce bon plan, direction Boteco Vila Mada, l’excellent bar à tapas et à cocktails brésilien du 9e arrondissement.

Dés de tapioca, picanha de bœuf maturée, pastéis de queijo, bolinho de bacalhau sans oublier caipirinhas sous toutes ses formes… depuis l’ouverture de Boteco, un vent brésilien très agréable souffle sur la capitale.

 

 

 

 

 

Derrière ce concept gourmand et ensoleillé, on retrouve le duo franco-brésilien Nicolas Delauche et Ricardo Lopes. Ensemble, ils ont fait venir l’ambiance et la gastronomie brésilienne dans la capitale en ouvrant, en 2017, Boteco Lapa, dans le 10e arrondissement. Et les Parisiens n’ont pas mis longtemps à faire de ce spot leur QG à tel point que les deux acolytes ont inauguré, un an plus tard, Boteco Vila Mada.

 

 

 

 

Pour ce second bar à tapas brésilien, ouvert cette fois-ci dans le 9e arrondissement, Nicolas et Ricardo nous plongent dans le quartier Vila Maddalena de São Paulo, entre décor brut et végétal. L’été, l’établissement accueille ses clients en terrasse. Grâce à l’élargissement des terrasses parisiennes autorisé par la Ville, Boteco Vila Mada bénéficie d’une chouette terrasse en pleine avenue de Trudaine. Et vous auriez tort de ne pas en profiter !

Une fois confortablement installé, place au voyage avec une carte remplie de tapas colorées et de spécialités à partager qui font saliver rien qu’en les lisant.

 

 

 

 

 

 

Si le guacamole maison fait sensation ce soir-là, on se tourne vers le délicieux houmous d’haricot blanc pour plus d’originalité accompagné de chips de manioc. On craque aussi pour les incontournables et croustillants pastels de queijo au fromage. Des recettes maîtrisées qui nous invitent inévitablement de l’autre côté de l’Atlantique pour un voyage très exotique.

Pour la suite, on ne peut que vous conseiller de craquer pour les Bolinho de bacalhau ; les délicieux et traditionnels accras de morue et sa sauce aïoli. Une très belle réussite ! Si vous préférez la viande, alors optez pour les Coxinha de Frango (de belles croquettes de poulet effiloché) ou les Picanha Fatiada (de fines lamelles de picanha de bœuf maturée et juste saisie avec une sauce vierge) qui valent véritablement le détour.

Boteco Mala Vida c’est l’impression, le temps d’une soirée, d’être immergés au cœur de Rio, ses cocktails, sa street food, et son ambiance festive inégalable !

 

 

 

 

 

 

Autre coup de cœur avec un classique là encore : les dés de tapioca au fromage rôtis avec du jambon cru et du piment biquinho. Simple et efficace ! 

Non seulement gourmandes, les assiettes se veulent aussi très généreuses alors n’hésitez surtout pas à les partager pour encore plus de convivialité.

Et pour accompagner ces délicieuses spécialités, quoi de mieux que de savants breuvages, tous élaborés à base de Cachaça, l’alcool national. L’établissement a d’ailleurs produit sa propre Cachaça artisanale Gaya qu’il met à l’honneur dans ses cocktails.

À la carte ? L’emblématique caipirinha proposée sous toutes ses formes. Découvrez notamment le Mulata (Cachaça infusée à la fève de tonka, fruit de la passion et sirop de cacao amer), le Caipi-Mate (Cachaça, maté glacé, jus de citron et citron de romarin) ou encore la Caipi avec jus de pastèque et sirop de gingembre.

Si vous préférez les cocktails signatures, Boteco a aussi de quoi vous surprendre avec notamment le très plébiscité Punch Carioca (Cachaça, citron jaune, crème de cacao blanc, menthe, blanc d’œuf et Proseco) et le très gourmand Coco Lulu (Cachaça infusée à la fève de tonka, purée de coco, sirop de cacao amer et noix de coco rôtie), idéal pour terminer la soirée.

 

 

 

Après cela, vous n’avez plus qu’à fermer les yeux et vous imaginer sur l’avenue Paulista ou au parc Ibirapuera !

Boteco Vila Mada est incontestablement devenu l’un des bars à tapas très réputé du 9e à Paris pour son ambiance mais aussi pour ses spécialités brésiliennes

Tarifs : Caipi, à partir de : 8€, tapas, à partir de : 9€, cocktail  signature, à partir de : 10€.

 Boteco Vila Mada

51 Avenue Trudaine

75009 Paris  

 

 

                   Les Caves Saint-Gilles

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bouillonnantes et bruyantes comme en Espagne, les Caves Saint-Gilles renaissent avec un nouveau propriétaire. On y dévore tapas ibériques et paella généreuse en trinquant avec un pichet de sangria bien dosée !

 

 

 

 

 

L’adresse est connue depuis plus de trente ans par les noceurs et les amateurs de cuisine espagnole en quête d’une adresse bouillonnante. En cette nouvelle année, les Caves Saint-Gilles, petit coin ibérique en bordure du Marais, s’offre une cure de jouvence avec un nouveau propriétaire, Alexandre Chapon, déjà propriétaire de Chez Julien et de l’Enoteca, et un nouveau directeur de salle, Jorge, passé par Le Murat et Chez Julien.

 

 

 

 

 

 

 Crées en 1982, les Caves Saint-Gilles furent l’un des premiers bars à tapas de la capitale. Ouvertes de midi à une heure du matin, les caves nouvelle-édition entendent bien reprendre le flambeau de cette adresse mythique, portée par une équipe de natifs en grande partie hispanophones et diablement hospitalière, dans la joie et la bonne humeur.

 À la manière d’une véritable taverne espagnole, les Caves Saint-Gilles sont bouillonnantes et bruyantes, on y parle fort, on y rit à gorge déployée, on se laisse entrainer par un air de flamenco et on commande en pointant la carte du doigt si on hésite à se frotter à la prononciation des spécialités hispaniques – tout en suivant les bonnes recommandations des serveuses et serveurs, toujours enclins à aider.

 

 

 

 

 

En plus du changement d’équipe et de direction, les Caves se sont offert un nouveau visage recouvert de mosaïques azulejos. Seul vestige du passé, l’imposant bar central en chêne et étain où bières fraiches, tinto de verrano (7€) et pichets de sangria au litre (23€) attendent d’être servis. L’escalier mène, quant à lui, à une étonnante pièce recouverte des murs au plafond par des miroirs, sorte de discret speakeasy en hommage à la culture espagnole où écouter du flamenco et lire Tintin en espagnol.

Pour manger un bout de soleil hispanique, rien de tel que de craquer pour la multitude de tapas chaudes (8,50€-15€), croquetas, patatas bravas, tortilla, pimientos de padron, calamars, poulpe, chorizo au cidre et autres chipirons à la plancha de compétition (14€).

 

 

 

 

 

 

Dès que le mercure monte dans les thermomètres, rien de tel que des tapas froides (7€-20€), salade russe typique, bellota, pan con tomate, Manchego à manger avec les doigts et salmorejo (6€), une étonnante soupe froide andalouse à base de tomate, pain et ail.

Une très large sélection de tapas (chaudes et froides à partir de 5,80 euros) ainsi qu’une exceptionnelle paella (le we et jrs fériés à 23 euros) côtoient des plats où la fraicheur des gambas (Gambas Pil Pil à 18 euros), des Navajas (couteaux grillés à 17 euros) et poissons n’a d’égal que la finesse du Jamon Iberico Pata Negra (26 euros). La carte des vins propose de belles surprises: un Marques de Riscal, un Paternina ou un Albarino (disponible au verre) ainsi qu’une excellente une sangria de la casa.

