Florilège gourmand préparations culinaires

Un périple autour du monde des hors-d’œuvre typiques de chaque pays

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Un petit nombre de critiques gastronomiques pensent que la tradition a peut-être commencé en Russie, où les petits en-cas de poisson, de caviar et de viande étaient courants après de longs voyages. Cependant, il se peut que la coutume soit née en Chine, et qu’elle soit passée par les steppes, en Russie, en Scandinavie, en France et dans d’autres pays européens.

 

 

 

 

 

 

La tradition a peut-être atteint l’Italie, la Grèce et les Balkans par la Russie ou la Perse. De nombreuses coutumes nationales sont liées, notamment le smörgåsbord suédois, le zakouski russe, le mezzé moyen-oriental et l’antipasto italien.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Durant la période romaine, les repas consistaient en deux plats principaux qui étaient complétés avant le repas par de petites quantités de poisson, de légumes, de fromages, d’olives.

Ceux-ci étaient servis au début du repas connu sous le nom de gustatio ou promulsis. Les Grecs appelaient le plat d’entrée propoma.

Dès 500 CE, le Talmud de Babylone (Yoma 83b) relate la pratique consistant à donner des desserts sucrés à une personne avant le plat principal d’un repas afin de raviver ses forces et d’augmenter son appétit (araméen : מגרר גריר).

Le hors-d’œuvre, parfois orthographié hors d’œuvre, correspond, dans le repas occidental classique, au deuxième plat (avant le potage). Il s’agit le plus souvent de mets délicats servis en petites pièces. Depuis le milieu du xxe siècle, le nombre de plats d’un repas a fortement diminué et les termes « hors-d’œuvre » et « entrée » ont tendance à se confondre. Il y a un siècle, l’entrée de début de nos repas modernes venait en quatrième position après le relevé.

 

 

 

Les entrées, hors-d’œuvre et amuse-bouches attirent un nombre grandissant de gourmands. Que ce soit lors d’un apéritif, d’un dîner entre amis ou d’un repas de fête, Avec autant de préparations originales et faciles à réaliser en suivant pas à pas les étapes, pourquoi ne pas associer les sushis japonais à des wontons chinois, les antipasti italiens à des tapas espagnols ou les zakouskis russes à des salades orientales ?

Voici un périple autour du monde des hors-d’œuvre, à découvrir : 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ALBANIE

 

 

 

 


La cuisine de l’Albanie, comme dans la plupart des nations méditerranéennes et des Balkans, a été fortement influencé par sa longue histoire. À différents moments, le territoire de l’Albanie a été occupé par la Grèce, l’Italie et l’Empire ottoman, et chaque groupe a laissé sa marque sur la cuisine albanaise. Le repas principal des albanais est le déjeuner, il est habituellement accompagné d’une salade de légumes, comme des tomates, des concombres, des poivrons verts, et des olives avec de l’huile d’olive, du vinaigre et du sel. Le déjeuner inclut également un plat principal, des légumes et de la viande. Les spécialités de fruits de mer sont également communes dans les secteurs côtiers de Durrës, Vlorë et Sarandë.

 

Byrek, böreks, bureks ou beureks

 

 

 

 


Les byreks, böreks, bureks ou beureks sont des pâtisseries salées.
Ce mets, très ancien, vient de la cuisine turque et aurait même été développé par les Turcs en Asie Centrale avant leur arrivée en Anatolie. Il s’est probablement répandu dans les Balkans à l’époque de l’Empire ottoman mais selon d’autres sources, ce mets faisait partie de la cuisine Byzantine, très répandu en Anatolie (ancienne région byzantine). À la suite de l’occupation ottomane, ce mets grec ou byzantin a changé de nom pour prendre celui de burek ou börek.(source: Wikipedia)Le Byrek se déguste à n’importe quelle heure et peut être garni à toutes les farces (viandes, fromages, légumes…).

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : feuilles filo, petites pommes de terre, viande de bœuf hachée, oignon, gousse d’ail, tomate, concentré de tomates, petits pois, poivron rouge, paprika doux, huile d’olives, sel, poivre, thym, persil haché, beurre fondu, graines de sésame…


Japrak ou Sarma

 

 

 

 

Les feuilles de vigne farcies (Dolma Japrak) me rappellent toujours l’été et doivent être l’une des meilleures recettes à avoir quand le soleil brille ! Ces feuilles de vigne roulées rafraîchissantes farcies d’agneau haché, d’oignons, de riz, d’herbes et d’assaisonnements sont mijotées jusqu’à ce qu’elles soient tendres et délicieuses.
« Dolma » signifie légumes farcis et bien que les feuilles de vigne soient les plus populaires, vous pouvez également farcir toute forme de légumes verts (le chou est le plus populaire), les oignons, les poivrons , les aubergines , les courges, les tomates et les courgettes.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : feuilles de vigne marinées, agneau haché, oignons, coupés en dés, riz, poivre, paprika, bouillon de légumes séchés, persil haché, basilic, huile d’olive, sel, eau bouillante…

 

 

Pastërma ou bastırma ou pasturma

 

 

 

 

 

Pastırma, bastırma ou pasturma, est une charcuterie composée de la viande rouge de bœuf fortement pressée et séchée à l’air, de la cuisine anatolienne. Elle est aussi présente dans les anciens pays ottomans.

L’usage de la viande séchée de bœuf a été courante dans cette région pendant des siècles. Andrew Dalby mentionne son utilisation à Byzance. Le pastırma lui-même est habituellement considéré comme une spécialité arméno-turque (les charcuteries arméniennes sont réputées), bien qu’il soit produit et consommé dans une vaste région de l’Europe de l’Est et du Moyen-Orient qui correspond aux territoires appartenant à l’Empire ottoman.

Une légende dit que les cavaliers turcs de l’Asie centrale avaient l’habitude de conserver la viande en plaçant des galettes dans les poches latérales de leur selle, où elles étaient serrées par leurs jambes pendant qu’ils chevauchaient.

Le bœuf, de préférence jeune, étant la viande la plus commune aujourd’hui, d’autres viandes sont également employées, y compris le chameau, l’agneau, la chèvre et le buffle.

Le pastırma est préparé en salant le morceau de viande tout en le pressant afin d’éliminer le maximum d’eau et de sang. La viande une fois sèche est prête pour être recouverte d’une pâte à base principalement d’ail, de cumin, de fenugrec appelé çemen en turc, de paprika, de piment d’Alep, le tout broyé. Une fois la viande enrobée de cette pâte de couleur rouge bordeaux, elle est laissée à l’air libre (cette préparation se fait plutôt en hiver).

Il peut être servi en mezzé, en tranches minces, habituellement crues, mais peut parfois être légèrement grillé, ou être ajouté aux différents plats, le plus célèbre étant un plat de haricots. Il est souvent accompagné d’un verre de rakı.

En Turquie, la version épicée, souvent appelée le Kayseri pastırması ou pasturma de Kayseri, est la plus commune. Le rumeli pastırması ou pasturma de Roumélie (les pays chrétiens de l’Empire ottoman situés à l’Ouest, donc essentiellement les pays balkaniques) est moins connu. Le pastırma balkanique est simplement salé.

Ce mélange est destiné à aromatiser les pastrami. Le pastrami est une préparation de viande tendre de bœuf saumuré et assaisonné avec un mélange d’épices avant d’être fumé et cuit longuement à basse température.

Le pastrami est originaire de Roumanie (pastra signifiant conserver en roumain), cette recette a été exportée en Amérique du Nord par la diaspora juive originaire d’Europe centrale. Nombre de restaurants new-yorkais proposent cette fameuse préparation de bœuf dans des sandwiches de pain de seigle réputés dans le monde entier : le pastrami on rye. Ainsi le restaurant casher Katz’s Delicatessen est réputé servir le meilleur pastrami au monde…

Composition du mélange d’épices pour assaisonner la viandepaprika fumé, fenouil, moutarde jaune,  ail en poudre,  oignon en poudre, coriandre, sel fumé, cassonade, poivre noir…

 

 

ALLEMAGNE

 

 

 

 

 

 

Outre les saucisses de Francfort qui font la base de nombreux plats, découvrez les recettes allemandes gourmandes et audacieuses pour un repas convivial. De l’entrée au dessert, régalez-vous avec des spécialités typiques telles que le currywurst, le sauerkraut ou encore le strudel.

 

 

 

 Bouchées à la bière

 

 

 

Les bouchées de brat à la bière sont faites de bratwursts grillés cuits dans une réduction de bière. Le résultat? Perfection pure.

 La bratwurst et la bière sont un mariage parfait au paradis, il est donc logique de combiner les deux pour faire un plat épique.

 Si vous êtes à la recherche d’une collation à couper le souffle lors de votre prochaine soirée cinéma, c’est celle qu’il vous faut.

 Vous pouvez servir ce plat tel quel ou accompagné de fromage à tartiner pour un combo encore plus riche. Délicieux.

 

 

Boulettes de choucroute

 

 

 

 

 

Les boules de choucroute peuvent ne pas sembler si incroyables, mais elles le sont vraiment ! Même les non-amateurs de choucroute tomberont amoureux de ces délicieuses friandises.

 La saucisse bratwurst, le fromage à la crème et la choucroute sont enrobés de chapelure et frits à la perfection. Comment peux-tu dire non à ça ?

 Le superbe combo de saucisses fumées, de fromage à la crème riche et de choucroute piquante est absolument divin. Les faire frire rend encore plus impossible de résister.

 

 

 Boulettes de viande allemandes

 

 

 

 

 

 

Les boulettes de viande allemandes ne sont pas vos boulettes de viande typiques. Une belle boule de viande hachée et de bacon est nappée d’une sauce à la moutarde et servie sur une choucroute au bacon.

 Cette entrée est la quintessence de la nourriture réconfortante allemande.

 La boulette de viande en soi est déjà spectaculaire, mais la sauce crémeuse l’amène à un autre niveau.

 

 

Crêpes de pommes de terre allemandes

 

 

 

 

 

 

 

Les crêpes de pommes de terre allemandes sont croustillantes à l’extérieur, moelleuses à l’intérieur et paradisiaques.

Cette entrée allemande populaire est faite de pommes de terre râpées et d’oignons mélangés avec des œufs battus et de la farine, et frits jusqu’à ce qu’ils soient dorés.

 Elles peuvent être servies salées, avec de la viande ou du yaourt.

 

 

 Frites allemandes

 

 

 

 

Ces pommes de terre sautées avec bacon, oignons et herbes fraîches ont le même goût que nos frites, seulement 10 fois mieux.

C’est du bacon, des frites et des oignons dans un seul plat ! Ces trois ingrédients rendent cette entrée trois fois plus addictive. Si vous êtes au régime, évitez les frites allemandes.

 

 

 

 Œufs marinés allemands

 

 

 

 

 

 

Les œufs durs marinés sont un accord de bière populaire en Europe. Le marinage était une méthode couramment utilisée à l’époque pré-réfrigérateur pour conserver les aliments.

 Maintenant, il est utilisé pour donner aux aliments une saveur épique. Ces œufs marinés ont un équilibre parfait entre le sucré, le salé et l’acide.

C’est amusant à manger aussi. Voici comment procéder : coupez-le en deux et retirez le jaune d’œuf. Ajoutez un trait de moutarde, d’huile, de vinaigre et de poivre au blanc d’œuf évidé.

 Mangez d’abord le jaune d’œuf suivi immédiatement du blanc d’œuf. Miam!

 

 

Radis à la bière

 

 

 

 

Le radis à la bière est une entrée croustillante, croquante et acidulée qui se marie très bien avec la bière. Tout ce dont vous aurez besoin pour ce plat est un morceau de radis Daikon, du sel et du poivre !

 Il suffit de saupoudrer le radis de sel et de poivre, de le laisser mariner pendant 30 minutes et c’est prêt. Cela ne pourrait pas être plus simple que cela.

 Le radis juteux absorbe les saveurs du sel et du poivre, vous donnant un accord de bière parfaitement aromatisé.

 

 

 Salade de chou allemande

 

 

 

 

 

La salade de chou allemande est tout aussi éclatante et croustillante que la nôtre, mais sa vinaigrette est faite de vinaigre et non de mayonnaise. C’est pourquoi c’est tellement plus rafraîchissant !

 L’acidité du vinaigre se marie à merveille avec le chou cru. Il adoucit également le légume tout en le gardant croquant en même temps.

 Vous pouvez utiliser du chou vert ordinaire, mais vous pouvez également utiliser du violet pour une touche de couleur.

 

 

Salade de hareng rouge allemande

 

 

 

 

 

 

Cette salade comprend du hareng rouge mariné, des pommes, des oignons, des betteraves et des cornichons dans une sauce riche et crémeuse.

 Outre le goût, ce qui le distingue, c’est sa couleur. Grâce aux betteraves rouges, cette salade a une jolie teinte rose.

 Cette entrée est traditionnellement consommée lors de la Saint-Sylvestre.

On dit que les écailles du hareng ressemblent à des pièces d’argent, c’est pourquoi on pense qu’elles apportent fortune et prospérité au cours de la nouvelle année.

 

 

 

Salade de wurst bavarois

 

 

 

 

 

 

 

La salade bavaroise Wurst est l’une des meilleures. Servez-le pendant l’été pour une entrée légère et rafraîchissante.

La combinaison de saucisse d’été de Bologne, d’emmental, de fromage et de cornichons donne une saveur et une texture intéressantes.

 Terminé avec une vinaigrette piquante et saumâtre, c’est une excellente façon de commencer votre repas. C’est tout ce que vous pouvez demander dans une salade : riche, savoureuse, piquante et croquante.

 

 

Tarte à l’oignon allemande

 

 

 

 

La tarte à l’oignon allemande, ou Zwiebel kuchen, est un plat salé composé d’une croûte feuilletée, d’une garniture à l’oignon caramélisé et de bacon liés par un mélange d’œufs.

C’est doux, riche, salé et fumé à la fois. Les oignons caramélisés marchent si bien avec le bacon !

 Si vous aimez les quiches sucrées et salées, vous adorerez la tarte à l’oignon allemande.

 

 

 Trempette à la truite fumée

 

 

 

 

 

 

Voici un autre plat de poisson qui fascinera votre palais : la trempette à la truite. Le nom n’est peut-être pas appétissant, mais c’est vraiment un incontournable !

 Un mélange de fromage à la crème, de paprika, de câpres, d’aneth, de ciboulette, de citron et de truite fumée, cette trempette est vraiment addictive !

Á servir  avec des tranches de baguette grillées ou vos craquelins préférés et croyez-moi, il disparaîtra en quelques minutes.

 

 

ANGLETERRE

 

 

 

 

 

 

Peu réputée pour sa gastronomie, la cuisine anglaise cache pourtant quelques pépites comme les oeufs au bacon, le crumble, le fish & chips, les scones, le lemon curd ou encore les muffins. On se régale avec les recettes à l’anglaise.

 

Gelée d’anguilles

 

 

 

 

 

 

Jellied eels en anglais, est une spécialité du quartier East End à Londres. Les anguilles consommées viennent principalement du Lough Neagh en Irlande du Nord. Elles sont cuites pendant une demi-heure, puis sont laissées à refroidir. L’aspect gélatineux de ce mets est dû à la gelée de protéine de poisson à laquelle on ajoute parfois de la gélatine. L’anguille en gelée est souvent consommée avec du vinaigre aux piments. Lorsqu’il est vendu dans la rue, on déguste ce plat avec une tarte et de la purée. La gelée d’anguille est considérée comme un hors-d’œuvre froid.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : anguilles, carottes, oignons, petits oignons blancs, gousse d’ail, persil, thym, laurier, ciboulette, vin blanc sec, beurre, morceau de sucre, sel, poivre…

 

Oeufs Bénédict à la sauce hollandaise

 

 

 

 

 

Les œufs Bénédicte, de l’anglais eggs Benedict, appelés œufs bénédictine au Québec, sont une spécialité américaine à base d’œufs composée de moitiés de muffin anglais grillées, recouvertes d’une tranche de bacon frit, d’un œuf poché, et nappées de sauce hollandaise. C’est un classique du brunch américain

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : muffins, oeufs, fines tranches de lard fumé, vinaigre d’alcool, gros sel…

La sauce hollandaise : jaunes d’oeufs, beurre, jus de citron, sel…

 

 Saumon mariné et sauce tartare

 

 

 

 

Un délice à préparer quelques jours à l’avance pour profiter de tous ses parfums.