 

 

 

 

 

 

Mais la pièce maîtresse de la carte des Caves Saint-Gilles, c’est sans conteste la paëlla, préparée dans les règles de l’art et réputée par-delà les frontières du Marais. Copieuse, elle se déguste en version classique (23€/personne) avec de belles gambas, moules, palourdes et calamars, ou en version à l’encre de seiche (21€) d’un noir profond !

Tarifs : desserts : 7€ – 9€, tapas froides : 7€ – 20€, tapas chaudes : 8€ – 15€, menu entrée/plat/dessert : 19€, sangria 1l : 23€.

Les Caves Saint-Gilles

4, Rue Saint-Gilles

75003 Paris

Tél : 01 48 87 22 62

Le comptoir des fables

 

 

 

 

En quête d’une bonne adresse parisienne pour déguster d’excellents tapas et partager un moment convivial entre potes ? On a ce qu’il vous faut ! Direction le Comptoir des Fables dans la rue Saint-Dominique (7e) pour se régaler en bonne compagnie, tout en sirotant de délicieux cocktails.

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Comptoir des Fables, vous accueille au cœur de la dynamique rue Saint-Dominique qui traverse le 7e arrondissement de Paris du Champ-de-Mars à l’Esplanade des Invalides. Le restaurant, qui mixe à la fois bar à tapas et bar à cocktails vous accueille toute l’année dans l’une de ses 2 salles ou en terrasse. Fidèle sa devise, « Le Bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé », le Comptoir des Fables se veut une table de partage pour passer un moment convivial avec les gens que l’on aime.

 

 

 

 

 

Ici, le mot d’ordre, c’est donc le partage ! L’idée, c’est de choisir parmi la trentaine de tapas proposée et de picorer dans chaque plat avec ses potes ! En plus, tout est tellement alléchant qu’on se fait un devoir de TOUT goûter ! On craque pour les Accras de courgette verte qui fondent en bouche. Ce plat, relevé par une « sauce chien », une sauce originaire des Antilles et de Guyane, proche du chimichurri sud-américain et de la salsa criolla argentine, apporte une explosion de saveurs qui a su convaincre toute la tablée.

Pour une note de fraîcheur, on opte pour Guacamole du comptoir, parfaitement assaisonné, à écraser soi-même avec un pilon ou pour le Crudo de bar assaisonné avec une vinaigrette Kalamansi, petit fruit exotique originaire d’Asie du Sud-est riche en vitamine C, et agrémenté de clémentines.

 

 

 

 

 

 

On y retrouve également en accompagnement des légumes sautés, des pommes de terre grenailles, de la purée fumée au foin ou encore des cèpes rôtis, qui varient au fil des saisons. Chaque plat est servi dans une portion à partager en guise de tapas, kémias, zakouski ou même mezzes, comme on les appelle dans les différentes régions du monde.

Le comptoir des fables propose également une suggestion de viande (qui varie régulièrement dans les suggestions du jour) servie sur un coffre au Barbecue allumé au moment du service pour donner un léger goût fumé au plat.  

 

 

 

 

 

 

 

Notez que le restaurant propose également une sélection de tapas végétariens tels que l’aubergine chermoula, marinade ou sauce maghrébine qui sert le plus souvent à accompagner le poisson, accompagnée d’un boulgour aux amandes, citron confit, l’Œuf Kadaïf, sortes de fines nouilles turques, avec ses épinards et parmesan et les Pimientos de Padrón, variété de piments de la commune de Padrón, dans le nord-ouest de l’Espagne, à la fleur de sel.

 

 

 

 

 

 

Et si vous avez l’âme d’un bec sucré, sachez que le coin des Douceurs n’est pas en reste ! On découvre à la carte le Feuilleté Tonka aux pralines et cacahuètes croustillantes, le rafraîchissant Crémeux au chocolat sorbet sésame noir et Kumquat confit ou encore la Pavlova orange et pamplemousse servie avec un sorbet Yuzu… Bref, des desserts frais et légers qui donnent l’eau à la bouche rien qu’en lisant leur intitulé !

 

 

 

 

 

 

Et qui dit comptoir dit bien évidemment bar dans lequel œuvre le barman qui propose des cocktails « Signature » qui changent au fil des saisons et au gré de ses envies. De plus, l’établissement est équipé de l’ingénieux système de service au verre Coravin qui conserve le vin à bonne température en plaçant le flacon sous azote pour ne pas perdre ses qualités organoleptiques et ses arômes.

En bref, le Comptoir des Fables, c’est le lieu idéal pour les amateurs de bonne chair et de bon vin qui veulent passer un moment festif et convivial avec leurs proches.

 Tarifs : déjeuner 2 tapas : 19€, déjeuner 3 tapas : 28€, diner 4 tapas : 37€

Comptoir des Fables

112 Rue Saint-Dominique

75007 Paris

Tél : 09 88 31 75 17

Le Coqui

 

 

 

 

 

 

 

Le Coqui, c’est le bar à tapas qui démocratise et dépoussière le traditionnel plateau de fruits de mer. Ici, coquillages et crustacés de première fraicheur s vous régalent pour un excellent rapport qualité-prix. Parfait pour les amateurs d’huitres-apéros !

 

 

 

 

 

 

Si vous avez des envies de bord de mer, voici la bonne adresse qui devrait combler vos désirs de saveurs maritimes. Au cœur du 12e arrondissement de Paris, sur la rue de Charenton, un spot aux allures de cabanon de plage vous attend pour vous faire profiter d’un délicieux apéro marin. Le Coqui, c’est le nom de cette adresse gourmande avec un excellent rapport qualité-prix pour le plus grand bonheur des amateurs d’huîtres et de fruits de mer d’une manière générale.

 

 

 

 

 

 

Ici, c’est une affaire de famille tenue par deux frères, Timothée et Jeremy. Ensemble, ils se sont donné la mission de démocratiser et dépoussiérer le plateau de fruits de mer à travers une offre abordable dans un cadre branché et conviviale. Pour les aider dans leur mission, c’est le papa, Bruno Gauvain, Meilleur Ouvrier de France Écailler qui source les produits pour garantir des coquillages et crustacés de première fraîcheur !

 Ce qu’on adore ici, ce sont les Coqui Mer, parfaits pour prendre le large. On retrouve alors le Coqui Vin, avec 6 huîtres et un verre de vin blanc proposé à moins de 10 € en Happy Hour, mais aussi le très gourmand Coqui Céan, un plateau de fruit de mer déjà impressionnant, proposé pour une soixantaine d’euros et comprenant 12 huîtres (Fines de claire n°3 ou Spéciales Gillaudeau n°4), un tourteau, des Bulots, quatre langoustines et des crevettes roses. À partager avec deux verres de vins, cela vous permet de profiter d’un beau moment de gourmandise à un tarif abordable !

 

 

 

 

 

 

La dégustation ne laisse pas la place au doute quant à la fraîcheur des produits : la chair du crabe est délicieusement fondante, les crevettes pleines de goûts et les amateurs d’huîtres ne seront pas en reste ! Les amateurs de spéciales retrouveront ce côté sucré tant recherché tandis que ceux qui préfèrent les saveurs iodées trouveront leur bonheur avec les fines de claire.

 Le Coqui s’est adapté en nous proposant un tarama de la Maison Barthouil, une véritable institution. Sans colorant et composé à 70% de cabillaud sauvage, il nous régale par son goût très prononcé ! Imaginez le tout dans une ambiance où règne l’esprit des vacances avec un cadre inspiré d’un cabanon de plage et au rythme d’une musique cubaine… Le voilà, ce moment d’évasion dont on avait besoin !

 

 

 

 

 

 Si les fruits de mer ne font pas l’unanimité dans votre bande d’amis, rassurez-vous ! Ce bar à tapas compte bien mettre tout le monde d’accord en proposant également un menu Coqui Terre, avec des formules aussi rentables que les Coqui Mer, en mettant cette fois la charcuterie à l’honneur.

D’ailleurs pour les becs sucrés, il aura une dernière escale à faire avant de prendre le large : la mousse au chocolat maison, à la texture aérienne, dont le goût cacaoté est suffisamment prononcé pour plaire aux puristes sans pour autant créer cette sensation de saturation.

Fourchette de prix : 24€ – 142€

Le Coqui

44 Rue de Charenton

75012 Paris  

Tél : 09 79 18 90 43

Da Rosa Jr

 

 

 

Arthur Da Rosa a repris l’une des adresses familiales pour la revisiter à sa sauce. Ainsi est né Da Rosa Jr, où l’idée reste néanmoins semblable : partager des tapas et du bon temps entre amis.

 

 

 

 

 

 

Dans la famille Da Rosa, on demande le père, la mère et le fils. Il faut dire que cette famille de restaurateurs, bien ancrée dans le paysage parisien depuis une bonne quinzaine d’années, s’est faite maîtresse dans l’art du bien-manger en travaillant main dans la main. Tandis que le père, José Da Rosa, s’est installé aux quatre coins de la capitale avec ses restaurants Da Rosa, voilà que le fils, Arthur Da Rosa, a pris la suite du paternel en reprenant une ancienne adresse Da Rosa et en la revisitant à sa sauce.

 

 

 

 

 

C’est rue du Mont Thabor qu’Arthur a transformé un ancien restaurant-épicerie familial qu’il pilotait déjà depuis une petite décennie en un tout nouveau lieu, modernisé et rebaptisé pour l’occasion Da Rosa Jr. Pas de gros changements du côté de la décoration, faite de fauteuils où il fait bon se lover et de grandes baies vitrées qui s’ouvrent sur la rue dès les beaux jours, si ce n’est l’installation d’une grande terrasse en bois qui vient compléter celle déjà installée le long du restaurant, dans la rue perpendiculaire – Da Rosa Jr fait l’angle de deux rues peu passantes et donc plutôt calmes.

 Le gros changement s’opère, en revanche, au niveau des horaires, allant du petit-déjeuner au dîner, en passant bien sûr par le déjeuner, le goûter et l’afterwork. Des horaires élargis sans coupure qui permettent de vivre au rythme de Da Rosa Jr auquel la playlist s’adapte également, passant du jazz instrumental pour un réveil en douceur à de la musique électronique pour les apéros qui durent jusqu’au bout de la nuit.

À la carte, la recette familiale reste inchangée : des bons produits sourcés du côté de l’Espagne, du Portugal et d’autres pays du pourtour méditerranéen, auxquels s’ajoutent des recettes qui brouillent un peu les pistes du voyage, de l’Amérique du Sud aux confins de l’Asie.

 

 

 

 

 

 

Sur la table, de quoi se faire un bon gueuleton entre amis sous forme de tapas : pimientos de padron (8€) soigneusement relevés de gros sel, pan tumaca (9€) pour se croire sous le soleil d’Espagne, burrata (13€) crémeuse à garder pour soi… De nombreuses propositions de viandes et de poissons sauront combler les appétits en mal de plats carnés, à l’instar d’un généreux poulpe grillé (14€) à tremper dans une mayonnaise épicée, des couteaux (13€) au piment d’Espelette, du riz à l’encre de seiche et supions (21€) ou encore du ragout de seiche (14€), insolite et réconfortant.

Pour les amateurs, les curieux et les concernés, plusieurs propositions végétariennes sont également disponibles, comme les pâtes konjac au pesto (18€) pour un déjeuner sans mauvaise conscience, des assiettes de légumes de saison, ou encore des bowls. Les pâtisseries, en provenance de chez Chambelland, contenteront quant à elles le plus grand nombre puisqu’elles sont sans gluten.

Et pour accompagner ce déjeuner, on opte pour un jus de fruits frais, un verre de vin ou encore un cocktail maison à l’instar du fameux pisco sour (12€), assez léger pour être siroté durant le déjeuner !

Da Rosa Jr

19bis Rue du Mont Thabor

75001 Paris

Tél : 06 30 00 27 22

Gamelle

 

 

 

 

 

 

Envie de grignoter de bonnes petites planches à partager tout en jouant à des activités ludiques ? Direction Gamelle, bar du 12e arrondissement de Paris, à deux pas de la Gare de Lyon, proposant une jolie carte de tapas, mais aussi des pistes de bowling et des tables de baby-foot. L’idéal pour tous les amoureux de sport et d’apéro à la bonne franquette !

 

 

 

 

 

Avis aux amateurs de jeux et de bonne chère… On file chez Gamelle, bar du 12e arrondissement de Paris découvrir une belle carte de tapas à partager avec les potes ou les collègues, mais également ses deux pistes de mini-bowling et tables de baby-foot, pour des parties endiablées entre deux petites faims (ATTENTION, ce n’est pas un bowling mais bien un bar, la maison ne proposant que deux petites pistes pour occuper votre soirée). Et durant l’été, on profite bien évidemment de la belle terrasse de l’enseigne, pour prendre le soleil pendant que vous prenez l’apéro.

 

 

 

 

 

 

 

Côté carte, des tapas, donc, avec des planches de charcuterie (Fuet, chorizo entier grillé) et des planches mixtes charcuterie/fromages d’Auvergne, mais également des rillettes de sardine et de thon, des rillettes de chorizo ibérique, du chichon de canard, du pâté basque ou aux piquillos ou encore de la tapenade d’olives noires… De quoi partager un bon repas ! Vous pouvez aussi faire un déjeuner ou un dîner complet avec une carte alléchante, proposant de la bonne cuisine française, ainsi que des gamelles à partager, si vous êtes nombreux.

Et sinon, toujours à partager (mais pas forcément, surtout si vous êtes gourmands), des hot dogs, une belle burrata ou de la mozzarella, des Tenders de poulet, des brochettes de boeuf au Cantal, des Onion rings ou encore des frites ! L’idéal pour reprendre des forces entre deux parties de bowling ou de baby-foot…

 

 

 

 

 

 

 

Car c’est bien là tout l’intérêt de la maison : ses activités ludiques, proposées en accès libre aux clients de la maison. Les joueurs ont ainsi la possibilité de s’essayer au mini-bowling, à la pétanque ou baby-foot, sur les quatre tables de l’enseigne. Et côté boisson, vous sont proposés des cocktails classiques (mojito, spritz, cuba libre, Moscow mule…), des bières, des apéros digeos ou encore du vin.

 

 

 

 

 

 

Vous êtes fans de sport ? Ça tombe bien, la maison propose aussi des retransmissions sportives en fonction des envies et des demandes. Coupe du monde, Euro féminin… Vous voulez suivre un match ? Si l’engouement est là, tout est possible. Notez en tous les cas qu’un mini-gradin est là pour vous poser et vous permettre de mater un match. Au total, cinq écrans peuvent retransmettre les événements sportifs.

Bref, une belle adresse à découvrir pour tous les amoureux de jeux et de bonne chère…

Tarifs : les boissons chaudes : 2,6€ – 4,2€, les bières : 4€ – 8€, les tapas : 7€ – 25€, les entrées : 7€ – 8€, les cocktails : 8€ – 12€, les desserts : 8€ – 9€, les plats : 15€ – 18€

La Gamelle Paris

33 Avenue Daumesnil

75012 Paris

Tél : 01 53 16 25 87

Goku Comedy Club

 

 

 

 

Le Goku Comedy Club, c’est la bonne adresse pour rire aux larmes et se régaler à Paris. Ce véritable QG d’humoriste vous dévoile du mardi au samedi un line-up aux petits soins tout en vous proposant une belle carte de tapas asiatiques et de cocktails gourmands.