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : beau filet de saumon, betteraves, sel, sucre, gin, citrons bio sans le zeste…

Pour la sauce tartare : jaunes d’oeufs, moutarde de Dijon, huile de colza, huile d’olive, citron, câpres salées, cornichons, persil, ciboulette…

 

 

Scotch eggs

 

 

 

 

Ce plat est une délicieuse collation que l’on mange habituellement sur le pouce ou dans le cadre d’un pique-nique. Un Scotch egg est tout simplement un œuf dur recouvert de chair à saucisses enrobée de chapelure que l’on fait frire. Il fut inventé à Londres, au XVIIIe siècle. Son nom, en revanche, reste un mystère. Selon certains, il proviendrait de l’adjectif scorched qui signifie « roussi » dans la mesure où, à l’époque, on faisait cuire les œufs à côté d’un feu ouvert.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : œufs, chair à saucisse, moutarde, bouquet de persil, sel et poivre, farine, chapelure, huile de friture…

 

 

Toad in the hole

 

 

 

 

 

Malgré son nom peu ragoûtant, le toad in the hole (un crapaud dans un trou, en français), est un plat délicieux. Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, il ne contient pas de crapauds ! Il s’agit tout simplement de saucisses de porc (appelées bangers) enveloppées dans un Yorkshire pudding et cuites au four. Ce plat s’accompagne généralement de sauce à l’oignon. Son nom est simplement un caprice linguistique qui remonte à la fin du XVIIe siècle, lorsque l’on faisait cuire les puddings de pâte sous les viandes grillées qui dégoulinaient de graisses. Les morceaux de viande les moins nobles appelés toadies étaient coupés puis ajoutés au pudding pour créer ce plat unique.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : saucisses cuites, lait, farine complète, sel, oeuf…

 

 

Welsh rarebit

 

 

 

 

 

Ce plat prononcé « Welsh rabbit », ne contient pas de lapin mais uniquement du fromage. Il s’agit d’une version haut de gamme d’un sandwich au fromage. On le prépare avec du cheddar que l’on fait fondre et que l’on mélange à divers ingrédients comme de la sauce Worcester, de la moutarde, du paprika, du sel et du poivre. Son nom provient d’une blague anglaise inventée au XVIIIe siècle, lorsque les Gallois étaient tellement pauvres qu’ils n’avaient pas les moyens de s’acheter de bons morceaux de viande.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : tranches épaisses de pain de campagne, cheddar, bière brune, fines tranches de jambon, moutarde douce, Worcestershire sauce… 

 

 

 

ARGENTINE

 

 

 

 

 

La cuisine est l’une des pierres angulaires de la culture Argentine. En Argentine, on ne jure que par la viande, en particulier la viande de boeuf. Les grands pâturages que compte le pays sont en effet particulièrement adaptés pour l’élevage de bovins ! En Argentine le légume est l’ennemi public numéro 1 ! Alors végétarien, s’abstenir ! Les plats typiques Argentins sont d’ailleurs souvent servis sans garniture !

 

 

 

 Calamares fritos

 

 

 

 

 

 Un classique de la cuisine Sud Américaine, eh oui, nous connaissons tous les beignets de calamars ! En tout cas ici en Argentine ils en raffolent. On vous partage donc aujourd’hui l’une des recettes de cuisine d’Amérique Latine découverte dans un restaurant de fruits de mer au plein coeur de Rosario en Argentine.  

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : anneaux de calamar, farine, oeufs, lait, eau tiède, sachet de levure chimique, sel, huile pour friture…

 

 

 

Canelones de carne y espinaca

 

 

 

 

Un plat Italien revisité à la sauce Latino ! Voici une délicieuse recette de plat argentin que nous avons découvert à Cordoba, dans le centre du pays. Mais attention il s’agit de cannellonis un peu particuliers ! Ca plat italien revisité est en effet réalisé à partir de crêpe ! L’Argentine est un pays très influencé par la culture italienne du faîte de l’immigration du 19e siècle, de nombreux plats sont donc inspirés de la gastronomie de la péninsule ! Vous l’imaginez bien ce plat revisité est super bon, très juteux, hyper goûteux … bref, une recette Argentine originale et délicieuse !

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :

Crêpes : lait, oeufs, farine, beurre, sel, huile…

 Farce : viande hachée, épinards frais, oignons blancs, gousses d’ail, ricotta, sel, poivre…

 Béchamel : lait, beurre, farine, sel, poivre, muscade en poudre, sauce tomate, emmental râpé…

 

Empanadas criollos argentinos

 

 

 

 

 

Les empanadas criollas sont les empanadas typique d’Argentine. Les empanadas sont faciles à préparer et sont vendus en Argentine dans de nombreux restaurants et stands de rue. Il existe même de nombreux lieux de restauration qui vendent exclusivement des empanadas.

 Traditionnellement, la garniture de ces empanadas est réalisée à base de viande de boeuf, de poivrons, d’oignon, d’oeufs durs et d’olives. Mais comme nous, vous pouvez remplacer la viande par du thon, ou ce que vous voudrez ; à vous de choisir !

 

 

 

 Empanadas au thon

 

 

 

 

 

Au programme donc de ce plat typique sud-américain : thon, carottes, maïs, haricots rouges, courgettes et oignons. Un vrai régal et de nombreuses variantes à réaliser !

 Voilà une recette typique sud-américaine qui se déguste un peu partout en Amérique latine, mais plus particulièrement en Argentine ! Ils sont servis sur des stands de rues, en boulangeries ou encore dans les restaurants ! L’Empanada est un petit chausson farci avec à peu près tout ce qu’on veut. Ainsi, on peut les réaliser avec de la viande, du poisson ou encore 100% végétariens ; vous n’avez que l’embarras du choix !

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont pâte brisée,  oignons, carottes, courgette, haricot rouge, thon, maïs, huile d’olive, sel, poivre, cumin, citron jaune…

 

Fugazzeta

 

 

 

 

 

 

 Une pizza d’origine italienne devenue un plat aussi typique que le BBQ en Argentine !

La fugazzeta est une pizza très populaire d’origine napolitaine, à tel point qu’elle est rentrée les incontournable de la cuisine traditionnelle d’Argentine.. On retrouve en effet à Buenos Aires une quantité incroyable de pizzerias, à tel point qu’en 2007, le Ministère de la Culture de la ville de Buenos Aires a édité un guide gastronomique intitulé « Pizzérias du patrimoine de Buenos Aires » !

 La fugazzeta est une pizza dont la pâte est farcie à la mozzarella surmontée d’oignons et à nouveau de mozzarella ! La recette a évolué à partir de la Fugazza, une pizza non farcie garnie d’oignons, qui à son tour, a évolué à partir de la Focaccia italienne.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :

Garniture : mozzarella râpée, oignons, origan frais, piment de Cayenne, paprika, sel, huile d’olive…

 Pâte : farine, eau tiède, mozzarella râpée, huile d’olive, sucre, sel, levure fraîche…

 

 

 

Belgique

 

 

 

La cuisine belge est une cuisine variée imprégnée de diverses influences des pays voisins, Allemagne, France et Pays-Bas. Chacune des trois régions qui composent ce pays proposent des recettes riches en saveurs, généreuses et uniques.

 

 

Asperges à la Flamande

 

 

 

 

 

 

Voici une recette phare de la gastronomie belge qui est consacrée aux asperges blanches dont les turions, ces jets d’asperges qui apparaissent en l’espace d’une nuit feront votre bonheur le lendemain dans votre assiette. De mi-mai à mi-juin, je vous recommande vivement de déguster la reine des asperges blanche, j’ai nommé l’asperge de pleine terre de Malines !

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : asperges blanches fraiches (asperges de Malines en saison), oeufs durs, beurre, botte de persil plat, jus de citron…

 

 

Cassolette de sole et cabillaud gratinée aux crustacés

 

 

 

 

 

Une entrée chaude qui conviendra pour toutes les occasions et qui me tente particulièrement pour un menu de la saint sylvestre. Déposez tous les ingrédients dans une cassolette, enfournez et c’est prêt. Difficile de faire plus simple non ?

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : tranche de cabillaud, filet de sole, noix de saint jacques, crevettes grises épluchées, grosses moules, bière blanche (blanche de Namur, blanche de Bruges ou blanche de Hoegaarden), crème fraîche, bisque de homard, gruyère, sel, poivre…

 

Mesclun de crevettes grises, vinaigrette à la Rodenbach

 

 

 

 

 

Une belle salade mixte, gourmande par la présence des crevettes grises et délicieusement relevée par une vinaigrette très originale à base de bière et de moutarde. Une entrée simple, savoureuse et rafraichissante mais aussi très élégante.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : mesclun, roquette, tomate, crevettes grises , cuites et décortiquées…

Pour la vinaigrette : vinaigre de vin rouge, moutarde forte de Dijon, huile d’olive, mayonnaise, bière Rodenbach, jaune d’oeuf, sel fin, poivre noir du moulin…

 

 

 

Oeufs pochés aux jets de houblon et au vin blanc

 

 

 

 

 

 

 

Une préparation sublime, typique des régions houblonnières de la Flandre. à la fois simple et sophistiquée, elle utilise des jets de houblon qui ne sont rien d’autre que les bourgeons du houblon, très proches d’aspect des asperges mais au goût très différent ; légèrement amer et aigre.  Leur mariage avec des œufs pochés, liquides à cœur et une crème fouettée au vin blanc donne un résultat tout à fait extraordinaire !

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : jets de houblon, oeufs frais, jus d’un citron, beurre doux, crème fraîche liquide, vin blanc sec, vinaigre, sel fin, poivre noir du moulin…

 

 

 

Quiche flamande

 

 

 

 

 

Chaque région à sa quiche. Cette fois-ci, nos amis du nord de la Belgique nous réalisent une quiche à la bière.

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : pâte brisée, blancs de poireaux, jambon fumé, oeufs entiers, jaunes d’oeufs, crème fraîche liquide, bière blonde, beurre, branche de thym, muscade, sel, poivre noir…

 

Tomates crevettes

 

 

 

 

De Arlon à Ostende, de Liège à Mons et passant par Bruxelles, les tomates crevette sont une spécialité belge au même titre que les célèbres moules frites C’est un plat que les enfants adorent et qui est constitué tout simplement d’une tomate crue remplie d’une farce à base de crevettes grises. Pensez-y : une entrée froide absolument fabuleuse à base de crevettes grises prête en 25 minutes et qui est facile à réaliser.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : belles tomates bien rouges, crevettes grises épluchées, mayonnaise, jus de citron, branches de persil plat, sel, poivre…

 

 

 

 

Brésil

 

 

 

 

Si vous voyagez au Brésil, profitez de sa gastronomie riche en couleur et en saveurs. Elle est influencée par différentes origines ethniques et comportent une mélange de saveurs venues de l’Afrique, du Portugal et des Amérindiens. La majeure partie du temps, la cuisine brésilienne est composée essentiellement de riz, de farine de manioc ou encore de haricot. Mais on y ajoute également des légumes, de la viande et des poissons.

 

Bobó de Camarão

 

 

 

Le Bobó de Camarão est originaire de Bahía et, comme de nombreux plats de cette région, il est basé sur des influences d’Afrique de l’Ouest. La soupe à la crème est composée de crevettes, de manioc cuit, d’huile de dendé, de poivrons, d’ail et de tomates, auxquels on ajoute éventuellement de la purée de yuca, du gingembre ou de l’huile de palme.

À Espírito Santo, l’influence italienne a conduit à l’ajout fréquent d’huile d’olive. Le bobó de camarão est généralement servi avec du riz ou d’autres plats à base de manioc. Avec son goût savoureux, ce plat a déjà enchanté plus d’un voyageur au Brésil.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont manioc, gambas fraîches, oignon, gousses d’ail, persil plat, coriandre fraîche, tomates, cacahuètes, huile d’olive, huile de palme, lait de coco non sucré, sel fin, moulin à poivre

Pour la garnitureriz basmati, oignon, gousse d’ail, sel fin, eau, huile d’olive…

 

Pão de queijo

 

 

 

 

 

Le pão de queijo est une sorte de petit pain au fromage originaire du Minas Gerais, dans le sud du Brésil. Il est fabriqué à partir de fromage et d’une pâte à base de fécule de polvilho. Chaque boulanger ayant sa propre recette, il existe de nombreuses variantes.

Des versions fourrées sucrées ou salées sont parfois vendues. Les fromages les plus souvent utilisés sont le minas local, la mozzarella ou le parmesan. Le pão de queijo se trouve aussi bien dans les boulangeries et les stands de street food que dans les supermarchés.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : tapioca, lait entier, beurre, parmesan râpé, oeufs, sel…

Salade d’avocats et cœurs de palmier

 

 

 

 

 

Cœurs de palmiers (palmito) : Il s’agit de la partie centrale du palmier. Les cœurs de palmiers sont les ingrédients favoris des hors d’œuvres et des salades. Dans la cuisine brésilienne, ils sont aussi cuisinés dans les sauces et les assaisonnements.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : avocats, ananas en conserve, brins de coriandre fraîche, radis roses, miel liquide, cœur de laitue, piment fort, cœurs de palmiers, citrons verts, huile d’olive, sel…

 

 

CHILI

 

 

 

 

À dire vrai, la table chilienne est davantage réputée pour la qualité et la fraîcheur de ses produits – poissons et fruits de mer en particulier – que pour son savoir-faire.

On retrouve toutes sortes d’influences reflétant son histoire (mais rien qui la transcende vraiment) : amérindiennes, espagnoles, bien sûr, mais aussi anglaises et, surtout, allemandes. C’est une cuisine chilienne peu relevée, dans laquelle les herbes aromatiques n’ont que peu de place. De même que les épices, ají (piment) en tête, qui sont toujours servies à part. C’est pourquoi, les plats manquent parfois de goût. En revanche, on ne lésine pas sur le sel et le sucre !

Même si l’incontournable poulet-frites et les burgers gagnent irrémédiablement du terrain, les comedores ou cocinerías des marchés offrent encore des plats typiques, fraîchement préparés et bon marché. Les fuentes de soda servent sandwichs et boissons non alcoolisées. Dans beaucoup de restos-bars, on peut commander des tablas, sortes de planches garnies à partager pour accompagner l’apéro.

Inutile d’ennuyer les Chiliens en commandant du chili con carne… C’est un plat tex-mex, pas chilien !

 

 

Cazuela de berenjenas

 

 

 

 

 

 Originaire d’Argentine et du Chili, la cazuela est un plat traditionnel et familial réalisé à partir de morceaux de poulet ou de boeuf, accompagnés de légumes tels que les haricots verts, les poivrons, la citrouille, le maïs et les pommes de terre. L’ensemble est servi dans un bouillon chaud.

Il s’agit d’un mets réconfortant, très simple à préparer et délicieusement parfumé auquel on ajoute parfois du riz.

Le nom du plat vient du récipient « casserole » il est généralement servi en entrée dans les menus complets des restos populaires, c’est un bouillon ou un consommé dans lequel flotte un morceau de bœuf ou de poulet bouilli, au milieu de pommes de terre, maïs, légumes, potiron. Ce n’est pas lourd mais pas toujours goûteux non plus…

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : aubergines, oignons, tomates, mozzarella, gousses d’ail, huile d’olive, sel, poivre, origan séché…

 

Ceviche

 

 

 

 

Ce plat originaire du Pérou contient du poisson cru (colin, merlan, saumon, etc.) mariné avec du citron vert, de la coriandre et des oignons. Servi bien frais, il est l’un des hors-d’œuvre les plus fameux de la gastronomie chilienne. On peut même en faire tout un plat, dans tous les sens du terme. D’ailleurs, il est toujours facturé au prix d’un plat… Le ceviche péruvien, que l’on trouve également à la carte des restaurants (surtout dans le Nord), est élaboré à partir d’une marinade.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : cabillaud extra frais, citrons verts, rocoto (ou  Tabasco), oignon rouge coupé en lamelles, feuilles de coriandre, cancha (maïs grillé), sel, poivre, dés de patate douce (préalablement cuite à la vapeur)…

 

 

 Pastel de choclo 

 

 

 

 

 

Le gâteau de maïs est un mets traditionnel argentin, chilien et péruvien fait à base de maïs moulu et de basilic. La pâte ainsi formée est mise sur une préparation de viande, d’oignon, de sel, de poivre et de cumin. Le pastel de choclo est habituellement préparé dans un paila.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :

Pour la farce : boeuf haché, oeufs durs, escalope de poulet, oignon, gousses d’ail, olives noires dénoyautées, huile d’olive, Maïzena, cumin, piment de Cayenne…

Pour la purée de maïs :   maïs, œufs, poivron rouge, lait, beurre, basilic frais, sel, poivre, cassonade…

 

 

 

CHINE

 

 

 

 

La cuisine chinoise est l’une des plus diversifiées au monde, avec une riche histoire qui remonte à plusieurs milliers d’années. Condensé de saveurs complexes, les mots ne parviennent pas si aisément pour retranscrire les goûts que partagent les recettes chinoises. Cuisines du Shandong, de Sichuan, du Guangdong, de Fujian, de Jiangsu, de Zhejiang, de Hunan et de Huizhou : les huit grandes cuisines chinoises sont uniques en termes d’ingrédients, de techniques de cuisson, de présentation. Chacune a sa propre identité culinaire, avec des plats emblématiques qui reflètent la culture, l’histoire et les traditions des régions.

 

La cuisine du Shandong

 

 

 

 

 

Débutons notre voyage à l’Est du pays, sur les anciennes terres de l’État de Qi, direction Shandong. Traditionnelle et raffinée, la cuisine du Shandong, aussi appelée en chinois « lu cai », offre une grande variété de mets, allant de la viande aux fruits de mer, des pâtes aux pâtisseries.

Incontournables : la carpe à la sauce aigre-douce, le poulet braisé de Dezhou, le concombre de mer frit aux poireaux ou encore la soupe aux nids d’hirondelles et le gâteau de boulettes de Weifang.

 

La cuisine du Sichuan

 

 

 

 

L’avantage d’une cuisine variée, c’est sans doute la capacité à combler les désirs de chacun. Amateurs de menus épicés, c’est à votre tour de relever le défi dans cette Chine du Sud-Ouest : la cuisine de Sichuan, ou « chuan cai », offre une expérience culinaire rehaussée de saveurs pimentées, poivrées, douces, aigres-douces et salées. Parmi les spécialités locales, citons le poulet du Kung Pao, le poisson aux aubergines frites, la fondue de Sichuan, le Mapo tofu…

 

La cuisine du Guangdong

 

 

 

 

 

Dans la Chine du Sud-Est, la gastronomie du Guangdong se compose de plats savoureux et raffinés, allant des viandes rôties aux dim sum en passant par le riz et les pâtisseries. Cette cuisine cantonaise est célèbre pour sa légèreté, sa délicatesse, ainsi que pour l’utilisation de produits frais et de haute qualité. Le canard laqué, les dim sum et le porc char siu sont à découvrir absolument.

 

La cuisine du Fujian

 

 

 

 

La province du Fujian est entourée de mer, ce qui explique pourquoi les fruits de mer sont omniprésents dans la cuisine locale, qui se distingue par l’utilisation de fruits de mer frais, de saveurs aigres-douces et d’aliments fumés et séchés. Nouilles à la sauce satay, omelette aux huîtres, canard au gingembre de Nanping, rouleau de poisson de Minhou, tofu puant de Fuzhou… ces préparations mémorables sont à découvrir lors de votre circuit accompagné dans le sud-est de la Chine.

 

La cuisine du Jiangsu

 

 

 

 

Le Jiangsu s’illustre par une grande variété de recettes aussi délicieuses que raffinées, appréciées par les amateurs de cuisine chinoise du monde entier. Des saveurs subtiles, des ingrédients de qualité et une présentation élégante sont les caractéristiques les plus distinctives de ses spécialités régionales : riz frit de Yangzhou, poisson mandarin aigre-doux, côte de porc aigre-douce, brioche farcie à la soupe de porc, nouille Yangchun…

 

La cuisine du Zhejiang

 

 

 

 

 

Si vous cherchez à goûter l’art culinaire chinois dans toute sa diversité, laissez-vous séduire par les plats exquis et délicats du Zhejiang, dont le célèbre « porc Dongpo », préparé en coupant la viande en cubes, cuits lentement dans de la sauce soja, du vin de riz, du sucre et des épices jusqu’à devenir fondants. Il est souvent servi avec du riz gluant ou des légumes.

Les autres spécialités de cette région sont le poulet au thé Longjing, le bœuf mijoté ou encore les succulents raviolis aux crevettes de Ningbo.

 

La cuisine du Hunan

 

 

 

 

La cuisine du Hunan, province montagneuse du sud de la Chine, utilise des ingrédients frais et des épices pour créer des recettes audacieuses et piquantes. Les plats du Hunan sont souvent préparés avec de la viande, du poisson ou des légumes sautés à feu vif pour créer une texture croustillante. Les épices couramment utilisées incluent le piment, le poivre de Sichuan, le gingembre et l’ail. Parmi les plats les plus populaires du Hunan, on trouve le porc fumé sauté, le tofu au sang, le poisson à la vapeur au piment et les travers de porc frits à la sauce piquante.

 

La cuisine de Huizhou

 

 

 

 

La cuisine de Huizhou, aussi connue sous le nom de cuisine Anhui, se distingue par ses notes salées, acidulées et légèrement sucrées, et son utilisation généreuse de l’ail, du gingembre, du vin de riz et du sucre. Elle est également caractérisée par des techniques de cuisson sophistiquées, telles que la cuisson lente, le mijotage et la friture à feu doux, qui permettent de conserver les arômes naturels et de créer des plats aussi riches en texture qu’en saveur.

Parmi les spécialités emblématiques, on peut citer le « tofu poilu », le pigeon braisé de Huangshan, le poisson mandarin ou encore le porc à la vapeur et aux feuilles de lotus.

 

Beignets de magrets de canard croustillant

 

 

 

 

 

Le magret de canard est préparé ici dans une version asiatique sous forme de beignets accompagnés d’une sauce aigre-douce et d’une salade fraiche de mangue. Cette entrée simple et originale est très facile à préparer.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : magrets de canard, œuf, chapelure, beurre, vermicelle chinois, botte de coriandre fraiche, huile de noix, vinaigre de xérès, sauce soja, miel liquide, mangue, gousses d’ail, salade verte, huile de friture, sel fin, poivre du Vietnam…

 

  

Petits pâtés impériaux

 

 

 

Toujours appréciés même par ceux qui ne craquent pas sur la cuisine orientale. Si la préparation est un peu longue, 45 mn, cette recette ne présenta aucune difficulté et est très économique. Préparez ces nems vous-mêmes pour un dîner exotique.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : poitrine de porc, crevettes roses, boite de miettes de crabe, carottes, sachet de vermicelle chinois, oignons, champignons noirs, bouquet de coriandre, œufs, sauce nuoc-mâm, sauce huître, boite de galettes de riz, huile d’arachide, sel fin, poivre du moulin…

 

 

Ravioles chinoises au poisson

 

 

 

 

Toutes blanches les ravioles chinoises sont délicieuses. La farce au poisson subtilement épicée qui les remplissent est savoureuse et faciles à faire. Vous les accompagnerez d’une sauce à la coriandre fraîche.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :

Pour la pâte à ravioles : farine, sel, eau tiède…

Pour la farce : pommes de terre, filet de poisson, poudre de curry, petit oignon, gousses d’ail, coriandre fraîche, huile d’olive…

Pour la sauce : coriandre fraîche, gousses d’ail, huile d’olive…

 

Ravioles de crabes aux fèves

 

 

 

 

 

Des belles ravioles chinoises cuites à la vapeur et nappées d’une sauce homard. Séduisant, n’est-ce pas ? Cuisinez-les il vous faudra 20 mn plus 5 mn de cuisson avec du crabe royal en boite et des fèves congelées.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : paquet de pâtes à raviolis chinoises, grosse boite de crabe royal, fèves épluchées fraîches ou congelées, boite de bisque de homard, bouquet d’estragon, citron, sel fin, poivre du Vietnam…

 

 

 

Salade chinoise au chou, ramen, fruits à coque

 

 

 

 

 

Une salade complète, compatible avec un régime végétalien en l’honneur de la fête nationale en Chine. Une sauce au soja, des nouilles ramen, des cacahuètes et graines de sésame croquants, du chou chinois émincé et des oignons verts hachés.  

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :

Pour la sauce : huile végétale, sucre en poudre, vinaigre de vin, cas de sauce soja

Pour la salade: paquets de nouilles ramen, sans les sachets aromatiques, poivron orange lavé, émincé, oignons verts, lavés, émincés, chou chinois lavé, émincé, cacahuètes grillées à sec, concassées, graines de sésame grillées…

 

 

 

 COREE DU SUD

 

 

 

 

 

Le Pays du matin calme se situe, en effet, à l’exacte confluence entre l’immense Chine et le puissant Japon.

Géographiquement, historiquement, philosophiquement, économiquement, religieusement, artistiquement, militairement la Corée a toujours représenté le creuset idéal où se mélangent l’essence subtile et la substance grossière de ses deux proches voisins, ceci au gré du courant, flux ou reflux, animant les relations complexes entre les deux géants.

Sachant cela la Corée revendique fortement son identité unique même et surtout, si à l’instar du Yin et Yang présents jusque sur le drapeau, il existe toujours deux Corées se situant l’une et l’autre aux antipodes géopolitiques et économiques. La Corée n’aime pas recevoir de leçon et aime à faire remarquer que le Pays du matin calme était depuis longtemps déjà un royaume prospère alors que son voisin du Soleil levant émergeait à peine de la barbarie primitive.

Le Bouddhisme fut coréen bien avant de devenir nippon…de même que l’écriture par idéogrammes. Mais il demeure vrai que si un lettré coréen peut sans le moindre problème lire les classiques chinois et japonais, l’inverse n’est pas vrai car un lettré chinois ou japonais sera dans l’incapacité totale de lire le coréen. Dans ce contexte spécifique, la cuisine coréenne, si elle semble, plonger ses racines dans les antiques traditions culinaires de la Chine et du Japon, se particularise dans une identité à nulle autre pareille. On la décrit, en effet, à la fois comme élaborée et complexe, à l’instar de la Chine, et subtile et dépouillée comme issue du Japon.

En réalité, la cuisine coréenne revendique son origine mongole venue des grandes steppes de l’Asie centrale…adaptée à la grande richesse des multiples produits, particulièrement maritimes, de la péninsule montagneuse située entre la mer de Chine et la mer du Japon. Il s’agit donc initialement d’une cuisine particulièrement barbare, venue du fond des âges, mais qui a su peu à peu se domestiquer, presque se polir, au contact d’une civilisation de lettrés subtils et mesurés dont Confucius et son principe du juste milieu demeure le modèle idéal.

En cuisine ce  » juste milieu  » consiste donc à rechercher l’harmonie entre le brutal et le subtil, le naturel et l’élaboré, le simple et le complexe. Il est, par exemple, significatif que de nombreux plats se préparent en cuisine mais terminent leur cuisson à table.

Nulle part ailleurs qu’en Corée il n’existe une telle variété d’instruments de cuisson permettant aux convives de parfaire ce que le cuisinier a pourtant élaboré dans les règles de l’art…pierres chauffées, plaques de fonte, tôles rougies, caquelons, marmites, cocottes, diables, récipients d’aluminium, de laiton, de cuivre, d’argent comportant un fourneau se retrouvent au centre des festivités. Chacun fait donc rôtir, bouillir, sauter, étuver, ébouillanter, saisir, braiser, tremper, frémir, frire ses aliments préférés. Viandes diverses, abats, poissons, fruits de mer, légumes, pâtes multiples, algues sont mis à contribution.

Banchan

 

 

 

Le banchan  parfois écrit dans une autre romanisation : panch’an, est un plat d’accompagnement de la cuisine coréenne, servi dans de petits contenants et placé au centre de la table1. Il en existe de nombreuses sortes, et l’on en sert généralement au moins quatre ou cinq différents pour accompagner les plats.

 

Les principaux types de banchan :

Gamja jorim

 

 

 

 

 

Le jorim est un ensemble de plats mijotés dans un bouillon assaisonné.

Le gamja jorim Coréen est normalement un plat d’accompagnement, mais il est également délicieux servi avec du riz, pour les jours où vous avez besoin d’une double dose de glucides. Les petites pommes de terre nouvelles et entières sont frites pour qu’elles aient une peau bien croustillante, puis elles sont mijotées dans une sauce sucrée, salée jusqu’à ce qu’elles soient complètement cuites. Si vous le pouvez, essayez d’utiliser des pommes de terre de taille similaire afin qu’elles puissent cuire de manière uniforme.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : pommes de terre nouvelles, huile végétale, mirin, sauce soja, sucre roux, eau, huile de sésame, miel, graines de sésame…

 

Gimchi

 

 

 

 

 

Le gimchi  souvent orthographié kimchi), est un ensemble de plats à base de végétaux fermentés, généralement du chou chinois, assaisonnés avec des piments et du sel. C’est le banchan essentiel d’un repas coréen. Certains Coréens ne considèrent pas un repas complet sans gimchi. Les gimchis peuvent être faits avec d’autres types de végétaux, tels que la ciboulette, de la moutarde brune,  ou des radis chinois.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : chou chinois pe-tsaï, radis blanc daïkon, carotte, oignon, gousses d’ail, gingembre, cébettes, farine de riz gluant,  eau, sel marin sans additif, sauce de poisson gochugaru, poudre de piment coréen…

 

Gyeran Jjim

 

 

 

 

 

Le gyeran jjim est un plat très populaire en Corée. Les œufs sont cuits à l’étouffée et assaisonnés de sauce à la crevette (sauejeot), de sésame, de légumes, etc.

Il n’est pas sans rappeler le Chawanmushi japonais.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : œufs, algue kombu, eau bouillante, soupe de sauce poisson, ou sauce soja, sel…

 

Jeon

 

 

 

 

Le jeon est le nom d’un ensemble de plats à base de galettes. Buchimgae est un synonyme proche.

Septembre marque le début de l’automne. La température descend, le vent se lève, les couleurs changent et la pluie s’installe. Et vous savez ce que les coréens aiment manger lorsqu’il pleut ? Les bindaetteok ou les pajeon ! D’après eux, le bruit de la pluie rappellerait le grésillement de l’huile sur la poêle !

Le jeon est cuisiné durant la célébration de Chuseok, mais aussi n’importe quand dans l’année.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :

Pour la crêpe : farine, sel, bicarbonate, ail moulu, poivre, gingembre…

Poor la garniture : ciboules, poivron, crevettes ou fruits de mer, huile végétale…

Pour la sauce : soja, eau, graines de sésames torréfiées, vinaigre de riz,  copeaux de piments…

 

 

 

 

Gimbap / Kimbap

 

 

 

 

 

En voyant des Gimbap, on pourrait très rapidement les assimiler à des sushis ou des makis. Et pourtant, si l’idée de base est semblable, la recette coréenne diffère de la japonaise. Le riz blanc est différent, l’algue utilisée est différente et l’huile de sésame est présente dans cette recette et pas dans l’autre. Au niveau des ingrédients, on est loin du poisson omniprésent côté japonais. Ici, on retrouve des légumes marinés carottes ou concombres, des œufs, du crabe ou même des morceaux de viande. Les Gimbap sont prédécoupés pour être dégustés facilement à la main durant les pique-niques. 

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : riz, feuilles d’algues séchées, carotte, bœuf, œufs, surimis, concombre, épinards, sucre, sauce soja (ganjang), gousse d’ail pelée et hachée, sel, huile de sésame (chamgireum), gousse d’ail pelée et hachée…

 

 

Haemul Pajeon

 

 

 

 

 

Impossible de passer à côté du Pajeon, sans doute l’un des plats préférés de nombreux amoureux de la Corée du Sud. Il s’agit d’une grande galette composée généralement de légumes et de fruits de mer. On le surnomme souvent le pancake coréen. Pour le préparer, rien de plus facile ! De la farine de blé ou de riz, des œufs, des oignons verts, de la ciboule et des fruits de mer ! On peut au choix y mettre des crevettes, des huîtres, des palourdes, des calamars, des moules… On trouve également très souvent des morceaux de Kimchi, le fameux chou fermenté coréen très épicé, à l’intérieur des Pajeons. Ce plat se déguste un peu partout à l’apéro. Il est coutume de déchirer la galette et de la tremper dans une sauce soja avant de la déguster. C’est simple, c’est bon, on en veut encore !

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont 

Pour la galette : eau, fruits de mer mélangés (crevettes, anneaux ou morceaux de calamars, moules), mélange de farine de blé ordinaire et de farine de riz, amidon de maïs ou de fécule de pomme de terre ou de farine de riz, oeuf entier, échalote émincée, sauce nuoc-mâm, ciboulette ciselée, gingembre frais en tout petits dés, feuilles de coriandres ciselée, huile végétale assez neutre…
Pour la sauce : sauce soja, vinaigre de riz, gousse d’ail coupée en très petits morceaux, sucre, sauce nuoc-mâm,  piment oiseau émietté…

 

 

Japchae

 

 

 

 

 

Des nouilles à la patate douce, vous connaissez ? Autrefois réservé aux rois, ce repas est aujourd’hui prisé de tous les coréens et généralement servi lors des fêtes. Les nouilles de patate douce (Dangmyon) sont longues et translucides et se mêlent à des dizaines d’autres ingrédients comme des champignons Shiitake, de la viande, des carottes, des épinards, .. Ces nouilles ne sont pas servies en bouillon, mais il s’agit néanmoins d’un plat en sauce. Et c’est cette sauce au soja et à l’huile de sésame qui fait toute la saveur du met traditionnel. Consommé au choix chaud ou froid, on sert le Japchae lors des mariages ou des anniversaires.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :

Pour la sauce : sauce soja, huile de sésame, sucre…
Pour les ingrédients : oeuf, carotte, poivron rouge, champignons noirs réhydratés, dangmyeons nouilles transparentes de patates douces…

 

 

Ojingeo-Bokkeum (calamars piquants à la coréenne)

 

 

 

 

 

 

Les calamars piquants à la coréenne (ou Ojingeo-Bokkeum pour les intimes) est un des incontournables de la cuisine coréenne. Il s’agit d’un plat au goût unique et à l’équilibre remarquable (épicé certes, mais largement supportable pour la majorité des palais). Le gochujang (condiment coréen fermenté à base de piments rouges) se trouve la plupart du temps en supermarché ou dans les magasins d’alimentation dédiés à la cuisine asiatique. Il est plus difficile de trouver les flocons de piments séchés gochugaru.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : calamar, carotte, oignon jaune, courgette, piment vert, piment rouge, oignons cébette, huile d’olive, huile de sésame…

Pour la marinade : Gochujang (condiment coréen piquant à base de piments rouges), Gochugaru (flocons de piments séchés), sauce soja, sucre, gousses d’ail hachées, graines de sésame, poivre…

 

 

 Sigeumchi namul

 

 

 

 

Le namul se réfère à des végétaux à la vapeur, marinés ou sautés, généralement assaisonnés avec de l’huile de sésame, du sel, du vinaigre, de l’ail émincé, de l’oignon en tranche, des piments séchés et de la sauce soja.

Le  sigeumchi namul  est un plat d’accompagnement coréen à base d’épinard, très facile à réaliser. « Namul » est le terme général qui désigne un plat de légumes assaisonnés, et « sigeumchi » signifie « épinards » en coréen.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : pousses d’épinards nettoyés et lavés, gousse d’ail émincée, vert d’oignon ciselé ou une ciboule,  sauce soja, graines de sésame grillées…

 

 

Tteokbokki

 

 

 

 

 

Si vous ne connaissez pas encore le tteokbokki, c’est le moment où jamais de découvrir ce hors d’oeuvre coréen à base de gâteaux de riz, les tteok, et de sauce pimentée appelée gochujang.

Différents ingrédients peuvent venir agrémenter ce mets tels que les fruits de mer, la viande et les légumes. En Corée du sud, le tteokbokki est vendu principalement par les pojangmacha, des vendeurs de rue ambulants ou fixes.

C’est un plat peu cher, populaire, présent dans les souvenirs de beaucoup de coréens dans la soixantaine. Les jeunes générations en raffolent également, notamment à l’époque du lycée.