Un spectacle d’humour doublé d’une carte ultra gourmande, c’est le concept qu’on vous invite à découvrir ! Si vous connaissiez déjà le restaurant GOKU Asian Canteen situé du côté du Cirque d’Hiver, alors pas question de manquer le Goku Comedy Club qui nous régale du côté du 10e arrondissement de Paris. Direction la rue des petites écuries pour découvrir cette scène gourmande et pleine de bonnes ondes qui réveille la capitale.

 

 

 

 

 

 

 

Chaque soir, du mardi au samedi, ce sont deux plateaux (l’un à 19h30, l’autre à 21h30) qui vous sont proposés dans ce spot à la déco canon, aux inspirations à la fois chic et urbaine. Pour ce spectacle accessible sur réservation au tarif de 5€, pas de spoiler ! Le line-up reste secret et vous découvrez les talents au fur et à mesure. Lors de notre passage, on aura eu le plaisir de retrouver des visages familiers comme Jason Brokers, Youness Hanifi, Fary, Nordine Ganso, Paul Dechavanne, Yazid Assoumani et Lenny M’Bunga mais aussi Walid Jabbari, John Sulo, Nam, Merwane et Louis Chappey. Un beau casting qu’on aura pu découvrir dans une ambiance conviviale, avec beaucoup d’échanges avec les spectateurs. En tout c’est 1h15 de blagues qui vous attendent !

 

 

 

 

 

Tout est calculé avec soin, de l’offre food qui se savoure sans un bruit, jusqu’à la sonorisation qui garantit de pouvoir bien entendre le show peu importe sa place. Que ce soit avant, pendant ou après le spectacle, c’est l’occasion de découvrir la carte gourmande proposée au GOKU Comedy Club. Du côté des cocktails, on craque littéralement pour le très gourmand Jack Pomme Sunset ou pour le Virgin Passion Ananas Maojito (sans alcool). Côté tapas on ne résiste pas au délicieux Karaage, des nuggets de poulet frits à la chair ultra fondante, ainsi qu’au Smash Burger à la thaï au bon goût de gingembre. On accompagne le tout de frites de patates douces et les papilles sont comblées.

 

 

 

 

 

 

Outre les 5€ à l’entrée, votre présence est également l’occasion de soutenir les artistes qui sont rémunérés au chapeau. Si vous n’avez pas prévu d’espèces, pas de panique, il est également possible de payer via Lydia. À la sortie, vous pourrez récompenser les talents à la hauteur de la bonne soirée que vous avez passée et vous avez également la possibilité d’échanger avec eux et leur dire combien vous avez apprécié leurs sketchs !

 

 

 

 

 

Aller au restaurant, c’est cher, s’offrir un spectacle, c’est cher. Et si on vous disait que c’était possible d’aligner les deux sans devoir se contenter de boire de l’eau ou de manger des pâtes au beurre pour le reste du mois ? Goku, c’est le deux en un accessible pour se faire plaisir plusieurs fois par mois.

L’un des atouts de Goku, c’est l’entrée gratuite. Il vous est simplement demandé de consommer un petit quelque chose à manger ou à boire, mais les prix sont très franchement abordables. Pensez également à apporter quelques pièces de monnaie (ou même des billets) à glisser dans le chapeau à la fin de la soirée pour montrer votre soutien aux artistes que vous venez de voir sur scène.

 Tarifs : entrée : 5€

Goku Comedy Club

12 Rue des Petites Écuries

75010 Paris

Tél : 01 42 46 57 74

Griffon  

 

 

 

 

 

 

 

 Le café-bar Griffon, au cœur du Marais, est le lieu tendance à découvrir absolument. Grande terrasse cachée, déco chinée, cuisine sur le pouce, et même des activités culturelles, on peut y rester toute la journée.

Avec les beaux jours qui arrivent, Parisiens et touristes sont tous à la recherche de la terrasse de rêves, où l’on peut être tranquille et bénéficier d’un cadre magnifique. Le café-bar Griffon est exactement ce qu’il vous faut ! Nichée en plein milieu du Marais, c’est une adresse de connaisseurs où vous pourrez profiter d’une immense terrasse verdoyante à toute heure de la journée. Ouvert de 12h à minuit, Griffon est à la fois un restaurant, un café, un bar, où il est possible de prendre un repas sur le pouce ou de boire un verre. Parfait pour cet été !

 

 

 

 

 

D’ailleurs, si vous n’êtes pas trop terrasse, sachez que chez Griffon, c’est littéralement deux salles, deux ambiances. À l’intérieur, se trouve un salon cosy à l’ambiance chill. Qu’on soit installé sur les fauteuils clubs, au bar ou devant le piano vintage, on pourrait y rester toute la journée, tant la déco est inspirante.

 

 

 

 

Trouvés çà et là, en brocante ou ailleurs, les décorations habillent le lieu et lui donne un aspect chaleureux qu’on adore ! En fin de journée, le son monte, le tempo s’accélère et une nouvelle énergie anime le bar : élaboration de cocktails, tintement des verres de vin, retrouvailles et récits d’aventures se mêlent aux dîners en famille.

 

 

 

 

Surtout, c’est un véritable lieu culturel où l’on peut faire de drôles de découvertes. Cela se passe un dimanche sur deux, avec un atelier tirage de cartes gratuit tous les premiers dimanches du mois, assuré par une tarologue professionnelle. Le troisième dimanche du mois est quant à lui dédié à des activités culturelles insolites : expo vente d’œuvres d’art, lectures théâtrales, discussions littéraires… Le salon se transforme en scène ouverte pour des événements chaque mois différents.

 

 

 

 

À mi-chemin entre la fonctionnalité du bureau, l’atmosphère cosy d’un café et la convivialité d’un bar, tout un chacun s’y retrouve pour trinquer ou partager ses idées. En plus, les cocktails y sont goûtus et originaux. On vous conseille les créations maisons et les cocktails sans alcools, qui sont de bien loin des simples jus de fruits.

Tarifs : café : 2,5€, cocktail/à partir de : 8€, planche/à partir de : 9€

Griffon

55 Rue des Francs Bourgeois

75004 Paris

Tél : 01 43 36 98 37                                     

 

Louloute

 

 

 

 

 

 

Il y a du nouveau dans le XIème, du côté de la rue de Charonne. Louloute, bar à manger qui renferme une salle de concert au sous-sol, propose, le soir, une cuisine aux accents du sud, à partager, et bien évidemment des concerts.

 

 

 

 

Ouvert depuis fin novembre 2022, Louloute, bar à manger et café-concert, propose une offre alternative et complémentaire dans son quartier, à l’angle de la rue de Charonne et du passage Charles Dallery. En effet, au sous-sol de Louloute, se cache le Louloute Club, là où la musique retentit (presque) tous les jours d’ouverture.

 

 

 

 

 

Côté bar, chez Louloute on boit les bières de la brasserie parisienne BapBap (les Cuves de Fauves s’étant précédemment installées en face, il fallait proposer une offre différente). À la carte également, des vins et champagne au sourcing soigné. La devise de la maison ? Ne proposer que des vins et champagnes qu’on ne retrouve pas ailleurs dans Paris. Un vrai défi. Côté champagne, Louloute a jeté son dévolu sur celui de la maison Ledoux Leclère, qu’on ne trouve dans aucun autre bar ou restaurant de la capitale donc.

 

 

 

 

 

Chez Louloute la carte propose toute une déclinaison d’assiettes à partager (ou pas). Des recettes aux accents du sud, de l’Italie façon antipasti, mais pas seulement. Une carte amenée à évoluer régulièrement.

Ainsi, en ce moment, Louloute prépare une focaccia garnie de porchetta et straciatella ou encore un chou-fleur grillé, assaisonné de paprika, orange et sauce coriandre. Une recette originale et savoureuse. Une autre assiette, un peu plus orientale, associe de l’houmous au piment d’Espelette avec des frites de polenta. Côté US, la carte propose aussi très bon un hot-dog maison.