Il existe de nos jours des restaurants de Tteokbokki, mais traditionnellement c’est un snack de rue. Les stands de street food coréennes traditionnels les proposent à côté de fritures, de gâteaux de poisson cuits dans du bouillon  et parfois du Sundae, le boudin coréen.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : tteok tubulaires (pâtisserie coréenne faite de farine de riz gluant, cuit à la vapeur. ), poudre de piment rouge fine (Gochugaru), pâte de piment rouge (Gochujang), oligosaccharides – fructose (oligodang), sauce soja : oignon, ciboule, oeufs durs, eau…

 

 

 

 

ESPAGNE

 

 

 

 

 

L’Espagne est un véritable paradis pour tous les amoureux de la cuisine, non seulement pour sa quantité incroyable de produits frais et de restaurants étoilés au Guide Michelin, mais aussi pour la notion de partage. En effet, qui ne connaît pas (et n’adore pas) les célèbres tapas espagnols

 

Buoquerones fritos

 

 

 

 

 

Les anchois frits rencontreront à coup sûr un véritable succès dès qu’ils seront posés sur la table. Ils peuvent être mangés d’un coup, étant donné que les arêtes de ce poisson sont minuscules. Essayez cette recette à la maison.

 

 

Boquerones en vinagre

 

 

 

 

Rien de plus typique pendant l’été en Espagne qu’une assiette d’anchois marinés au vinaigre servie avec une bière bien fraîche. Du nord au sud, ces petits poissons sont comme une friandise commune servie dans tous les bars à tapas du pays.

Ces succulents anchois sont marinés dans du vinaigre – ou un mélange de vinaigre et huile d’olive – puis assaisonnés avec de l’ail et du persil.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : anchois étripés et congelés à l’avance, vinaigre blanc, eau, sel, huile d’olive, gousses d’ail et du persil pour décorer…

 

Croquetas de Jamon

 

 

 

 

Á déguster ces croquettes au jambon tant qu’elles sont encore chaudes… Elles fondent dans la bouche !

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : jambon cru (serrano) haché, oignon, huile d’olive, farine, sel, muscade, lait, beurre…

 

 

Empanadillas

 

 

 

 

De bonnes petites bouchées individuelles.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : tomates, gros poivron rouge, gousse d’ail dégermée, œuf dur, boîte de miettes de thon égouttée, huile d’olive, sel, sucre, poivre, thym séché…

 Pour la pâte : bière, huile d’arachide, farine, sel…

 

 

 

Gambas al ajillo

 

 

 

 

 

 De bonnes crevettes cuisinées dans une riche sauce au beurre et à l’ail… Miam !

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : crevettes décortiquées, gousses d’ail pelées et effilées, piments de Cayenne coupés en deux, huile d’olive, sel, persil haché…

 

 

Patatas bravas

 

 

 

 

 Il s’agit donc de pommes de terre rissolées, recouvertes d’une sauce plus ou moins relevée, cela dépend de qui la prépare. Car, comme beaucoup de plats populaires, chacun a sa recette, qu’il garde secrètement…

De petits cubes de pommes de terres croustillants recouverts d’une sauce piquante à la tomate… Qui peut résister ?

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : belles pommes de terre, oignon, gousses d’ail, piment d’Espelette, paprika, purée de tomates fraiches, fécule de maïs, vinaigre de cidre, huile d’olive, sel, sucre, eau…

 

 

Pimientos de Padrón

 

 

 

 Le pimiento de Padrón (ou piment / poivron de Padrón) est une variété de piment espagnol (Capsicum annuun) bénéficiant d’une Appellation d’Origine Protégée (AOP – Pemento de Herbon, variété Padron).  Sa culture a démarré en Galice au XVIIe siècle. Ses graines avaient été rapportées par les moines Franciscains au couvent de Herbón, une ville appartenant à la municipalité de Padrón. Ils les avaient ramenés de l’État mexicain de Tabasco.

 Depuis lors, ils sont cultivés dans la région. Il s’agit de petits piments verts frits dans l’huile d’olive et saupoudrés de cristaux de sal… Irrésistible.

 

 

Pulpo a la gallega

 

 

 

 Le pulpo a la gallega – recette de poulpe – est typique de la Galice depuis bien longtemps puisque dans cette région du Nord de l’Espagne, la consommation du poulpe remonte à de nombreux siècles dont on ne pourrait savoir la date exacte ! Le poulpe était une des rares espèces à être transportées des côtes à l’intérieur des terres.

Ce poulpe traditionnel de Galice est la star des bars tapas. Il s’agit d’un poulpe cuit et snaké, servi dans une sauce au paprika.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : poulpe, pommes de terre, paprika, paprika épicé, oignon, sel, huile d’olive…

  

 

Tortilla española

 

 

 

 

La tortilla de patatas est une variante d’omelette, épaisse, cuite des deux côtés et garnie de pommes de terre typiquement espagnole. 

La tortilla espagnole est la pierre angulaire des tapas. Il s’agit d’onctueux morceaux de pommes de terre cuits dans un mélange d’œufs.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : œufs, pommes de terre, oignon, huile d’olive, sel…

 

ETATS UNIS D’AMERIQUE

 

 

 

 

 

Les Etats-Unis sont connus pour leurs recettes bien grassouillettes, qui nous mettent l’eau à la bouche rien que d’y penser. De quoi ravir les convives affamés qui, au moment de l’apéritif, n’ont pas seulement envie de trinquer.

Quels amuse-bouches servir pour une thématique outre-Atlantique ? Des mini burgers au coleslaw of course, une salade de bœuf, carottes et pickles en verrines, des nuggets de dinde aux cacahuètes épicées, des beignets d’oignons (les fameux onion rings), des boulettes de macaroni & cheese, un pain de viande (le célèbre meatloaf), des muffins au bacon et au cheddar, des sandwichs au pastrami de boeuf, des wraps poulet sauce ranch, des bagels au saumon et crème de tomates…  

 

Beignets de maïs

 

 

 

 

Directement venue des USA, cette recette traditionnelle est délicieuse et aisée à cuisiner. Vous pouvez les servir en accompagnement de viande.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : épis de maïs frais, œufs, farine, sel, poivre du moulin, huile…

 

 

Coleslaw traditionnel

 

 

 

 

La salade de chou, salade de chou à l’américaine ou encore salade de chou cru est une salade populaire en Amérique du Nord, consistant principalement en chou cru râpé. Elle inclut communément aussi des carottes râpées et des oignons, et peut être agrémentée d’une vinaigrette ou encore d’une sauce grasse.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : chou blanc, petites carottes, petit oignon, mayonnaise, fromage blanc battu (à 40% de MG), graines de carvi, jus de citron, sucre semoule, sel et poivre du moulin, raisins secs…

 

 

Croquettes de crabe à l’Américaine

 

 

 

 

Servir bien chaudes avec une sauce tartare

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : chair de crabe, oignon, huile d’olive, gousse d’ail, bouquet de ciboulette, œuf, mayonnaise, pain de mie rassis, sel,  poivre du moulin…

  

 

Meatloaf ou pain de viande

 

 

 

 

Aux États-Unis, le pain de viande ou rôti haché est une préparation culinaire à base de viande. Ce mets est constitué d’un mélange de viande hachée, de mie de pain trempée dans du lait, d’oignons, d’œuf et de diverses épices, cuit au four ou en marmite.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : steaks hachés, œufs, ketchup, gros oignon finement haché, chapelure, tabasco, sel et poivre…

 

 

Oeufs Bénédict à l’américaine

 

 

 

 

Les œufs Bénédicte, de l’anglais eggs Benedict, appelés œufs bénédictine au Québec, sont une spécialité américaine à base d’œufs composée de moitiés de muffin anglais grillées, recouvertes d’une tranche de bacon frit, d’un œuf poché, et nappées de sauce hollandaise. C’est un classique du brunch américain

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : muffins, œufs, fines tranches de lard fumé, vinaigre d’alcool, gros sel…

La sauce hollandaise : jaunes d’œufs, beurre, jus de citron, sel…

 

 

Pain de maïs américain

 

 

 

 

Ce pain est un vrai délice.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : beurre, semoule de maïs, farine de blé, levure chimique, sel, beurre, lait, œuf…

 

 

Salade César

 

 

 

 

Sur la carte de tous les bons restaurants des Etats-Unis, la salade César est un délice.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :      coeurs de laitue romaine, tranches de pain, huile de pépins de raisin, gousses d’ail, œufs, huile d’olive, jus de citron, parmesan, filets d’anchois, sel fin, poivre du moulin

 

 

Salade Cobb

 

 

 

 

La fameuse salade californienne aux avocats, poulet, tomates et oeufs durs, une salade repas à base de poulet, lardons, œufs, tomates et avocats qui nous vient directement de Californie. Elle constitue un plat complet à servir pour un déjeuner des plus gourmands.

Quel délice que d’associer poulets, avocats et fromage bleu dans une magnifique salade.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : sucrines, œufs, lardons, fromage bleu, blancs de poulet, tomates, avocat, filet de jus de citron, oignon rouge, brins de cerfeuil…

 

 

INDONESIE

 

 

 

 

Comme partout ailleurs en Indonésie, le poulet et le poisson figurent à tous les menus. Mais sur cette terre hindoue qu’est Bali, le porc et le canard l’emportent. Pas une fête qui ne soit célébrée sans le volatile ou le cochon qui sont alors mis à cuire au feu de bois pendant des heures.

Bien que chaque île composant l’archipel indonésien (et on vous rappelle qu’il y en a plus de 6000 habitées) propose ses propres spécialités.

 

 

 

Bakso

 

 

 

 

 

Le bakso, ou soupe de boulettes est une soupe indonésienne typique des restos ambulants. Vous pouvez la préparer avec du bœuf, du poulet ou du poisson.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   viande de boeuf, de poulet ou de poisson blanc, gousses d’ail, farine, bouillon de boeuf, de poulet ou de poisson, branche de céleri, sucre, sel, poivre, harissa, vermicelles chinois, oignon frit, tofu coupé en dés…

 

 

Cap cai

 

 

 

 

Le cap cai est une sorte de chop suey, mélange de légumes généralement non pimentés.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :      chou chinous, chou vert frisé, oignon moyen, petites escalopes de poulet, carottes, huile de tournesol, bouillon de volaille bio, sauce nuoc-mâm, coriandre fraîche, sel, poivre, graines de sésame, riz basmati ou thaï…


 

Gado Gado

 

 

 

 

Gado Gado est une salade de légumes accompagnée d’une sauce aux cacahuètes. Cette salade de légumes cuits et pousses de soja, parfois très épicée, accompagnée d’une sauce aux cacahuètes. Le délice des végétariens.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :

Pour la sauce : beurre de cacahuète, sucre de palme, petit piment rouge, gousse d’ail, citron vert, sauce soja, huile d’olive, sauce poisson, pâte de tamarin…

Pour la salade : tofu, carottes, tomates, pommes de terre, germes de soja, épinards, salade au choix, crackers, œufs, concombre, huile de sésame, poivre, sel…

 

 

 

 

Krupuk

 

 

 

 

 

En Indonésie, le terme « kerupuk » ou « krupuk » fait référence à un type d’amuse-gueules de taille relativement grande. Par opposition au terme « kripik » qui renvoie à des amuse-gueules de plus petite taille. Les krupuks sont en Indonésie l’équivalent des chips dans la cuisine occidentale. Ainsi, les chips aux pommes de terre portent le nom « kripik kentang » en Indonésie. Les sonorités de deux termes « krupuk » et « kripik » font allusion au caractère croquant et croustillant de ces chips. Les krupuks sont très populaires dans toute la région de l’Asie du Sud-Est. C’est le cas par exemple en Indonésie, en Malaisie, au sud de la Chine ou encore au Vietnam. Les krupuks peuvent être orthographiés « keropok », « kropek » ou « kroepoek » selon le pays d’adoption. Il en existe un grand nombre de variétés. Cependant, en Europe, les plus connus restent les krupuks aux crevettes.

 

Nasi campur

 

 

 

 

 

Le Nasi campur, c’est une assiette de dégustation des principales spécialités indonésiennes. Le plat est toujours très copieux.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : riz basmati, escalopes de poulet, carotte, brocoli,  branches céleri-branche, échalote, gousse  d’ail, galanga en poudre, gingembre en poudre, piment doux, poivre, sauce nuoc nam, sauce tamarin, ketchup, huile de sésame, huile de coco, œufs…

 

 

 

Nasi Goreng

 

 

 

Nasi Goreng : riz frit, généralement servi avec un œuf au plat, le plat emblématique de l’archipel, qui se décline en “mie goreng” avec des nouilles à la place du riz. Vous pouvez par ailleurs retenir que goreng veut dire “frit” ce qui vous aidera à savoir comment sont préparés les plats.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : riz cuit basmati, sauce soja sucrée, ketchup ou de concentré de tomates, saucisse, crevettes, poulet, tofu, omelette, houx chinois, pousses d’épinards, carottes, pak choï, huile de tournesol, échalotes, gousses d’ail, piment, sel et poivre…

 

 

 

Salade Urab ou Urap javanaise

 

 

 

 

 

 

Le Urab ou Urap est une salade d’origine javanaise, est un plat traditionnel en Indonésie qui est originaire de Bali. C’est une cuisine régionale typique de l’Indonésie. Elle se compose d’un mélange de légumes cuits assaisonnés de noix de coco.

Cette salade peut être composée de légumes comme des épinards, des feuilles de manioc, des haricots verts…D’autres légumes peuvent être rajoutés à la recette, tels que les germes d’haricots mungo ou le chou qui sont des aliments que l’on retrouve souvent dans la salade “Urap”.

 Ces aliments sont couramment utilisés pour promettre un goût magique à la population et aux touristes qui sont sans cesse en quête de nouveautés. Pour parfaire vos papilles gustatives, nous vous proposons de consommer votre salade accompagnée de la sauce noix de coco râpé, de sucre de palme et d’assaisonnement à base de pâte de piments ou alors accompagnée de la pâte de tamarin.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : légumes de saison au choix : haricots verts, épinards, chou blanc, kale, concombre, carottes, graines germées…

Urap : échalotes, gousses d’ail, petits piments rouges forts, pulpe de tamarin (ou son jus), morceau de galanga, eau, sucre de coco, sel, noix de coco râpée…

 

 

 

Satay ou saté

 

 

 

 

Traditionnellement, le terme saté ou satay désigne un plat de brochettes de viandes (agneau, bœuf, porc, poulet, lapin…) marinées et assaisonnées avec une sauce aux épices saté, lui donnant un goût parfumé et exotique. En général, on grille la viande au feu de bois comme dans un barbecue ou dans des tandoors.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :

 poulet, cacahuètes, miel, cumin, graines de coriandre, curcuma, gingembre, tiges de citronnelle, piments, gousses d’ail, échalotes, oignon, sucre brun, sel, huile…

 

Sate ayam

 

 

 

 

Si vous trouvez les brochettes à la carte de nombreux restaurants, c’est sur les marchés de nuit qu’il faut les déguster. Gourmet Sate House

La brochette de poulet est le plat phare de la cuisine indonésienne. De fines lamelles de poulet sont mises à mariner dans un mélange de gingembre, de curcuma, de citronnelle et d’huile pour fixer les saveurs. Elles sont ensuite cuites au charbon de bois et servies avec une sauce à base de cacahuètes et de lait de coco. Si vous trouvez les brochettes à la carte de nombreux restaurants, c’est sur les marchés de nuit qu’il faut les déguster. Un bon sate ayam doit être moelleux, caramélisé et légèrement pimenté.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   poulet désossé (les hauts de cuisse sont idéaux),  gousses d’ail haché, ketjap manis (sauce soja sucrée est une sauce soja aromatique sucrée, originaire d’Indonésie, qui a une couleur plus foncée, une consistance sirupeuse visqueuse et une saveur de mélasse en raison de l’ajout généreux de sucre de palme ou de jaggery. Kecap manis est largement utilisé avec le satay), sambal oelek, épices à satay, moulues…

 

 

 

Sat Lilit

 

 

 

 

 

Les Sat Lilit (enroulé) sont des variantes du Satay qui sont des brochettes de viandes aromatisées aux épices. On retrouve souvent les Sat Lilit à la viande de poulet ou de porc enroulée autour de bâtons de bambou.

Une variante du Sat Lilit, qui reprend les bases de la recette principale. On en retrouve partout sur l’île, la tendresse de ces viandes est très réputée et est très populaire !

Les sates sont habituellement à base de viande marinée (porc, poulet, bœuf, agneau, crevettes) qui est tranchée très finement et filetée sur les brochettes. Les balinais mangent généralement les sates dans un warung ou ils les achètent à des vendeurs ambulants qui se spécialisent dans le poulet ou l’agneau. Sate Lilit est la spécialité de Bali, généralement préparée pour les cérémonies. Lilit signifie enrouler autour. L’astuce avec les sates Lilit est de faire un mélange, mais pas pâteux pour faciliter l’enroulement de la viande autour de la brochette. Dans les cérémonies, le nombre de bâtonnets peut représenter la position dans la société : plus le nombre de brochettes est élevé (pas moins de onze pour un prêtre), plus le grade est important.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : porc, de poulet ou de canard, tiges de citronnelle, sel, sucre de palme, lait de coco, base gede ( pâte d’épices de base utilisée dans de nombreux plats balinais : gros piment rouge coupé en deux, épépiné et haché, ail pelé et haché, gingembre pelé et haché, échalote pelée et hachée, laos pelé et haché, racine de kencur pelée et hachée, curcuma frais, pelé et haché, pâte de crevettes séchées, rôties, graines de coriandre concassées, noix de bougie, poivre noir maïs écrasé, muscade fraîchement râpée, clous de girofle, huile de coco, eau, sel…

 

 

 

 IRAN

 

 

 

 

 

L’Iran étant un pays vaste et bénéficiant de climats divers, chaque région possède ses propres styles culinaires et ainsi ses propres plats. En parcourant le pays, vous découvrez donc toutes les traditions culinaires.