 Il n’y a absolument rien à redire sur ces assiettes. Notre coup de cœur va pour les arancini à la tomate et à la scarmoza fumée. Des boulettes de riz frites minutes et délicieuses en tout point. Enfin, notre assiette de saucisson au Barolo, une spécialité italienne, a dévoilé un portrait de Rambo. Louloute a toute une collection de petites assiettes aux portraits pop culture, trouvées chez Mon Oeil. Rien que pour savoir qui se cache au fond, ça vaut le coup de terminer son assiette. Et, si on choisit bien sa table, on peut manger à côté de Brad Pitt. Version cartonnée.

 

 

 

 

 

Chez Louloute, outre les boissons du bar et les petites assiettes, c’est au sous-sol que ça se passe, au Club, avec sa petite scène, ses instruments, et même son ingénieur du son. Un sous-sol joliment décoré où plane l’âme de Johnny et de Madonna. Au programme, des concerts, des jams de musique brésilienne ou cubaine, mais aussi de la funk/fusion. Le programme détaillé est à retrouver sur les réseaux sociaux de Louloute. Prochainement, Louloute va aussi s’ouvrir au karaoké et aux soirées disco.

L’accès aux jams est libre, sur consommation. Tandis que les soirs de concerts, les consommations sont majorées de 5€.

Une fois au sous-sol, on n’oublie pas de faire un détour par les toilettes, tapissées de toile de Jouy. Coquine jusqu’au bout cette Louloute.

 Tarifs : bières : 4€ – 7,5€, petites assiettes : 6€ – 14€, verre de vin : 6€ – 8€

Louloute

55 Rue de Charonne

75011 Paris  

Tél : 01 48 06 43 22

Le Mal est Fait

 

 

 

 

 

 

Envie d’un nouveau spot sympa où se retrouver entre potes ? Direction le Mal est Fait, le nouveau bar parisien aux bières artisanales, vins raisonnés et cocktails inédits !

 

 

 

 

Ah, qu’est-ce qu’on adore le 11ème arrondissement de Paris ! Ce quartier branché et ultra gourmand réuni de nombreuses pépites de quartiers dans lesquelles on se sent comme chez soi. Il faut dire que cet arrondissement parisien baigne dans une atmosphère particulière avec des rues animées dans lesquelles se retrouvent les gourmands accros aux bonnes adresses. Et voilà qu’un nouveau bar s’y installe à son tour en se faisant le porte étendard de tout ce qu’on aime dans le 11ème.

 

 

 

 

Ce spot, c’est le Mal est Fait. Une adresse lumineuse à l’esprit industriel qui promet plein de bonnes ondes, on se retrouve entre potes pour profiter d’un apéro gourmand et éthique. Ici on trinque à l’amitié avec des bières artisanales, des vins raisonnés et des cocktails revisités dont un Mojito à la mandarine ou le cocktail spécial Le Mal est Fait à base de Vodka noire.

 

 

 

 

On célèbre non seulement le bien boire mais aussi le bien manger. Car pour accompagner votre verre, on peut craquer pour des assiettes et planches réconfortantes à partager (ou pas !). On retrouve alors des Conchiglioni ricotta-épinard un poulet champignons à la crème, les ravioles aux 3 fromages ou encore un boudin blanc forestier aux pommes caramélisées. Voilà qui encourage la culture du partage !

 

 

 

 

 

Que pourrait-il bien manquer à votre apéro ? Une ambiance festive bien sûr ! Pas de panique, Le Mal est Fait a tout prévu. Lorsque le bar prend une ambiance tamisée, le rendez-vous est donné à l’arrière pour vous déhancher en musique notamment lors des soirées  » Le Vendredi du Mal » qui marquent le bon de départ d’un week-end bien rempli !

Tarifs : 1 assiette tapas : 7€, cocktail : 9€ – 13€, 3 assiettes tapas : 19€, 5 assiettes tapas : 30€

Le Mal est Fait

21 Rue St Sabin

75011 Paris  

Tél : 06 74 39 36 22

 

Mezzanine

 

 

 

 

 

 

Envie de découvrir un nouveau lieu secret à Paris ? Direction les Trois Baudets, dans le 18e arrondissement de la capitale. C’est ici, ou plutôt au-dessus de la fameuse salle de concert, que se cache Mezzanine, un nouveau restaurant et bar à tapas qui risque fort d’attirer des curieux !

 

 

 

Á Paris, les lieux confidentiels et cachés stimulent l’intérêt du plus grand nombre. Alors, quand un nouveau spot secret ouvre dans la capitale, il ne met pas longtemps à susciter des convoitises et à attirer des curieux. Le dernier en date ? Mezzanine. Pour pousser les portes de ce nouveau lieu, il faut se rendre dans le quartier de Pigalle, et plus exactement aux Trois Baudets. C’est ici, au-dessus de la célèbre salle de concert, et dissimulé derrière ses 20 mètres de baies vitrées, que Mezzanine vous attend.

 

 

 

 

 

Décrit comme un nouveau salon secret, caché au cœur du 18e arrondissement de Paris, Mezzanine dévoile plusieurs ambiances. En journée, le lieu accueille celles et ceux qui souhaitent travailler au sein d’un espace co-working intimiste avec au menu du café, du thé et des gâteaux.

 

 

 

 

 

Le soir, place à une autre atmosphère avec un bar à manger bigarré pour y savourer des tapas (tempura de chou-fleur, gyozas, huîtres naturelles…) et y siroter des vins naturels, cocktails et infusions maison. Le plus ? Une terrasse ensoleillée où se dorer la pilule en plein été.

 

 

 

 

Tarifs : tapas 7€

Mezzanine

Les trois baudets

64 boulevard  de Clichy

75018 Paris

 Montijo

 

 

 

 

 

En quête d’un spot où règne un air de vacances ? Direction Montijo, la cave à manger arty du côté des Batignolles qui nous transporte tout droit vers les bords de la Méditerranée et plus précisément en Espagne. Au programme, vins naturels, ambiance bodega et produits hispaniques le tout dans un cadre canon.

 

 

 

 

 

Il est de ces bonnes adresses dans lesquelles on profite d’une vibe de vacances tout au long de l’année à Paris. Aux quatre coins de la capitale, ces spots dépaysants prennent des allures d’escale pour les Parisiens d’un jour et de toujours en quête d’évasion. Si vous rêvez de soleil et de bonnes saveurs ibériques, alors voici une cave à manger aux allures de bodega qui devrait s’attirer vos faveurs. Pour la découvrir, il faudra se rendre du côté du quartier des Batignolles, au 167 de la rue de Rome, et pousser les portes du Montijo.

 

 

 

 

 

Ici, les Parisiens se mettent à l’heure espagnole. Mobilier en rotin, banquettes terra cotta et véranda lumineuse et végétalisée, à travers ce décor imaginé par Katya Goncharova, le temps semble s’arrêter, nous incitant à faire une pause dans le train de vie effréné de la capitale. Un vitrail monumental représentant le vivre ensemble achève de poser le cadre. Ici, il faut s’attendre à une ambiance conviviale autour des bonnes saveurs hispaniques.

Les œnophiles trouveront leur bonheur dans la carte de vins naturels proposant une cinquantaine de références mettant en lumière principalement les cépages espagnols, mais pas seulement : la Grèce, le Portugal, l’Italie et autres pays méditerranéens sont également représentés.

 

 

 

 

 

 Pour les gourmands, l’accent sera mis sur une cuisine sublimant les produits hispaniques dont l’incontournable tortilla, le pan con tomate avec ou sans anchois, mais aussi des salades parfaites pour les beaux jours, dont la Salade de Feta, avec ses tomates séchées, sa tapenade d’ail et sa sucrine, ou encore la Ensalada Rusa, composée de ventrèche de thon clair à la texture bien fondante, de piment doux, d’olives Gordal gorgées de soleil… de quoi nous entraîner dans une ambiance vacancière.

D’ailleurs, pour les becs sucrés, la brioche perdue revisitée avec une crème de citron qui fait écho à la traditionnelle tarte meringuée pourrait bien être votre péché mignon. Si vous êtes moins porté sur les douceurs, mais que vous avez tout de même envie de vous laisser tenter par un dessert, ne manquez pas notre coup de cœur, la tarta de queso de la vina, un gâteau au fromage basque peu sucré et terriblement gourmand qui vous permettra de clôturer votre escapade sur une note rafraîchissante. Bonus ? Ces tapas sauront vous régaler à toute heure de la journée : eh oui, le Montijo est en service continu !

Le lieu entend également vibrer au rythme d’une programmation artistique mêlant vernissages, soirées dédiées des arts créatifs, masterclass autour du vin et autres surprises.

Ce test a été réalisé dans le cadre d’une invitation professionnelle. Si votre expérience diffère de la nôtre, merci de le signaler dans les commentaires.

Tarifs : tapas : 3,5€ – 28€

Montijo

167 Rue de Rome

75017 Paris  

Tél : 01 44 29 06 07

La Noceria

 

 

 

 

 

Le Sentier renferme, depuis peu, un restaurant festif où déguster de véritables tapas ibériques et des cocktails explosifs, le tout dans une ambiance bon enfant : La Noceria.

 

 

 

 

 

Nouvelle tendance dans le monde de la food parisienne, l’appellation restaurant festif est un terme fourre-tout qui demanderait à être clarifié, tant il évoque à la fois un lieu à l’ambiance gourmande et électrique, une table endiablée qui s’anime d’autant plus le soir venu, ou encore un restaurant qui met à l’honneur les meilleurs breuvages accompagnés, s’il le faut, d’animations musicales, à mesure que le week-end approche.

 

 

 

 

Pourtant, s’il fallait définir La Noceria, nouveau restaurant festif du quartier du Sentier à Paris, le terme ‘festif’ nous viendrait assez naturellement à l’esprit, le restaurant englobant peu ou prou ce que l’on attend d’un restaurant du genre : une carte d’assiettes à partager midi et soir, à assortir de cocktails soigneusement imaginés par un bartender attentif, un service aux petits soins tout en étant décontracté, et à venir, une programmation évènementielle et musicale qui saura faire frémir l’endroit.

 

 

 

 

L’idée à l’origine de La Noceria est déroutante tant elle est simple et nécessaire : revenir à l’essence des tapas espagnoles, malmenées depuis de nombreuses années à grand renfort de tapas peu chères et franchement passables aux comptoirs desdits restaurants parisiens de tapas, et retrouver ce qui fait le lot d’une bonne tapas : le sourcing d’un produit de qualité auprès d’un artisan amoureux de son produit.

Rendez-vous est donc pris à La Noceria pour se remémorer nos meilleurs voyages en Espagne et dans le pays Basque, au bras d’un chef originaire de l’endroit, le chef Yohan Bernard, passé par les cuisines du Fouquet’s et aux côtés de Christian Etchebest, à travers une carte diverse et variée, abordable le midi.

 

 

 

 

 

 

 

 Au déjeuner, le restaurant propose, en effet, plusieurs menus déjeuner accessibles au plus grand nombre, parmi lesquels 4 tapas au choix (16€) parmi 10 belles propositions à la carte ; une tortilla farcie (12€), au choix, de rillettes de crabe txaca, de poulet ou de Manchego gratiné ; ou encore un plat rustique (18€) avec une base de légumes basquaises, patatas bravas et oeuf au plat, accompagnés de lomo, piquillos ou aubergines ; de merlu ou de pluma (+2€) ; ou de poulpe (+5€) pour les palais les plus pointus.

Le soir, la Maison ouvre le terrain aux plus beaux apéros parisiens, proposant des plats à partager (patatas bravas 5€, croquetas de jambon ibérique 9€, assortiment de 10 tapas 50€), mais également des planches de fromages et de charcuteries au prix que d’aucuns trouveraient excessifs, mais qu’on se le dise, la qualité se paye.

Sur les planches de bois proposées à 50€ pour l’assortiment charcuteries ibériques, 30€ l’assortiment fromages espagnols, l’exceptionnel est en effet de mise, avec la présence de produits charcutiers 100% Bellota – épaule Bellota, chorizo, lomo séché, fuet catalan, saucisson de pays, sobressada de Mallorca IGP, guindillas ; et de fromages du même acabit – Manchego nature et truffé, cabrales, Ossau Iraty, queso tetilla, San Simon et jus de sorcière, une sauce basque typique composée de sauce tomate, miel et piment.

 

 

 

 

 

Faite-maison et mettant l’accent sur les plus beaux produits de la péninsule ibérique, la cuisine de La Noceria transporte le chaland là où le soleil se lève. Et sans plus tarder, les tapas défilent à table : pan con tomate frottés à l’ail confit, avec leur trait d’huile d’olive extra vierge et leur généreux ramequin de pulpe de tomate soigneusement assaisonnée pour garnir les tartines grillées (6€) ; croque basque au jambon ibérique, Ossau-Iraty, poivrons confits et oeuf de caille ; brie pané au coeur mascarpone, servi sur une tranche de pain aux abricots et amandes… Pas de doute, l’Espagne est à deux pas et une bouchée de nous.

À gouter quelques Pintxos frios, tels que les gambas snackées et leur cream cheese à la julienne de chorizo Ballotta ou à la tortilla farcie. Puis, place aux Pintxos calientes faits minute, à l’instar du rouget à la plancha, de la tempura d’aubergine farcie de jambon ibérique, ou du brie pané au coeur Mascarpone.

Bien sûr, on accompagne le tout de deux cocktails inventifs – proposés midi et soir : le cocktail Tiki Taka (14€), composé de Whisky Rye, de Cointreau, de jus d’ananas, de Jagermeister, de sirop d’orgeat maison et citron, servi dans un authentique verre tiki ; et le cocktail Cumbre Vieja (14€), plus sombre et profond, composé de rhum plantation Dark infusé au piment oiseau, de liqueur Napoléon, de jus de mangue, et d’une infusion poivre à queue indonésien.

à suivre, deux coups de coeur à tester sans plus tarder, la pluma ibérique (22€,) le caviar du cochon grillé, et sa sauce charcutière en version ibérique avec oignons rouges, guindillas, chorizo et bellota ; cuite à la perfection ; et enfin et surtout les champignons Portobello gratinés à l’Ossau-Iraty, chorizo bellota et crème d’ail (15€), la madeleine de Proust du chef qui mérite tous les honneurs, tant pour la consistance du plat (la mâche de ces champignons de folie !) que pour la gourmandise apportée par l’Ossau Iraty.

Avant de quitter les lieux, on s’autorise tout de même une petite incartade sucrée, à base de churros sauce chocolat (8€) qui se distinguent des traditionnels churros de fête foraine par l’aspect rempli de la pâte à churros et par l’odeur qui n’évoque en rien la friture (ouf!), et on repart de là en se disant qu’un aller-retour dans les plus belles contrées espagnoles sans quitter Paris, finalement c’est possible.

La Noceria

58 Rue d’Aboukir

75002 Paris

Tél : 01 53 40 81 67

 P’tit Deux

 

 

 

 

 

 

Juste en face de leur premier restaurant, Tiphaine Mollard et Romain Casas ont ouvert P’tit Deux, une p’tite bodega où défilent des tapas et des croquetas coquines, à accompagner de cocktails et de vins français. Et au déjeuner, le duo dévoile une spécialité street-food basque : les taloas !

Il n’aura fallu qu’un an à Tiphaine Mollard et Romain Casas pour inaugurer, à deux pas de leur premier restaurant Deux, leur seconde adresse dans le 11e arrondissement de Paris. Situé juste en face de leur première table rapidement récompensée par le label Ecotable, P’tit Deux est la juste extension de celle-ci, dans une ambiance plus décontractée et une atmosphère plus minimaliste.