Les recettes iraniennes peuvent être riches ou légères, elles peuvent satisfaire tous les goûts. Tous vos sens sont sollicités, tout le monde peut s’y retrouver dans cette cuisine. En effet, les recettes iraniennes sont adaptées à tout type de régime alimentaire, vegan, végétarien, flexitarien et végétalien.

La cuisine iranienne est une cuisine raffinée, de très grande qualité et d’une grande variété. Les Iraniens utilisent des ingrédients pour rehausser les plats, notamment le safran qui est très utilisé dans la cuisine iranienne.

Nous vous présentons ci-dessous les plats typiques d’Iran, avec des entrées, différents plats principaux et desserts. Vous pourrez composer vous-mêmes un menu complet iranien !

 

 

Concombre au yaourt iranien ou dough

 

 

 

 

 

Vous ne pouvez pas voyager en Iran sans avoir goûté au dough !

 Le dough ou le concombre au yaourt est une boisson fraîche qui peut très bien être servie comme entrée pour accompagner des plats.

On retrouve également plusieurs versions de ce dough au Moyen-Orient. Dans la recette iranienne, on y ajoute du lait, des plantes séchées comme la menthe, du sel et parfois même du poivre.

 

Koukou Sabzi

 

 

 

 

 

Le koukou sabzi est une entrée emblématique de la cuisine iranienne !

On peut comparer ce plat à une omelette mais ce qui caractérise le koukou sabzi, ce sont les herbes fraîches qui le composent. En effet, ce plat est très riche en persil, coriandre, aneth et ciboulette hachée, d’où sa couleur verte vive !

Les saveurs et les odeurs sont donc amplifiées ! Aussi, vous pouvez adapter la recette de ce plat iranien selon les goûts de chacun. On retrouve en effet, le koukou au poulet, ou aux aubergines ou avec des pommes de terre.

 

Salade Shirazi

 

 

 

 

 

 

La salade Shirazi est la salade typique de la ville de Shiraz, d’où le nom.

Elle a été cependant adoptée partout dans le pays car c’est une entrée facile à réaliser. De plus, cette entrée ne prend que très peu de temps à cuisiner.

Très consommée en été comme seul repas car très fraîche, cette salade peut également être réalisée toute l’année.  Elle peut également être servie en accompagnement de viande et de riz.

Dans cette salade, on retrouve du concombre, de la tomate, de l’oignon, de l’huile d’olive, de la menthe hachée, du persil, de l’aneth et des épices comme le sumac pour l’assaisonner.

Torchi

 

 

 

 

 

Le torchi est un condiment de légumes marinés au vinaigre dans la cuisine iranienne, qui est mangé avec tous les plats. Il est appelé turşu dans la cuisine azerbaïdjanaise et dans la cuisine turque, туршия (turšija) dans la cuisine bulgare, où il est traditionnellement servi comme hors-d’œuvre avec de la rakija (il existe différents types de légumes marinés en Bulgarie, mais les plus appréciés sont les tsarska

Il existe en Tunisie une variante du mets, préparée sans sucre et avec de l’huile d’olive et de l’harissa, qui garde le nom de torchi, généralement servie en entrée ou en amuse-gueule, en tant que kémia.

Les tsarska tourchiya sont préparés à partir de chou-fleur, piment, carotte et céleri. Les légumes doivent reposer dans un mélange de sel et de sucre toute une nuit. Le jus est ensuite mélangé à du vinaigre et porté à ébullition pendant quelques minutes. Les légumes sont placés dans de grands pots de verre et écrasés à l’aide de branchettes de cerisier et d’une pierre plate. On remplit finalement les pots d’une marinade froide.

 

 

 

ISRAËL

 

 

 

 

 

 

Il n’y a pas une cuisine israélienne. Le paysage culinaire d‘Israël est incroyablement varié et, dans ce pays d’immigration, on vante comme plat national aussi bien l’houmous que les falafels, les escalopes panées que la shakshuka. On retrouve dans les recettes israéliennes des influences tant françaises qu’iraquiennes, marocaines ou est-européennes.  La clé de voûte  est le choix des épices. Pour vraiment comprendre leur importance dans la cuisine israélienne, il suffit d’aller faire un tour dans l’un des marchés qui existent dans la plupart des grandes villes. On y trouve pratiquement tout et de nombreux chefs composent maintenant leurs menus en fonction des produits qu’ils achètent au jour le jour. Il faut s’imaginer l’Europe, l’Afrique et l’Asie qui s’entrechoquent et se mélangent dans les assiettes israéliennes afin de donner une cuisine hors du commun, que l’on ne retrouve nulle part ailleurs. On y rencontre à la fois des influences aux géographies multiples, allant de plats aux accents européens (de l’Italie jusqu’à la Russie, en passant par des saveurs d’Europe de l’Est ou encore française) jusqu’à des goûts typiquement africains, notamment par l’intermédiaire de la cuisine éthiopienne, sans oublier évidemment les emprunts du Moyen-Orient ou du Maghreb. Ainsi, l’incroyable diversité de population que regroupe ce tout petit pays en fait sans aucun doute sa singularité car la cuisine israélienne est bel et bien une alchimie culinaire, qui finit par former un tout unique !

 

Avocats farcis à la salade Waldorf

 

 

 

 

 

  Cet assortiment avocats-salade Waldorf fera un hors-d’œuvre très appétissant.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : avocats murs coupés en dés, branches de céleris émincées finement, pomme verte coupée en dés, concombre coupé en dés, noix de pécans grillés, jus de citron, sel, poivre…

 

Fallafel

 

 

 

 

 

Même si ces beignets de pois chiches riches en protéines sont répertoriés comme l’un des plats nationaux d’Israël et constituent un aliment de base dans de nombreux pays du Moyen-Orient, notamment en Palestine et au Liban, il est souvent suggéré que les falafels pourraient avoir évolué à partir du plat égyptien connu sous le nom de taameya. Dans les années 1950, pour gagner leur vie, les immigrants yéménites en Israël ont commencé à fabriquer des falafels dans les rues, les vendant emballés dans du papier, ce qui a finalement transformé ce plat ancien en une des premières formes de restauration rapide israélienne et a facilité sa reconnaissance mondiale.

Comme alternative à la version israélienne, le taameya égyptien utilise des fèves au lieu des pois chiches, tandis que le mélange est généralement aromatisé au persil, à la coriandre, au cumin et aux oignons. Aujourd’hui, tant en Israël que dans d’autres pays du Moyen-Orient, les beignets de fallafel sont le plus souvent dégustés dans des sandwichs au pain plat pita ou lafa, garnis de légumes frais ou marinés et enrobés de pâte de houmous, de trempette au tahini ou d’une sauce au yaourt piquante à l’ail.  

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   farine, pois chiches, fèves, persil, coriandre, cumin, oignon, ail…

 

 

Hoummous

 

 

 

 

 

Cette pâte à tartiner de couleur beige de renommée internationale est traditionnellement préparée avec de la purée de pois chiches, de la pâte de sésame tahini, du jus de citron et de l’ail. Les gens du monde entier aiment l’houmous pour sa saveur piquante et le fait qu’il regorge de nutriments.

Lorsqu’il est servi, il est généralement assaisonné d’un filet d’huile d’olive, puis utilisé comme trempette pour les légumes ou comme garniture savoureuse pour les pains plats tels que la pita. Même aujourd’hui, on ne sait pas grand-chose de ses origines, bien que la première mention de l’houmous remonte à l’Égypte du XIIIe siècle.

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : pois chiches, graines de sésame, jus de citron, ail, huile d’olive, cumin, sel…

 

Labneh

 

 

 

 

La texture crémeuse et la saveur douce sont les principaux attributs du labneh; un yaourt filtré traditionnel du Moyen-Orient préparé avec du yaourt et du sel. Aucune directive stricte n’est utilisée pour le produire ; Le yaourt entier nature est mélangé avec du sel et laissé filtrer pendant douze à vingt-quatre heures.

Lors de l’égouttage, le lactosérum du yaourt se sépare et il reste un produit épais et ferme ressemblant à du fromage. Sa texture peut varier de crémeuse à dense, mais elle a toujours une saveur relativement douce et légèrement salée. Le nom labneh est originaire du Moyen-Orient, mais des variétés de yaourt filtré se trouvent dans de nombreux autres pays et régions comme la Grèce, la Turquie, Chypre, l’Asie centrale, les États-Unis, le Mexique et le Royaume-Uni.

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : yaourt, sel…

 

Malawah

 

 

 

 

Le malawah est un plat importé en Israël par les Juifs du Yémen. Il est devenu un incontournable de la street food israélienne.

Il s’agit d’un pain qui ressemble à une crêpe dont la technique de préparation se rapproche de celle de la pâte feuilletée.

Il est servi avec des garnitures variées: sauce tomate, tomates, sauce téhina israélienne, aubergines grillées, oignons frits, concombres, cornichons malossol, oeufs durs, poivrons grillés, sauce piquante, coriandre, menthe… la liste est longue!

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : galette de pain malawah, tomates cerise coupées en deux, lanières de poivron grillé, caviar d’aubergines, sauce tehina, oeuf fermier dur, malossols, feuilles de menthe et de coriandre fraîches ciselées, huile d’olive, olives hachées, sauce piquante…

 

 

Paschtida aux carottes

 

 

 

Le paschtida aux carottes est un plat israélien qui peut être servi en entrée avec une salade ou pour un apéro en le préparant dans de petits moules individuels. La Paschtida se mange chaude ou froide. Vous pouvez varier les légumes selon les saisons, notamment avec des courgettes ou aubergines.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : carottes en rondelles, pommes de terre  sans peau en rondelles, gros oeufs, féta coupée en dés, farine, comté râpé, crème épaisse, sel et poivre, noix de  muscade, fines herbes (ciboulette, persil)…

 

Roulés de concombres aux légumes frais

 

 

 

 

 

 

Certains plats ne demandent qu’un minimum d’effort de présentation, mais le résultat est un véritable festin pour l’œil. C’est le cas de la présente salade. Il vous faudra peut-être un peu d’entraînement pour couper les concombres comme il faut, mais le résultat en vaut l’effort.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : grands concombres coupés dans la longueur à l’aide d’un éplucheur, petits concombres coupés en dés, tomates coupées en dés, avocat épluché et coupé, échalote émincée, raifort râpé, carotte débitée en fines rondelles, feuilles de céleri…

Assaisonnement : jus de citron, miel, sel, poivre…

 

 

 

Sabich  

 

 

 

 

 

 

Le Sabich ou Sabih est un des sandwichs phare de la gastronomie israélienne avec le fallafel.

Son nom provient du nom d’un immigrant irakien qui possédait un kiosque à Ramat Gan.

Monsieur Sabich se mit à préparer certains mets que les juifs d’origine irakienne aimaient déguster le samedi matin à la sortie de la synagogue.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : tranches d’aubergine, oeuf dur, amba (Chutney à la mangue irakien), houmous ou tehina, yaourt grec, tomates cerise, feuilles de laitue, oignons nouveaux émincés, fines herbes (menthe, persil, aneth), huile d’olive, jus de citron, farine, sel & poivre, gros pain pita…

 

Shawarma, le kebab d’Israël

 

 

 

 

Le shawarma est un type de kebab composé de viande de cuisse de poulet, de houmous, de laitue, d’aubergines et de sauces. Bien qu’il soit également populaire en Turquie (connu sous le nom de doner kebab), la version israélienne est légèrement plus évoluée que la version turque.

Règle n° 1 : s’armer de serviettes. Règle n° 2 : se laisser porter par les effluves de ce morceau de viande marinée qui grille dans sa graisse sur une broche géante. Tranchée ou hachée, elle vient rejoindre les oignons et la couche de tahini dans une pita bien dodue. Un must de la cuisine levantine et turque.

 

Sigarim

 

 

 

 

Les cigares marocains ou sigarim sont un plat traditionnel originaire du Maroc, mais il est particulièrement populaire en Israël. Le plat se compose de pâte phyllo remplie d’agneau (ou de bœuf) haché, d’oignons, d’ail et d’une variété d’épices telles que la cannelle, le cumin, la coriandre et la muscade.

Une fois remplie, la pâte phyllo est roulée en une forme allongée rappelant un cigare. Les petits pains sont ensuite frits dans l’huile jusqu’à ce qu’ils soient dorés. Une fois préparés, les cigares marocains sont servis en apéritif, généralement accompagnés d’une trempette au sumac et au yaourt. Ce plat est un incontournable des restaurants nord-africains appelés mizrahi, où il est souvent accompagné de thé à la menthe.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : pâte phyllo, huile d’olive, vinaigre de vin blanc, bœuf, tomate, cannelle, cumin, paprika, piment de la Jamaïque…

 

Tahini

 

 

 

 

 

 

Le tahini est une pâte composée de graines de sésame grillées et moulues, généralement diluées avec du jus de citron et de l’eau. C’est une pâte polyvalente qui peut être servie comme trempette et consommée seule, ou comme condiment accompagnant de nombreux plats de viande et de légumes dans la cuisine du Moyen-Orient.

Le tahini peut également être utilisé comme tartinade, comme ingrédient principal des soupes ou comme ingrédient clé du houmous , du halva ou du baba ghanoush . On pense que le meilleur tahini doit avoir une saveur légère et grillée de graines de sésame et une texture riche.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont graines de sésame, sel, jus de citron, ail, huile d’olive…

 

 

 

 

 

 

ITALIE

 

 

 

 

 

 

 

Pour mettre du soleil dans vos assiettes, rien de mieux qu’une entrée italienne ! Découvrez nos sept recettes variées pour une entrée italienne pleine de saveurs. Pronto !

L’Italie rime avec hors-d’œuvre, pâtes, pizzas, salades, jambon, bref tout ce que l’on adore manger en entrée. Sachez que certaines recettes peuvent se décliner en entrée en les faisant en petite quantité. Votre assiette sera toute en couleurs grâce aux légumes du sud, entrée froide ou chaude vous avez le choix ! Jambon de Parme, carpaccio, mini-pizza vous n’avez plus qu’à choisir. Ces spécialités italiennes sont nos préférées. C’est parti !

 

 

Anchois marinés

 

 

 

 

Les anchois marinés sont un plat que l’on trouve dans toutes les villes maritimes d’Italie, ou plus largement et sous d’autres formes, …

Les anchois marinés sont un plat prisé des Italiens sur toutes les côtes du pays. Ce plat frais et raffiné fait appel à une technique de cuisson très ancienne : le marinage. Voici comment préparer des anchois marinés aux saveurs traditionnelles intemporelles.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : anchois frais, huile d’olive extra vierge, jus de citron frais, sel, poivre, gousse d’ail, persil… 

 

 

Aubergines à l’huile

 

 

 

 

 

Rien de plus simple que de préparer des conserves d’aubergines à l’huile. Une préparation que l’on trouve dans toutes les cuisines du Sud …et fait partie des antipasti

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : aubergines, gousses d’ail, bouquet de persil, sel, poivre, huile d’olive…

 

 

Bruschetta huile d’olive vierge extra

 

 

 

 

Chaque région italienne possède sa propre recette de la Bruschetta qui a pour base une tranche de pain artisanal croustillant assaisonné avec de l’huile d’olive extra vierge et du sel, et enrichi d’ingrédients uniques comme les tomates Pachino, l’ail, ou le prosciutto crudo di Parma.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : pain de blé dur artisanal, tomates mûres, feuilles de basilic, mozzarella, lamelles d’ail, huile d’olive extra vierge, sel de mer…

 

 

Cozze ripiene alla brindisina  ou moules farcies

 

 

 

 

 

Les moules farcies font partie de la cuisine typique des Pouilles : il s’agit d’une recette simple et traditionnelle…

 Originaire de Brindisi, une ville qui se trouve en bord de mer, cette recette simple et riche en saveurs méditerranéennes saura vous plaire.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : moules, chapelure, boite de tomates pelées, pecorino romano, olives noires, câpres, œufs, persil haché, oignon, gousse d’ail, sel, poivre, huile d’olive extra vierge…

 

 

Croûtons noirs

 

 

 

Ils ne peuvent manquer les jours de fête ou lors d’occasions spéciales : les croûtons noirs, préparés avec des foies de poulet, des câpres et des anchois, sont le hors d’œuvre toscan par excellence.

Comme pour toutes les recettes traditionnelles, chaque famille les prépare selon sa propre version, mais le pain toscan – non salé – qui les accompagne rassemble tout le monde !

 

 

Lard de Colonnata

 

 

 

 

Le lard de Colonnata tire son nom du lieu d’origine, un petit village entre les carrières de marbre près de Carrare.

Né comme un plat pauvre dont les ouvriers avaient besoin pour obtenir l’énergie nécessaire pour le travail, il a rapidement trouvé une nouvelle vie.

Avec sa couleur blanche caractéristique, presque rosée, le lard de Colonnata fond dans la bouche et s’enrichit de l’arrière-goût des herbes aromatiques et des épices avec lesquelles il est préparé : poivre, romarin, sauge mais aussi cannelle et clous de girofle.

Son affinage séchage se fait à l’intérieur d’un bassin en marbre frotté à l’ail.

Ses utilisations sont multiples : il peut être utilisé comme ingrédient dans différents plats, mais dans la version classique, il est coupé en tranches très fines et placé sur des tranches de pain grillées et chaudes.

 

 

Moules gratinées

 

 

 

 

Pour tous ceux qui apprécient la cuisine des Pouilles, voici  la recette des moules gratinées, très facile à préparer.  

Il existe d’innombrables préparations culinaires faites avec ces délicieuses moules! Pensez simplement à la légendaire ‘mpepata, la soupe aux moules tant aimée des Napolitains, ou aux légendaires haricots et moules. Dans la tradition napolitaine, elles sont toujours passées de la bouche des rois à celle de la population, les moules sont parmi les ingrédients les plus appréciés de la tradition culinaire napolitaine.

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : moules (avec leur eau), chapelure, Grana Padano AOP (pour râper), gousse d’ ail,  zeste de citron, persil haché, huile d’olive extra vierge, poivre noir au goût…

 

 

 

Panzanella

 

 

 

 

La panzanella, également appelée pansanella ou panmolle ou panmòllo ou pane ‘nzuppo, est une salade à base de pain, d’oignons et de tomates. C’est un plat typique de toute l’Italie centrale, de la Toscane, aux Marches, à l’Ombrie, au Latium et aux Abruzzes.

Selon une légende du XIVe siècle, la panzanella serait un cadeau du bienheureux marchand siennois Jean Colombini. En mouillant de ses larmes un croûton de pain et un olivier sec, il put nourrir les démunis qui le suivaient d’un pain salé à l’huile d’olive2.

Le pan lavato (pain lavé) est cité dans le Décaméron (1349-1353) de Boccace et contribue à redonner espoir à une femme affligée de mille maux.

Au XVIe siècle, le peintre et poète Bronzino fait les louanges d’oignons à l’huile et au vinaigre servis sur des tranches de pain et, une page plus tard, il parle d’une salade de concombres, oignons et pourpier. Cela est souvent interprété comme une description de la panzanella. La panzanella était à base d’oignons et non de tomates jusqu’au xxe siècle.

On pense que le nom est un mot-valise de « pane », mot italien pour le pain, et « zanella », l’assiette profonde dans laquelle elle est servie.

Composée principalement de pain, d’oignons et de tomates, la panzanella est à base de pain toscan rassis (ramolli par immersion dans l’eau), de tomates, de rondelles d’oignons rouges et de basilic, assaisonnée d’huile d’olive, de vinaigre et d’un peu de sel. Comme tous les plats pauvres et populaires, qui autrefois étaient préparés avec ce qui était disponible, à l’heure actuelle, il n’existe pas de recette unique codifiée.

En Toscane et en Ombrie, le pain est mis à tremper dans l’eau puis pressé jusqu’à ce qu’il s’effrite et soit cassé en morceaux pour le mélanger avec les autres ingrédients ; dans les Marches, les tranches de pain rassis sont trempées mais non émiettées et les autres ingrédients sont placés dessus comme s’il s’agissait de bruschetta.

Le plat est servi très frais; selon certains il est même conseillé de le laisser reposer quelques heures au réfrigérateur avant de le servir, aussi pour laisser le pain absorber les saveurs des autres ingrédients. 

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   pain rassis, oignon rouge de Tropea, vinaigre de vin blanc, eau, tomates mûres, concombres, basilic, huile extra vierge d’olive, sel, poivre…

 

Purée de fèves et chicorée

 

 

 

 

La purée de fèves avec les chicorées est une recette typique des Pouilles qui, à l’époque, représentait la nourriture des pauvres.  

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : fèves sèches décortiquées, pomme de terre,  feuilles de laurier, chicorée (ou autre verdure légèrement amère), huile d’olive, ail, croûtons de pain…

 

Salade de poulpe, pommes de terre et oignon rouge

 

 

 

 

 

La salade de poulpe, pommes de terre et oignon rouge est un plat typique de la cuisine italienne. Très appétissante, cette salade …

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :    poulpe, pommes de terre, oignon rouge, citron, persil frais, huile d’olive vierge extra, poivre blanc, sel…

 

 

 

 

Japon

 

 

 

 

 

La cuisine japonaise peut être définie strictement comme la cuisine traditionnelle du Japon, appelée en japonais Nihon ryōri ou washoku (précédant l’ère Meiji, par opposition à la cuisine « cuisine de l’Ouest ») répandue au Japon qui tire ses origines de l’importation et l’adaptation de plats occidentaux à la suite de l’abrogation du sakoku (fermeture du pays) par l’empereur Meiji. Elle est constituée de poissons, de riz ou de nouilles, de légumes et d’algues, généralement assaisonnés avec des condiments locaux.

La saveur umami est présente dans de nombreux plats ; la viande est en général absente de la cuisine traditionnelle. Il est fréquent de manger en accompagnement lors d’un repas une petite soupe ainsi que des légumes macérés appelés (tsukemono), le tout en utilisant des baguettes. Les plats les plus typiques sont les sushis et les sashimis, les nouilles udon et soba, les plats à la sauce teriyaki, ainsi que le tōfu et le nattō. Les Japonais ont aussi importé des recettes qui ont été adaptées et sont ensuite devenues des classiques comme les fritures tempura, le katsudon, le riz au curry ou les rāmen. Il existe également des boissons (thé, alcool de riz) et des pâtisseries saisonnières (wagashi) typiquement japonaises. On trouve de nombreux ustensiles spécifiques à cette cuisine, notamment des couteaux, l’art de la coupe étant très développé au Japon.

 

 

Bouchées de shiso au gingembre mariné

 

 

 

 

 

On ouvre l’appétit avec les bouchées de shiso au gingembre mariné.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : lamelles de gingembre mariné, maquereaux fumés, feuilles de shiso vert ou violet, sauce soja, pâte de piment ou de wasabi…

 

 

Bouillon aux ravioles de foie gras

 

 

 

 

 

Une recette de raviolis au foie gras facile et rapide à réaliser, qui nous fait voyager entre la France et le Japon.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : foie gras de canard cru, bouillon de volaille, wontons (carrés de pâte à raviolis chinois), bouquet de persil plat, sel et du poivre…

  

 

Gambas en feuilles de kadaïf

 

 

 

 

 

 

Un peu d’exotisme dans cette recette de gambas en feuilles de kadaïf.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont  gambas, paquet de kadaïf (ou cheveux d’ange), betterave, sucre, vinaigre de xérès, jaune d’œuf, huile de friture, fleur de sel, piment…

 

 

 

Ganmodoki

 

 

 

 

 

Les ganmodoki sont du tofu frit à base de légumes et blancs d’œufs.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : tofu, champignons shiitaké, carotte, haricots verts, noix de ginkgo, farine de manioc, œuf, racine de gingembre, brins de ciboulette…

Bouillon : bouillon de poisson japonais, sauce de soja, mirin (saké sucré pour la cuisine)…

 

 

Gelée de carottes et de gohan de konjac à l’agar-agar

 

 

 

 

 

Une mise en bouche originale à base de konjac japonais. Riche en vitamines antioxydantes, cette recette est source de bienfaits pour la jeunesse cellulaire.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : petits oignons, brins de coriandre, grosses carottes, poivre, sel, curcuma, huile d’olive, agar-agar, gohan de konjac japonais (Cette plante vivace de la famille des aracées est cultivée au Japon depuis des siècles et si au XVIIIème siècle, le konjac était utilisé essentiellement comme un aliment thérapeutique (bien que nous savons maintenant qu’il n’a aucun effet prouvé de cette nature…), cela a bien changé, puisque grâce à sa faible teneur en calorie (moins de 10 calories pour 100 grammes), ses vertus détox, ses richesses en fibres (dont le glucomannane) et son effet important de satiété, il est devenu un allié des régimes minceurs presque « incontournable et pas seulement au Japon ! ), eau…

 

 

Omelette aux algues Nori

 

 

 

 

 

 

Le végétarisme cool mise sur un autre art de vivre… Ici, une omelette aux algues Nori.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : œufs, petit concombre, radis rouges, oignons frais, huile d’olive, feuilles de nori, sauce de soja, huile d’arachide, germes de betterave rouges…

 

 

Rouleaux de flétan et algue nori

 

 

 

 

Au cœur de l’algue nori : de fines tranches de flétan fumé et des légumes croquants.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : flétan fumé coupé en tranches minces, pomme(s) (Granny-Smith et Gala), côte de céleri très tendre, feuilles d’algue nori, germes de radis ou de daikon, sauce soja, jus de citron, wasabi…

 

 

 

Salade de calmars et wakamé

 

 

 

 

Salade de calmars et wakamé Salade de calmars et wakamé

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : tomates, calamar, cébettes, sachet d’algues wakamé déshydratées, huile de sésame, graines de sésame doré…

 

 

Sunomono

 

 

 

 

Pour déguster cette salade composée de concombre, chair de crabe et radis noir, rien de tel qu’une sauce au vinaigre, pour sublimer le tout.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : chair de crabe, radis noir, concombre, algues Wakamé…

Vinaigrette japonaise : vinaigre de riz, sauce soja claire, mirin, eau, bonite séchée…

 

 

Tataki de thon

 

 

 

 

On craque pour cette tranche de thon mi cuite mi crue aux pépites de sésames grillés, gingembre et céleri.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : gingembre, thon en tranches épaisses, patate douce, lait, crème fraîche épaisse, sauce soja, graines de sésame, sel de céleri, huile de sésame, jus d’orange, jus de pamplemousse, jus de citron, sucre…

 

 

 

Tempura de langoustines

 

 

 

Une entrée rapide et originale avec un tempura de langoustines, parfait pour revisiter la cuisine asiatique.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : farine de riz, langoustines, eau glacée, feuilles de coriandre…

 

 

LIBAN

 

 

 

 

 

 

La cuisine libanaise est souvent confondue avec la cuisine grecque, turque et parfois même avec la cuisine marocaine. Pourtant, le Liban a sa gastronomie bien à lui. La gastronomie libanaise est centrée autour du partage. C’est pourquoi elle est composée en grande partie de mezzé, des hors d’œuvres chauds ou froids qui peuvent faire office de repas. Les kebbehs, les fatayers et les warak enabs font partie de ces fameux mezzé, et sont souvent accompagnés d’autres plats tels qu’un taboulé ou du maghmoor.

Au Liban, les mezze sont un ensemble de plats servis en même temps, pour former un seul et même repas. Généralement, 3 à 4 variétés de mets sont présentées, mais dans les restaurants, cela peut aller jusqu’à une vingtaine de spécialités différentes, voire une centaine pour les mariages. Que voulez-vous, la cuisine libanaise est variée et généreuse !

Au menu, on retrouve notamment des tartinades, mais aussi des pâtisseries salées à la viande ou aux légumes.

Au Liban, on propose de nombreuses sortes de dips, le plus célèbre étant, bien sûr, l’houmous à base de pois chiches, d’huile d’olive et de purée de sésame. Il existe également le caviar d’aubergine libanais au yaourt, ou le foul mudammas, une purée de fèves et de haricots, très appréciée dans tout le Proche-Orient, ainsi qu’en Égypte.

Quant aux amateurs·rices de fromage, on ne vous oublie pas. Si vous ne connaissez pas le labneh, c’est le moment de vous y mettre ! Cette spécialité est obtenue en égouttant longuement du lait de chèvre, de brebis ou de vache et est souvent agrémentée de zaatar et d’huile d’olive. Un régal.

Pour saucer le tout, utilisez des crudités, du pain pita ou des chips de pain.

 

 

 

Basturma

 

 

 

 

 

Le basturma est une viande de bœuf salé séché hautement assaisonné qui fait partie de la cuisine arménienne. La première mention du Basturma a été enregistrée pour la première fois entre 95 et 45 av. JC en Arménie sous le règne de Tigranes le Grand. On pense que la technologie des viandes séchées à l’air a d’abord été développée pour préserver le basturma commercialisé d’Arménie vers la Chine et l’Inde où il y avait un plat byzantin appelé pastón, qui se traduirait par «viande salée» et aurait été mangé cru et cuit en ragoûts. Les Arméniens étaient connus dans tout le Levant comme les fabricants les plus qualifiés de basturma. À Césarée (Kayseri), la production de basturma était entièrement dirigée par des Arméniens. Le nom de famille arménien de Basturmajian était détenu par des familles qui transformaient la viande. Certains auteurs affirment que les traditions nomades médiévales d’Asie centrale à la production moderne de basturma pendant les Ottomans sont une extension de cette tradition plus ancienne.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : morceau de viande de boeuf en un seul muscle, gros sel, fenugrec en poudre, piment doux en poudre, piment fort, gousses d’ail, curcuma jaune, curcuma rouge, sel…

 

 

Houmos

 

 

 

 

 

Le houmous ou hommos est une préparation culinaire du Proche-Orient, composée notamment de purée de pois chiches et de tahini. Il s’agit d’un plat typique de la cuisine arabe, arménienne et levantine.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : purée de pois chiche, crème de sésame, jus de citron, huile d’olive…

 

 

 

 

Laban concombre

 

 

 

 

 

 

 

 Le laban bi khyar ou khyar b’laban, soit yaourt au concombre ou concombre au yaourt, est LA salade de l’été en Syrie. C’est une entrée très rafraîchissante, que l’on sert pour accompagner les boulettes de Kebbé par exemple (ici ou là), les viandes grillées ou plus généralement des plats sans sauce.

Très simple et très rapide à faire. Tous les ingrédients apportent de la fraîcheur : yaourt, concombre, menthe et on rajoute même des glaçons pour un max de fraîcheur (astuce très répandue à Alep) et aussi pour diluer légèrement le yaourt.

On retrouve des variantes dans d’autres pays : Tzatziki en Grèce, Cacik en Turquie, Raïta en Inde,…

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : yaourt frais libanais, concombre, menthe sèche…

 

Labneh

 

 

 

 

 

 

 

Le labné ou labneh, plus rarement labna, lebné voire lebni, est un lait fermenté concentré traditionnel issu du rayeb égoutté, qui est originaire des montagnes du Liban, un plat typique de la cuisine syrienne, libanaise surtout dans la ville de Chtaura dans la plaine de la Békaa, et dans les localités druzes.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   yaourt nature de vache, yaourt nature de brebis, sel, huile d’olive, zaatar (mélange de thym, sumac et sésame)…

Facultatif : pistaches, fleurs séchées, herbes séchées, miel, olives, confiture de rose, etc…

 

  

Maghmoor  ou moussaka libanaise

 

 

 

 

 

 

 

Dans la série mezzé, je vous présente le maghmoor, plus connu sous le nom de moussaka libanaise. C’est un plat à base d’aubergine mijotée, de pois chiche et de tomate qui n’a rien à voir avec la moussaka grecque que l’on connait tous: pas de viande, pas de béchamel, pas de pommes de terre ici. Il s’agit d’un ragoût d’aubergine dont la consistance et le goût sont proches de la ratatouille, mais sans poivrons, courgettes ou autres légumes. Le maghmoor se mange en entrée ou en diner mezzé, souvent accompagné de pain plat libanais mais il est tellement bon qu’on peut le manger à la fourchette tel quel ! D’ailleurs il sera meilleur après une nuit de repos au frais, servi froid. C’est aussi un plat végétarien, et même végétalien.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : aubergine violette de Florence, pois chiche, menthe séchée, paprika, piments en flocons, concentré de tomate, chair de tomates, bouillon de légumes, huile d’olive…

 

 

 

Moujadara

 

 

 

 

La mjadra au Liban, ou moujaddara, ou mdardra dans la région de Beyrouth, est un plat végétarien très consommé dans les périodes de jeûne. La gastronomie libanaise fait souvent penser à la table de mezzés et aux grillades, qu’on trouve dans la plupart des restaurants libanais.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :  lentilles vertes ou noires, rincée, huile d’olive extra-vierge, graines de cumin, poivre noir concassé, oignons rouges moyens, émincés, sel, riz basmati, cumin moulu, piment de Cayenne, bâton de cannelle, pignons de pin, jus de citron frais, yaourt grec, pour servir…

 

 

Moutabal

 

 

 

 

 

Le moutabal (caviar d’aubergines libanais) d’aujourd’hui fait partie des mezzé certaines recettes. Il s’agit du  caviar d’aubergine aussi appelé Salate H’atsilim ou Hatzilim en Israël ou Moutabal au Liban.

C’est une recette très légère car l’aubergine cuit sans aucune matière grasse!  

Originaire du Liban, le moutabal est un caviar d’aubergine que l’on sert en guise de mezzé, accompagné de pain pita. Ce dip sera parfait à l’apéritif mais pourra aussi accompagner une salade de crudité, tapisser l’intérieur d’un sandwich voire même se servir avec des grillades.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : aubergines, citrons jaunes bio, huile d’olive, tahini, gousses d’ail, sel, poivre, persil frais, menthe…

 

 

Tabouleh 

 

 

 

 

Le taboulé libanais (tabouleh) est une délicieuse salade rafraîchissante de la cuisine libanaise. Plus précisément, cette vraie recette est un délicieux mélange de persil frais, de menthe fraîche, de tomates juteuses et de grains de boulgour fins. Le tout est rehaussé d’une vinaigrette légère à base d’huile et de jus de citron jaune.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :     boulgour fin, huile d’olive, jus de citron, persil haché, tomates épépinées en dés, oignons verts, menthe hachée, ail haché, sel et poivre…

 

 

Warak Inab

 

 

 

 

 

En fait, les feuilles de vigne farcies, alias “warak enab”, ne sont pas difficiles à réaliser. La farce est prête en un clin d’œil et se compose, outre un riz rond, de persil, de menthe, de tomate, d’un peu de citron et d’une pincée de cannelle. Il suffit ensuite de mélanger le tout. Ma mère dit que la farce est une sorte de taboulé avec du riz. Elle n’a bien sûr pas tout à fait tort, car les ingrédients et les arômes se ressemblent beaucoup.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : feuilles de vignes, riz, petite oignon hachée, botte de persil haché, petites tomates hachées, citron pressé, cannelle en poudre, menthe séchée, sel, poivre, huile d’olive, mélasse de grenade, grosse pomme de terre en rondelles….