 

 

 

 

 

Tandis que chez Deux, la cuisine se tournait vers le régional et plus particulièrement vers la Savoie et le Béarn, lieux de jeunesse des jeunes propriétaires, P’tit Deux propose à la manière d’une bodega des planches de charcuteries et de bonnes choses à tartiner, et dans les verres, des vins français de petits producteurs qui méritent le détour, des bières artisanales et des cocktails qui mettent en lumière des alcools tricolores, parfois trop longtemps oubliés au haut de leur montagne, comme le génépi (avec jus de pomme, tonic et cannelle) ou encore l’Armagnac (avec amer, ginger beer et citron vert).

 

 

 

 

Fil rouge de ces deux adresses, le sourcing pointu des beaux et bons produits, qu’ils se mangent ou qu’ils se boivent. Attablé au comptoir ou à l’une des tables hautes, les tapas défilent et font mouche : planches de salaisons de chez Louis Ospital et de fromages affinés de la maison Beñat (10€-20€), guacamole de petits pois et brocoli relevé de menthe, excellent tarama au piment béarnais fumé (12€), ou encore tortilla et coulis tomates-ail (8€). Pas de doute, le Sud-Ouest n’est pas loin !

 

 

 

 

P’tit Deux a d’ailleurs fait le choix de mettre particulièrement à l’honneur un mets iconique de cette région : la fameuse croquetas, qui se décline ici en différentes recettes particulièrement coquines. Citons, par exemple, la croquetas poulpe, tomates confites et Xipister ; la croquetas au gor’ion de boeuf et Ossau Iraty ; la croquetas au jambon de pays et Beaufort ; ou encore la croquetas du mois, notre préférée, garnie de pomme de terre, d’oignons, d’Abondance et de piment d’Espelette. Une demi-douzaine, s’il vous plait !

Alors bien sûr, le prix pourra être rédhibitoire pour certains (comptez 3€ la croquetas), mais celles-ci se savourent comme des petites bouchées uniques et réconfortantes, qu’on s’autorise pour accompagner un bon verre de vin, entre amis. Les becs sucrés seront, quant à eux, servis par les propositions de desserts – mousse au chocolat et crème au pin, baba à la Chartreuse ou à l’Armagnac, les planches étant servies de manière très généreuse.

 

 

 

 

 

 Et depuis peu, P’tit Deux dévoile une nouvelle offre street-food au déjeuner, à manger sur place sur la grande terrasse ensoleillée, ou bien sur le pouce, à emporter : les taloas ! Originaires du Pays-Bas que, les taloas sont des galettes de maïs à la texture unique, évidemment revisitées par Tiphaine Mollard et Romain Casas à la sauce béarno-savoyarde.

Une belle carte de tapas maison, planches de salaisons à partager de la maison Baud ou de chez Louis Ospital et les fromages affinés de la maison Beñatoù. On retrouve bien évidemment les fameuses croquetas qui varient selon les saisons : au piment padron, à la truffe ou façon arancini aux crozets de Savoie

Proposées à tarif abordable (11,50€ le taloa, 14,50€ le taloa side), on craque sans ciller pour le taloa Basco-Savoyard avec sa saucisse xistora légèrement relevée, sa crème d’abondance enveloppante, ses lamelles de courgettes, sa roquette et ses guindillas (les fameux petits piments verts du Pays Basque) qui envoient ; mais aussi pour le taloa au poulet effiloché, avec piments Padron, caviar de carotte maison, sucrine et une crème légèrement relevée au piment béarnais.

P’tit Deux a même pensé aux végétariens, avec un taloa au guacamole de petits-pois parfumé au basilic, agrémenté de mozzarella, de tomates confites et de roquette relevée au sel fumé. Et pour se croire encore davantage sous le soleil du Sud-Ouest, on ne dit pas non aux patatas bravas nappées d’une sauce secrète, loin de là !

Carte : 30 €  

P’tit Deux

57 Rue de la Fontaine au Roi

75011 Paris

 Tél : 09 73 89 23 17

Pitanga

 

 

 

 

 

 

 

Tapas traditionnelles, cocktails festifs, le restaurant brésilien Pitanga met du soleil dans votre assiette, du côté des Halles !

 

 

 

 

C’est un fait : l’automne et ses jours gris et pluvieux ont débarqué dans les rues de la capitale sans qu’on ait le temps de les voir venir. Pas question pour autant de se laisser abattre. Aussi, tandis que certains choisiront de prendre soin d’eux à grand renfort de spa et de massages, d’autres opteront pour une solution plus gourmande qui remonte tout autant le moral : mettre le grappin sur une table de Paris qui met du soleil dans l’assiette et du baume au coeur.

 

 

 

C’est le cas du restaurant Pitanga, situé à deux pas de la Bourse de Commerce, dans le quartier des Halles : une table brésilienne festive, et tout ce qu’il faut sur place pour un shot de dopamine bien mérité. A la tête des cuisines, une figure connue de la gastronomie parisienne, le chef brésilien Alexandre Furtado, passé entre autres par le restaurant Dorchester d’Alain Ducasse à Londres, qui n’est autre que la seconde moitié d’un duo formé avec Yoann Dinh.

 

 

 

 

Véritable restaurant de tapas brésiliennes à la décoration claire et végétale et doté d’une petite terrasse, Pitanga était voué à être, à son ouverture en 2020, une table franco-brésilienne – d’aucuns prononceraient encore le terme de ‘cuisine fusion’ aujourd’hui déconsidéré. Mais il semblerait que les deux compères ont fait le choix d’une cuisine plus franche du collier, avec une carte désormais entièrement tournée vers ses origines sud-américaines, amenée à changer tous les mois. Et c’est tant mieux !

Baptisé en hommage à la pitanga, un arbre à baies brésilien également connu sous le nom de cerisier de Cayenne, le restaurant de la rue Jean-Jacques Rousseau puise, en effet, dans les sacro-saintes techniques de la gastronomie brésilienne pour flatter viandes, poissons et légumes, tour à tour marinés, confits, rôtis ou encore passés au barbecue.

 

 

 

 

Les cromesquis de boeuf (9€), petits mais nombreux, sont ici surmontés d’une compotée d’oignons caramélisés légèrement acidulée, et se croquent de manière ludique, directement avec les doigts. Le cromesquis de gambas (10€) se veut quant à lui déconstruit, avec le riz à l’intérieur des croquettes dodues et les gambas à part, à tremper dans une sauce chien – une sauce originaire des Antilles et de Guyane, semblable à la classique chimichurri.

Enorme coup de coeur pour la crème de topinambours (9€), d’une douceur et d’une légèreté à se pâmer, soulignée d’un siphon de fromage frais et dont le maïs grillé, dissimulé dans la crème, donne de la mâche à l’ensemble. Vite chef, la recette pour la reproduire à la maison, cet hiver !

Place ensuite aux belles viandes, avec la picanha de boeuf (29€), soigneusement rôtie à l’extérieur et diablement fondante à coeur, qui s’accompagne de frites maison et d’un condiment tomate, oignon, estragon, coriandre, huile d’olive et piment doux – on est dans la pure tradition.

 

 

 

 

 

 

D’autre part, le porc ibérique (22€), un généreux bout de bidoche de qualité, dont la viande, confite avec grand soin, et le gras, saisi et croustillant comme un gratton, glisse tout seul dans notre gosier. Pour apporter de la légèreté au plat, cette belle bête se savoure avec une salade de chou-fleur au vinaigre de vin vieux, des noix du Brésil torréfiées, et des fines herbes.