 

 

MAGHREB

 

 

 

 

 

L’entrée au Maghreb, c’est sacré : on sourit, on se lie, on salue et on se situe. On prend le temps de vivre avant d’attaquer les plats salés ! Vous aimez débuter en mises en bouches bien tournées ? Petites idées à grignoter ou vraies entrées à présenter, à chacun son idée et à chaque région sa méthode : ouvrir l’appétit est un art convivial et théâtral que la cuisine orientale maîtrise depuis des millénaires.

Pas question de passer aux choses sérieuses sans un aperçu des immensités du Maghreb. De la tente berbère au souk citadin, les préliminaires ne se prennent pas à la légère ! Et vos invités n’en attendent pas moins… Pour les surprendre et les séduire avant même de lancer les youyous, les solutions s’étalent du bassin algérien et de ses spécialités à la côte libyenne, en passant par les délices du Maroc ou les saveurs de la Tunisie. Galettes à croquer, salades à râper, sucré-salé à oser

Si la salade s’invite volontiers, la soupe demeure la favorite du harem des entrées. Chaude ou froide, garnie ou simpliste, quelle que soit sa version, elle mise sur les épices, la botte secrète d’une région cosmopolite aux influences variées. Et que dire des bouchées bien emballées, en feuille de brick bien farcie ? Soufflez le chaud et le froid, de la salade à la marocaine aux artichauts à l’algérienne, les invités n’y verront que du soleil…

Spécialiste du Maghreb, le dip n’est pas en reste dans les entrées à tartiner, de chekchouka en aubergines au cumin… Trempez-y maakouda algérienne et artichauts à l’orange, accompagnez de briouats aux fromages et de bricks farcis, l’affaire est pliée ! Une entrée qui tient la route ? Visitez l’incontournable salade méchouia grillée, de lentilles à l’orientale ou de carottes marocaines, avant d’annoncer l’incontournable soupe harira ou le célèbre taboulé, vos invités ne demandent qu’à voyager…

 

 

Briouates au fromage

 

 

 

 

 

Le briouate ou briwate est un chausson feuilleté, généralement de forme triangulaire ou cylindrique, typique du Maroc. Il peut être sucré ou salé.

Le triangle aux amandes est la variété sucrée ; il est préparé à base d’amandes grillées, sucre, eau de fleur d’oranger et cannelle, le tout enveloppé dans une feuille de brik (warqa au Maroc), en forme de triangle et enrobé de miel.

 Briwat signifie « enveloppe » en arabe littéraire.

Le briouate est la variété marocaine de la préparation qu’on trouve dans tout l’Empire ottoman sous différents noms : sambusak ou brioute en Turquie, bourek dans les Balkans, au Liban et en Algérie, brick en Tunisie. C’est à l’origine la pita du Moyen-Orient qui, elle, est confectionnée avec des feuilles de pâte phyllo.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : paquet de feuilles de brick…

Pour la farce : pousses d’épinards, kiris, cream cheese, sel, poivre…

 

 

Chakchouka

 

 

 

 

 

La chakchouka, tchektchouka, tchoukchouka, tchouchkaka ou tchoutchouka est une spécialité culinaire de la cuisine maghrébine. Il s’agit d’une sorte de poêlée de poivrons ou de piments verts ou rouges, tomates, oignons à laquelle s’ajoutent à la fin des œufs.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : petit oignon, haché, poivron rouge, haché, gousses d’ail, émincées, pâte de tomates, cumin moulu, coriandre moulue, paprika fumé, sel, cannelle, flocons de piment fort, poivre fraîchement moulu, boite de conserve de tomates en dés, œufs, féta émiettée finement, persil frais haché…

 

Maakouda algérienne

 

 

 

 

 

La maaqouda, maqouda ou maakouda est un mets préparé et consommé en Algérie, au Maroc et en Tunisie particulièrement pendant le mois de ramadan.

Il s’agit d’une préparation à base de pommes de terre cuites au préalable et de persil haché, liés avec des œufs battus en omelette à laquelle peuvent être ajouté des oignons revenus dans de l’huile ou du beurre, et un peu de piment moulu ou de curcuma et des ingrédients secondaires comme du thon ou de la viande hachée ou du fromage, ou – traditionnellement mais moins communément de nos jours – de la cervelle de mouton ou des abas de volaille ou des crevettes ou du poisson précuit émietté (en particulier du mérou) ou pour des versions plus économiques, du hareng saur ou des mendoles séchées.

La maakouda, que l’on peut traduire par “liée” ou “épaisse”, est une sorte de beignet de pommes de terre qui se prépare souvent nature, mais qui peut aussi être farcie avec du thon, de la viande hachée ou bien encore du fromage.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : pommes de terre, oeufs battus, chapelure, ail en poudre, oignon en poudre, persil ciselé finement, curcuma, cumin, farine, poivre, huile pour friture…

 

 

Mechouiya ou salade de poivrons doux

 

 

 

 

 

Une très bonne et rafraichissante recette venue du Maghreb. Les piments doux sont des poivrons et on peut aussi griller les poivrons à la flamme en les tenant avec une fourchette. La peau s’enlève aussi. Mais cette cuisson est indispensable pour le goût de cette salade qui n’a aucun intérêt avec des poivrons crus.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : poivrons rouges, poivrons verts ou jaunes, gousses d’ail, huile d’olive, citron, sel fin, poivre du moulin…

 

 

Salade de légumes et thon à la marocaine

 

 

 

 

 

Un festival de couleurs et de parfums pour donner faim et flatter les regards. C’est visiblement une très belle tradition de ce pays qui donne ainsi un air de fête à des légumes et préparations toutes simples.

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : riz blanc, eau, grosse boîte de thon au naturel, poivron rouge, mayonnaise, boîte de maïs en grain égouttée, haricots verts, bicarbonate de soude, œufs, carottes râpées, betteraves en cubes, botte de radis roses, tomates cerises, concombre….

 

 

 

Salade tiède d’artichauts à l’orange à l’Algérienne

 

 

 

Une salade pleine de saveurs.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : bel oignon, zeste d’une orange, grains de coriandre, olives noires dénoyautées, persil ciselé, feuilles de coriandre fraîche, huile d’olive, sel, poivre…

 

Triangles de brick farcis aux aubergines

 

 

 

 

Les bricks sont des feuilles souples et très fines composées de farine de blé, d’eau et de sel. Originaires d’Afrique du nord et du Moyen Orient, elles sont particulièrement utilisées dans la cuisine orientale pour des entrées savoureuses mais sont également appréciées dans des préparations sucrées.

 Croustillantes et dorées après cuisson, elles sont inévitablement liées aux samoussas, ces petits triangles farcis de viande, de légumes ou de fromages et généralement frits. Les feuilles de brick peuvent aussi se transformer en aumônières, en chaussons farcis de pommes ou en toute préparation en remplacement de la pâte feuilletée.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : feuilles de brick, aubergine, mozzarella, filets d’anchois, margarine à l’huile d’olive, farine de blé, eau, basilic frais, huile d’olive, sel, poivre…

 

Zaalouk d’Aubergine

 

 

 

 

Le zaalouk est une salade marocaine, aussi connue à travers le Maghreb, qui est souvent préparée à base d’aubergine. Parfois orthographiée zaalouka.

Zaalouk signifie “purée” ou peut encore être traduit par “quelque chose de mou”. Le zaalouk le plus célèbre est celui à base d’aubergine.

La version marocaine de cette salade d’aubergine se prépare avec du cumin et de l’huile d’olive qu’on ajoute en fin de cuisson. Selon les recettes, certains font griller l’aubergine avant de préparer la salade et d’autres font cuire le tout en même temps. Dans tous les cas, il est possible de garder la peau ou de l’ôter.

Dans certaines régions du Maroc, comme dans les régions de Fès ou de Taza par exemple, on lui ajoute dans la poêle du poivron rouge grillé et coupé en dés. Un peu partout ailleurs, on ajoute des olives noires.

Le zaalouk, qui est largement considéré comme l’un des mets les plus raffinés de la cuisine marocaine, est souvent servi au début du repas en tant que salade mais elle peut aussi accompagner des grillades de viande ou de poisson, des brochettes ou encore des tagines. La salade se mange avec du pain plat comme du matlou.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : aubergines, tomates , pelées, gousses d’ail, bouquet de persil , finement ciselé, paprika, cumin, cayenne, sel, poivre…

 

 

 

MEXIQUE

 

 

 

 

 

Direction le Mexique, où la culture gastronomique est particulièrement vaste ! Tacos, fajitas ou évidemment guacamole sont à l’honneur.

Ces mets traditionnels peu coûteux, qui se dégustent sur le pouce, représentent l’essence de la gastronomie mexicaine. Découverte des spécialités les plus populaires du pays.

Le matin ou à la tombée de la nuit, derrière leurs stands mobiles d’où s’échappent des odeurs de tortilla toastées et de viande mijotée, les cuisiniers jouent aussi les rabatteurs. Au milieu des vendeurs ambulants, il faut savoir se démarquer. Et s’époumoner en pleine rue ou dans un mégaphone pour vanter les mérites de ses irrésistibles en-cas est une technique efficace au Mexique. Dans le langage courant latino, avoir un antojo signifie ressentir un désir immédiat pour quelque chose. Le mot « antojito », dérivé du mot « antojo », symbolise la tentation assouvie.

 

 

Ceviche

 

 

 

 

 

Apprécié pour sa fraîcheur, et principalement consommé en été dans le monde occidental, le ceviche est une entrée à base de poisson cru et mariné. S’il est un plat typique du Mexique, c’est poudrant au Pérou qu’il trouve ses origines.

 À base de thon, de saumon ou encore de dorade, le ceviche se décline aujourd’hui de mille et une façons, parfois même avec des fruits de mer tels que les crevettes ou les moules.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :    poisson blanc cabillaud, sole, oignon rouge, citrons vert pour faire un jus, gousses d’ail, piment aji, bouquet de coriandre fraiche, sel, poivre, patates douces, épis de maïs, salade type laitue…

 

 

 

Chilaquiles

 

 

 

 

 

 

Petit-déjeuner favori de nombreux Mexicains, le plat de chilaquiles est plutôt gras et copieux. Dans une assiette creuse, des tortillas frites sont recouvertes de fromage, de crème aigre et d’une protéine (souvent un œuf au plat ou du blanc de poulet effiloché). Le plat baigne dans une sauce à choisir lors de la commande : la « salsa roja », à base de tomates, d’oignons, de piment jalapeños, d’ail et de bouillon ; ou la « salsa verde » à base de tomatillos, d’oignons, de jalapeños et de coriandre.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   huile végétale, tortillas de maïs frites (coupées la veille), salsa rouge ou verte, oignons tranchés en rondelles, poitrine de poulet cuite râpée, crème mexicaine, epazote ( condiment mexicain au goût très prononcé et à l’odeur puissante. Hauteur 80 à 100 cm. Récolte des feuilles et des graines au cours de l’été.), queso mexicain, coriandre hachée, sel…

 

 

 

Enchiladas

 

 

 

 

 

 

Un plat d’enchiladas contient 3 à 4 tortillas de maïs roulées ou pliées en deux et baignées dans une sauce épicée et pimentée. La sauce peut être « rouge », à base de tomates et de piments guajillo ; « verte », à base de tomates vertes ; ou « mole », à base de cacao et d’épices. L’intérieur de chaque tortilla est garni de poulet, de bœuf ou de fromage puis le plat est recouvert d’oignon frais, de laitue, de crème et de fromage.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   huile de canola, oignons, émincés, poivrons rouges, coupés en lanières, cumin moulu, poudre de chili, sel et poivre, mélange de bœuf haché et d’herbes de Provence, purée d’haricots noirs,  gros tortillas de blé entier, coulis de tomates, fromage Tex-Mex, râpé…

 

Enfrijoladas

 

 

 

 

 

Leur préparation est similaire à celle des enchiladas, mais la sauce diffère : les enfrijoladas sont recouvertes d’une sauce épaisse à base de haricots rouges ou noirs selon la région. À Mexico city tout comme à Veracruz et dans le Chiapas, elles sont farcies de poulet, de chorizo ​​ou d’œuf brouillé. À Jalisco, elles sont remplies de saucisse, de lard frit et de sauce tomate avec du fromage. À Oaxaca, elles peuvent être recouvertes de sauce mole. Chaque état adapte plus ou moins la recette !

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   

Pour la sauce : haricots cuits, oignon, gousses d’ail, piments séchés « Morita »,  piments « chile de arbol », huile…
Pour servir : petites tortillas de maïs de 12 cm, huile végétale, fromage de vache frais (queso fresco), oignon, « crema » mexicaine ou de la crème fraîche, feuilles de coriandre, avocat, jus de citron vert… 

 

 

Empanadas

 

 

 

 

 

S’ils sont originaires d’Espagne, comme beaucoup de plats d’Amérique latine, les empanadas sont pourtant un véritable classique de la cuisine mexicaine. Petits chaussons en pâte feuilleté (parfois en pâte à pain), ils peuvent être fourrés à peu près à tout ! Ainsi, viandes, poissons, légumes, pommes de terre ou œufs seront les bienvenus pour vos recettes personnelles d’empanadas.

 Ils peuvent être servis aussi bien en entrée qu’en encas, en hors-d’œuvre ou autre amuse-gueule.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :  pâte à tarte,  jaunes d’oeufs battus…

Pour la garniture: huile d’olive, porc haché maigre, veau haché maigre, oignon haché, poivron rouge coupé en dés, branche de céleri coupée en dés, sauce chili aux poivrons, ketchup, tomate coupée en dés, sel et poivre, maïs en grains…

 

 

Gordita

 

 

 

 

 

Cette crêpe à pâte épaisse frite ou cuite sur une plaque chauffante est confectionnée avec la même pâte de maïs que celle utilisée pour faire les tortillas. Coupée après cuisson, elle ressemble à un pain pita, farcie des mêmes viandes que celles qui sont proposées en version taco.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :

Pour la pâte : farine de maïs nixtamalisée, sel,  saindoux, eau chaude…

Pour la salsa : tomates , pelées, épépinées et concassées, oignon , émincé, poivrons rouges , finement hachés, coriandre fraîche , hachée, huile d’olive, jus d’un demi citron vert…

Pour la garniture : viande de bœuf hachée, gousse d’ail , hachée, piment en poudre, poivre noir, thym, oignon , émincé, huile d’olive, poivron vert , coupé en lamelles…

Pour présenter : feuilles de laitue , ciselées, feuilles de coriandre, rondelles de chorizo…

 

 

 Guacamole

 

 

 

 

 

On le déguste aussi bien à l’apéro que dans des plats aux saveurs latines. Plus qu’un emblème culinaire, le guacamole est avant tout synonyme de partage et de simplicité. Cette même simplicité que l’on retrouve dans sa recette originelle, à l’histoire pour le moins étonnante.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :      avocats, tomate, citron  jaune, oignon nouveau, coriandre fraîche, sel fin, piment d’Espelette, huile d’olive…
Pour servir : tranches de pain de campagne…
 

 

Quesadilla

 

 

 

 

La quesadilla tire son nom du mot « queso » qui signifie « fromage ». Il s’agit d’une tortilla pliée en deux prenant la forme d’un petit chausson fourré de fromage et parfois d’autres ingrédients tels que de la viande hachée, des champignons, des légumes ou de la protéine de soja texturée. Le type de fromage varie selon les régions, le Mexique étant un gros producteur et consommateur de ce dernier.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :    tortillas de blé, avocats mûrs, citron vert, demi-crème acidulée, persil plat, finement ciselé, sel, piment de Cayenne, poivron rouge, en brunoise, cheddar ou de tilsit, grossièrement râpé…

 

Sope

 

 

 

 

 

Sorte de tortilla de maïs dense et tiède, ronde ou ovale selon la région, frite ou cuite sur une plaque chauffante. Les Mexicains tartinent les sopes avec des ingrédients que l’on retrouve presque systématiquement dans les antojitos servis dans tout le pays : un peu de purée de haricots rouge, de la laitue, de l’avocat, du fromage frais, des légumes ou de la viande grillée ou mijotée. La plupart du temps, ils se vendent par trois.

   

Taco

 

 

 

 

Quelle que soit la version, un taco s’arrose de jus de citron vert et se mange en deux bouchées, pas plus. 
Un taco se compose d’une tortilla de maïs repliée ou enroulée sur elle-même contenant une garniture à base de viande (ou de poisson et de crustacé sur la côte), de sauce, d’oignon et de coriandre fraîche. Il en existe une multitude, le mode de cuisson et la garniture variant selon les produits locaux disponibles et les besoins des habitants. On trouve par exemple les tacos frits (tacos dorados, taquitos et flautas) ; les tacos de viande et d’abats grillés ou cuits façon ragoût (tacos de carnitas, tacos de barbacoa, tacos suaderos) ou encore les tacos al pastor, une adaptation de la viande grillée du Moyen-Orient, introduite par les migrants libanais et préparée au Mexique avec du porc. Les filets de viande assaisonnés de piment doux, d’oignon et d’ananas sont empilés et embrochés sur un axe métallique au contact du feu. Cette version du taco est incontournable dans le Yucatán. Quelle que soit la version, un taco s’arrose de jus de citron vert et se mange en deux bouchées, pas plus.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   

Pour la garniture des tacos : viande de bœuf et porc , sel, poivre, gousses d’ail pressées, cumin, paprika, Garam masala, lime, coulis de tomates…

Pour le pico de gallo ou salsa fresca : tomate, petit oignon rouge, piment oiseau finement ciselé, citron vert, avocat bien mûr, destiné au guacamole, salade verte, branches de coriandre fraîche…

Pour la sauce : tomate, gousses d’ail, piments, petits oignons, vin blanc…

 

Tamal

 

 

 

 

L’origine préhispanique des Tamales est documentée, en particulier par le frère Fray Bernardino de Sahagun, au début du XVIe siècle, dans son Histoire Générale des Choses de la Nouvelle-Espagne, un véritable livre de recettes… Leur origine remonterait à près de 5000 ans. Beaucoup d’entre eux avaient un caractère rituel et abondent ceux qui sont encore liés à des rites funéraires, héritage de coutumes toujours pratiquées aujourd’hui.