Avant de craquer pour un flan brésilien (9€) au dressage soigné, on trinque avec les nombreux cocktails aux accents sud-américains de Pitanga, caipirinha au fruit de la passion ou au matcha (11€), cocktails à base de Cachaça (11€), ou encore Moscow, Rio et London mule (10€).

 Prix : tapas 9 €, carte 35-56 €.

 Pitanga

11 Rue Jean-Jacques Rousseau

75001 Paris

Tél : 01 40 28 12 69

 Sens Uniques

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour boire un verre entre amis, grignoter ou dîner dans un cadre décontracté servant une cuisine digne d’un gastronomique, l’addition en moins, rendez-vous dans ce restaurant bistronomique du 18ème arrondissement qui vous accueille comme à la maison ! Une véritable bonne adresse pour passer de bons moments et se régaler.

 

 

 

Ici pas de chichis ! Chez Sens Uniques, on aime ce qu’on fait et ça se ressent.

C’est dans le 18ème arrondissement de Paris dans le quartier des Grandes-Carrières, entre le Théâtre Montmartre Galabru et la Place de Clichy, aux pieds de Montmartre, qu’Emma et son équipe, Damien le chef de cuisine et Cyril le responsable de salle vous reçoivent dans un cadre chaleureux, cocooning et cosy décoré avec soin de meubles dépareillés. Du printemps à l’automne, l’endroit s’agrandit d’une terrasse colorée aux allures de paillote avec son coin salon et ses tables multicolores.

 

 

 

Ces passionnés de bons vins et de bonne cuisine vous proposent une carte labellisée Maître Restaurateur, composée uniquement de produits frais de saison déclinés sous forme de tapas et petites assiettes. Goûtez à tout. Partagez… ou pas ! C’est tellement bon.

La carte des vins n’est pas en reste et vous propose plus d’une centaine de références sélectionnées avec soin pour tous les goûts et tous les budgets axée quasi exclusivement sur les propriétaires récoltants. La carte des vins au verre avec sa quinzaine de possibilités en blanc et autant en rouge mettra tous les convives d’accord et vous permettra même de vous faire plaisir avec un grand cru au verre !

 

 

 

 

 

Et puisque l’apéro commence souvent par un cocktail pas de soucis… une carte de cocktails créations vous attend avec son Happy Hour de 17h30 à 20h tous les jours.

Comme à la maison, Sens Uniques privilégie le plaisir des sens et la convivialité et s’adapte à toutes vos envies, que vous soyez viandard ou végétarien. On apprécie tout particulièrement l’adaptabilité sans gluten de la carte et le pain sans gluten toujours à dispo.

 

 

 

 

Le week-end et les jours fériés vous y trouverez un brunch en buffet à volonté gargantuesque. Salé, sucré, fruits de mer, saumon fumé maison, fontaine de chocolat, jus de fruits frais… Et puisqu’ici on aime recevoir, vous y retrouverez dès l’ouverture une atmosphère chill et amicale du staff qui malgré le principe du libre-service est aux petits soins pour vous.

 

 

 

 

 

Un endroit parfait pour boire un verre avec des amis ou se faire un repas plein de saveurs à prix tout doux !

Tarifs : tapas, à partir de : 5€, brunch à volonté : 15€ – 36€, formule déjeuner : 17€, menu gourmandise 3 plats : 30€, menu du chef 5 plats : 45€.

Sens uniques

44 Rue Damrémont

75018 Paris

 Tél : 01 42 23 04 63

Shana

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En quête d’une bonne adresse pour trinquer et vous régaler ? Au coeur de Paris, Shana est une pépite de quartier chaleureuse qui pourrait bien devenir votre lieu fétiche pour vos apéros les plus gourmands ! Au programme, de bons vins et des tapas généreux mettant en avant des spécialités typique de la cuisine juive.

 

 

 

Un spot réconfortant qui nous réchauffe le coeur et les papilles à l’heure de l’apéro ? On vous embarque pour une pépite de quartier nichée au coeur du deuxième arrondissement au concept étonnant ! De jour, on connait cette adresse sous le nom de Shosh, une épicerie ascendant traiteur, au cadre chaleureux qui nous fait nous sentir comme à la maison tout en nous faisant goûter au meilleur des saveurs israéliennes. À la nuit tombée, ce lieu imaginé par les chefs de Shabour devient Shana, une taverne gourmande et joyeuse, où on file trinquer et se régaler. Mettez les bout-à-bout, cela donne Shoshana, soit « grand-mère » en hébreu : vous saisissez alors le thème !

 

 

 

 

 

 

Ici, on vous accueille comme de vieux amis, avec un verre de vin pétillant que vous sirotez tout en consultant la carte. Les recettes que vous découvrez dans ce bar à vins, ce sont celles des grand-mères de l’équipe, dont vous trouvez d’ailleurs les portraits affichés au-dessus d’un âtre donnant sur les cuisines. Une attention touchante qui contribue à ce cocon réconfortant !

Dans ce spot où règne la bonne ambiance, on savoure au rythme de musiques orientales des tapas qui vous font découvrir des plats typiques de la cuisine juive. Les uns se retrouvent bercés dans leurs souvenirs d’enfance tandis que les autres ont l’occasion de déguster des spécialités encore trop méconnues. Un véritable temple du partage qui joint alors le sens de la transmission au plaisir de la découverte !

 

 

 

 

 

 

Parmi les coups de coeur qu’il ne faudra pas manquer à la carte, on vous recommande vivement le foie de volaille avec une terrine extrêmement fondante et bien relevée surmontée d’une salade d’oeufs et de pickles, ainsi que la Soukariote, des brochettes d’agneau pleines de saveurs, au notes grillées comme on aime accompagnées d’oignons rouge et de piment surmontant une galette façon malawah : deux assiettes qui devraient faire le bonheur des amateurs de viande. Et si vous vous posiez la question : oui, c’est casher.

La cuisine est juste délicieuse. Il s’agit d’assiettes à partager (ou pas). De notre côté on s’est dirigé vers une fleur de courgette, des asperges, une brochette de ris de veau (une tuerie), des artichauts et des dips. Très franchement, on n’a pas été déçu. Chaque assiette était un univers très particulier où les saveurs se mélangent. Je n’avais jamais mangé d’artichauts cuits de cette manière (ni aussi bon je pense). Bref, chaque assiette est autour des 10 – 12€ (le ris de veau à 17€) donc pour 5 assiettes, vous pouvez compter sur un budget d’une soixantaine d’euros.

 

 

 

 

 

 

Pour les amateurs de friands ou de mezzés, pas question de passer à côté de la Borekas ultra-moelleuse et beurre,  au kashkaval (un fromage de brebis d’origine hongroise) à la fêta et au shabazi (un condiment à la coriandre, au citron et au piment vert que l’on retrouve également dans la Soukariote).

Quant aux becs sucrés, la générosité est également de mise pour leurs papilles à l’heure du dessert ! Appel aux chocovores, la généreuse Beni Mousse saura s’accorder vos faveurs, avec son côté réconfortant et ses notes cacaotées qui ont le mérite de ne pas saturer notre palais notamment grâce aux cristaux de sels qui recouvrent cette mousse au chocolat maison. Pour un peu plus de fraicheur (mais pas tant de légèreté), le gâteau biscuit avec sa texture moelleuse et son coulis de passion vous permettra de clôturer cette dégustation sur une note de peps !

Au-delà de ce que notre palais a pu apprécier, j’ai adoré le concept de l’endroit. C’est bien plus qu’un bar à vins, c’est un voyage. Chaque assiette est super jolie, du dressage à la vaisselle en elle-même. On sent qu’il y a eu une réflexion pour créer quelque chose. Et ça va jusqu’à l’addition qui arrive dans un petit porte-monnaie qui s’intègre parfaitement dans la décoration de l’endroit.

 Shana Paris

14 Rue Saint-Sauveur

75002 Paris 

Tél : 07 69 62 42 36

 

   

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