Ces offrandes (Tamal) qui se perpétues dans les villages des Etats de Michoacán, Mexico, Puebla et d’autres régions du pays, contiennent divers ingrédients exquis, parfois rares, pour les rendre toujours plus gouteux.

Le tamale se compose d’une feuille de bananier ou d’un épi de maïs, dans lequel on enroule une pâte de maïs farcie. 
Plat composé d’une pâte à base de farine de maïs farcie de viande, de poulet, de légumineuses ou de piment enveloppée dans une feuille de bananier ou dans un épi de maïs puis cuite à la vapeur ou au four. Parmi les recettes emblématiques, on retrouve le tamal au poulet sauce mole, une spécialité à base de cacao et d’épices ; le tamal « de hoja santa », une feuille aromatique au goût caractéristique proche de l’anis, à base de purée de haricot rouge ; et le tamal « cochinita pibil », garni d’une sorte de ragoût de porc mijoté avec des graines de roucou, du jus d’oranges aigres et du piment. Le tamal se vend en général les samedis et dimanches directement chez les particuliers, devant leur maison ou dans leur patio, et parfois dans la rue. Il est également utilisé comme offrande lors de la fête des morts.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :        grandes feuilles de maïs fraîches, oignon, haché menu, gousses d’ail, pressées,  huile de germe de maïs, bouillon de légumes corsé, semoule de maïs (bramata), piments rouges, épépinés, hachés menu, graines de tournesol, rôties, huile, pour badigeonner…

Pour la salsa picante : tomates charnues, pelées, concassées, oignon, haché menu, pluches de coriandre, hachées menu, piment vert, épépiné, haché menu, sel, poivre…

 

 

Tostada

 

 

 

 

 

 

La tostada est une tortilla devenue croustillante soit parce qu’elle a été frite, soit parce qu’elle a été séchée au four. Avant d’être servie, elle est recouverte de purée de haricots rouge, de fromage, de crème, de laitue et parfois même d’un peu de guacamole, d’effilochée de viande, de poisson cru ou de fruits de mer. La tostada est un plat populaire dans les zones du pays où il fait chaud.

La frontière est légère entre « encas » et « entrée », à l’image des tostadas que nous aurions pu classer plus haut dans ce top des spécialités culinaires mexicaines.

 Constituées d’une tortilla de maïs frite jusqu’à devenir croquante, elles sont garnies essentiellement d’une purée de haricots noirs. Pour le reste, c’est à votre convenance ! Poulet ou fruits de mer seront les bienvenus, accompagnés de tomates, de laitue, et assaisonnés à la coriandre et à la sauce piquante…

 

 

 

Tlayuda

 

 

 

 

 

Plat emblématique de la région de Oaxaca, la tlayuda est une sorte de grande tortilla qui, après avoir été grillée au charbon de bois, possède une consistance à la fois croustillante et friable. Elle est servie avec des haricots frits, du fromage frais, du fromage à pâte filée, du chou émincé, de l’oignon grillé ainsi qu’avec une pièce de viande de la région (tasajo, cecina, chorizo…), également grillée au charbon de bois.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   huile végétale, tomates vertes pelées, piment serrano épépiné, fromage Oaxaca, fromage ranch, chorizo ​​coupé en deux, viande séchée, coupée en lanières de 1 cm, feuilles de coriandre, oignon, gousses d’ail, pelées, sel fin, boîte de haricots noirs, toasts, tomates tranchées, avocat, tranché…

 

 

 

Nouvelle Zélande

 

 

 

 

Influencée par les traditions britanniques, la cuisine néo-zélandaise s’est longtemps résumée au fish & chips, à la meat pie et au pudding débarqué d’Angleterre. Aujourd’hui, utilisant à merveille ses produits frais locaux, souvent bio, elle s’est s’enrichie de diverses influences, maories, asiatiques. À Auckland, les cuisines du monde sont représentées dans les restaurants indiens, chinois, japonais, thaïlandais… Tour d’horizon de la gastronomie néo-zélandaise. Parce que la découverte d’un pays passe par l’exploration de sa riche cuisine, partie intégrante de son patrimoine culturel.

La cuisine néo-zélandaise ressemble très fortement à la cuisine australienne et mêle des influences européennes, essentiellement britanniques, et maories, comme l’ensemble de la culture du pays. Les produits locaux sont de très bonne qualité et permettent des plats savoureux, en plus de classiques fish&chips venus d’Angleterre. On peut en particulier manger de la viande d’agneau excellente, et des poissons et fruits de mer tout frais (huîtres, moules, coquilles Saint-Jacques et langoustes).

 

Meat Pie

 

 

 

 

 

Les tartes (petite tourte en français) sont très populaires en Nouvelle-Zélande, et en particulier pour le déjeuner. Vous pourrez en trouver à peu près partout, à emporter ou à consommer sur place. Plutôt pratique pour une pause déjeuner sur le pouce, ou pour une petite faim.

Généralement elle se compose de viande (boeuf, agneau, bacon…) auquel on rajoute du fromage, de la sauce (sauce par exemple) ainsi que des légumes.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   viande hachée de bœuf, oignon, sauce Worcestershire, coulis de tomate, bouillon de boeuf, disques de pâte brisée, farine, gousse d’ail, oeuf, huile d’olive, origan, thym, sel, poivre…

 

 

 

Salade de moules vertes de la Nouvelle-Zélande

 

 

 

 

 

Cette variété de moule est élevée en grand nombre et seulement en Nouvelle-Zélande. Elle se distingue des autres types de moules par sa couleur verte au bord de la coquille. Sa taille peut atteindre jusqu’à 24 cm, cela en fait donc de copieuses bouchées. Elles se cuisinent de différentes manières : gratinées au four, avec un peu de fromage ou bien à la sauce de crème de coco et bien d’autres déclinaisons…

En plus d’être délicieuses et très jolies, elles soulagent parait-il de l’arthrose et des rhumatismes…

Une recette de salade de moules, tomates, mâche et mayonnaise à l’estragon, parfaite pour l’été

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :

Pour la salade : tomates cerise roses, tomates cerise rouges, tomates cerise jaunes, mini bouquets de mâche, sel et poivre…

Pour les moules : moules cultivées de la Nouvelle-Zélande, beurre clarifié, échalotes hachée, vin blanc sec…

Pour la mayonnaise à l’estragon : jaunes d’œufs, moutarde de Dijon, vinaigre d’estragon, petite échalote ciselée, gousse d’ail, finement hachée, jus de moules réduit, huile de pépins de raisin, huile végétale, estragon, ciboulette…

 

Whitebait ou alevins

 

 

 

 

 

Les Whitebait sont des petites fritures de poisson servies en guise d’amuse-bouche ou en entrée pour toutes les occasions. Cette recette nécessite peu de temps de préparation et seulement quelques ingrédients. Il faudra veiller à choisir des poissons très petits, car ils sont consommés entiers. Croustillants et gourmands, ces Whitebait font partie des mets incontournables de Nouvelle-Zélande.

Ce sont de minuscules poissons blancs, qui se cuisinent de différentes manières ! C’est un plat est très réputé et très raffiné en Nouvelle-Zélande. Vous pouvez les déguster en omelette, ou tout simplement « frits » accompagnés d’une sauce, ou bien aussi sur une pizza, à vous de choisir !

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : anchois, sel, farine, huile végétale, huile végétale, citrons…

 

 

 

PAYS-BAS

 

 

 

 

 

La cuisine hollandaise est marquée au fer par ses origines maritimes et agricoles, mais surtout protestantes. On n’aimait autrefois ni le luxe ni l’ostentation, ce qui laissait peu de place au raffinement. Même l’emploi des épices restait très limité si l’on considère que le pays était spécialisé dans ce commerce avec l’Orient.

La cuisine hollandaise existe bel et bien. Naturelle, copieuse, peu sophistiquée mais toujours savoureuse, élaborée le plus souvent avec des produits de très bonne qualité.

Voilà ce qui pourrait résumer cette cuisine familiale. Si les Hollandais sortent aujourd’hui dîner en ville, ils se passionnent pour d’autres plats que le stamppot (patates grossièrement écrasées, accompagnées d’une saucisse et de sa sauce brune). Ultime souvenir de la cuisine essentiellement roborative et plutôt hivernale de bonne maman.

 

Bitterballens

 

 

 

 

Ces mini bouchées frites au jus de viande sont le meilleur ami des soiffards de passage en Hollande. Idéals pour se requinquer entre deux rasades houblonnées, les bitterballen sont généralement accompagnés de moutarde qui pique. Presque aussi bon que les Knackis.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :  viande de boeuf hachée finement, gros oignon, gousse d’ail, beurre, farine, bouillon de boeuf, lait, gouda râpé, feuilles de persil, moutarde à l’ancienne, Worcestershire sauce, chapelure fine, oeuf, huile pour friture, poivre, sel…

 

 

 

 

Bliny gryczane

 

 

 

 

 

Le Bliny gryczane est une crêpe polonaise composée d’une pâte à base de farine de sarrasin, de farine tout usage, de levure, de lait, d’œufs et d’une pincée de sel. On laisse lever la pâte à crêpes, puis on en ajoute des cuillerées dans une poêle avec de l’huile chauffée ou du beurre fondu pour former des crêpes épaisses, qui sont retournées des deux côtés jusqu’à ce qu’elles soient bien dorées.

Les crêpes polonaises de sarrasin sont généralement consommées à l’apéritif et sont traditionnellement servies avec du caviar, de la crème sure, des œufs de saumon ou des tranches d’oignon. D’autres accompagnements typiques comprennent des tranches d’échalotes, des œufs durs et de l’aneth ou du persil pour la garniture.

  Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : farine de sarrasin, farine, levure, lait, œufs, sel, caviar, crème aigre…

 

 

 

 

 Broodje haring

 

 

 

On vous prévient, vous n’allez pas aimer ce que vous allez lire, même si en vrai, c’est super bon. Les broodje haring ne sont rien d’autre que des petits sandwiches de hareng cru servis avec des cornichons et des oignons. On en trouve un peu partout en ville, dans ce que les Hollandais appellent des « haringhandels » ou charrettes à hareng. Ça envoie du rêve non ?

  Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :    petit pain blanc rond, hareng cru, fumé ou matjes, , gros cornichons au vinaigre (type malossol), oignon blanc coupé en dés, beurre, oeuf fermier, crème, aneth, beurre, sel et poivre…

 

 

 

Hollandse nieuwe

 

 

 

 

 

 

Le Hollandse nieuwe (littéralement « [hareng] nouveau hollandais »), appelé aussi maatje (« copain »), est, aux Pays-Bas, le premier hareng de la saison prêt à être consommé. Sandwich avec du Hollandse nieuwe et oignons, typique des festivités du 3 octobre.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :  nieuwe herring avec le label de qualité MSC, oignons argentés, finement hachés, cornichons en dés, jus de citron bio…

 

 

 Patatjes Oorlog ou frites de guerre

 

 

 

 

 

 

 

En Hollande, les frites sont peut être encore meilleures qu’ailleurs. La raison ? Les sauces qui les accompagnent avec juste ce qu’il faut de gras. On vous conseille les patatje Oorlog, un mélange de mayo, de sauce saté et d’oignons, à moins que vous soyez plus ketchup curry et mayo, dans ce cas, le Patat Speciaal est fait pour vous. Servis dans des cônes en papier cartonné et pensés uniquement pour vous cramer les doigts et vous en mettre partout. La guerre quoi !

  

 

 

POLOGNE

 

 

 

 

 

Voyager à la recherche des saveurs polonaises, c’est aller à la découverte des temps révolus où sur le même territoire vivaient en harmonie différentes autres nations, et notamment des Juifs, des Lituaniens, des Ukrainiens et des Tartares. En apportant leur propre culture, ils introduisirent également des habitudes culinaires différentes. Cette diversité est encore visible aujourd’hui sur la table polonaise. Lors de votre séjour en Pologne, il vous faudra goûter aux mets régionaux et aux plats qui font la fierté des Polonais, tels que les piroguis (pierogi), une sorte de raviolis en forme de demi-cercle, le żurek (soupe à la farine de seigle aigre), les harengs aux oignons, les concombres confits au sel, le bigos (ingrédients essentiels : chou frais, choucroute, viandes et charcuteries variées, lard fumé, champignons des bois secs, divers condiments). Les recettes anciennes sont très appréciées en Pologne. Il suffit d’aller en Podlachie pour y goûter les plats typiques de la cuisine lituanienne : les kibiny (une sorte de raviolis), les kartacze (une sorte de gros raviolis faits avec de la pâte à base de pommes de terre et farcis avec de la viande hachée de mouton) et le kindziuk (saucisson sec original). Dans la région de Sejny, on trouve le sękacz, pâtisserie tirant ses origines de la cuisine prussienne au goût délicat et à la forme originale, que l’on cuit à la broche au-dessus d’un foyer. Les croustilles et les biscuits ne devraient pas être la seule chose que vous servez aux invités dans votre maison. Qu’il s’agisse d’un repas formel ou d’un dîner impromptu, il existe de nombreux hors-d’œuvre et collations polonais savoureux pour régaler vos invités. La plupart des meilleures recettes d’amuse-gueule polonaises sont faciles à préparer à la maison et délicieuses !  

 

 

Kanapka ou Zapiekanka

 

 

 

 

 

 

 

 

Les sandwichs Kanapka méritent une mention spéciale car ces sandwichs polonais ouverts sont consommés presque tous les jours dans toute la Pologne. Version modifiée de la baguette française, elle est consommée au petit-déjeuner dans toute la Pologne.

Ils peuvent être garnis de n’importe quoi, du fromage et saucisses aux légumes frais et sauce au raifort. Dans certaines parties de la Pologne, vous les trouverez servis en entrée dans les restaurants. 

Une version particulièrement connue du kanapka est le zapiekanka. Ils ont été inventés dans les années 1970 comme une réponse au manque et un désir d’être sur un pied d’égalité avec les gens riches.

L’alimentation de rue Les stands de nourriture de rue autour de Cracovie sont particulièrement populaires pour leur zapiekanka croustillante et bon marché à base de champignons, de fromage, d’oignons et de ketchup.  

 

Krokiet

 

 

 

 

 

 

 

Le Krokiet est un plat polonais unique composé d’une fine crêpe remplie de divers ingrédients. Il est ensuite soigneusement plié en rouleau, pané et brièvement frit jusqu’à ce qu’il soit doré et croustillant. Les garnitures sont généralement à base de viande ou de légumes sautés, ou d’une combinaison des deux.

Deux krokiets ou plus sont traditionnellement servis comme plat principal, mais ils peuvent souvent être dégustés comme plat d’accompagnement accompagné de soupes polonaises copieuses et épaisses.

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : farine, lait, œufs, beurre, sel, champignons, oignon, choucroute, fromage, chapelure, huile, graisse animale… 

 

Kielbasa et Kabanosy

 

 

 

 

 

 

En plus d’être les plus savoureuses, les saucisses polonaises sont aussi les collations les plus faciles à servir, le kiebasa est aussi le les bouchées les plus faciles à cuisiner. Soit-il cabanons classiques, kabanos au porc fumé, ou un mélange de différents kielbasa, il est très facile de simplement faire bouillir, frire ou griller les saucisses et de les servir avec une bonne trempette maison.

 Pour  servir le kielbasa avec gzik, l’appétissante trempette au fromage fermier. Mais cette fameuse saucisse polonaise peut aller avec n’importe quoi de simple ketchup ou moutarde, à la sauce piquante ou sauce au raifort, sauce à l’ail, sauce à l’aneth, ou même une sauce tartare succulente!

Kielbasa est de loin le finger food polonais le plus charnu et le plus populaire !

 

 

Klopsiki ou pulpety

 

 

 

 

 

 

Les boulettes de viande polonaises sont appelées klopsiki. Ces petites boulettes de viande de la taille d’une balle de golf peuvent être consommées telles quelles ou avec une variété de sauces.

Certaines versions populaires incluent le klopsiki avec sosie chrzanowym fait avec le goût piquant et piquant Raifort ou la pulpe à la sauce aux champignons. Klopsiki peut aussi être ajouté aux salades ou jeté dans les soupes.

 

Oeufs à la diable appelés jajka faszerowane

 

 

 

 

 

Faisant partie de presque toutes les cultures, les œufs farcis sont consommés en Europe depuis des siècles. Originaires d’Andalousie, les jaunes d’œufs à la coque sont retirés, mélangés à d’autres ingrédients et rajoutés aux blancs d’œufs à la coque.

On trouvera  oeufs farcis sur de nombreuses tables polonaises, que ce soit pour les amuse-gueules ou pour le Repas de Pâques. Les différentes garnitures comprennent le ketchup, la mayonnaise, les pois, les maquereaux fumés, le jambon en dés, le fromage et les olives, et de nombreuses options différentes.

 

Pain avec des tartinades savoureuses

 

 

 

 

 

Peut-être que le plus simple des amuse-gueules polonais est simplement du pain grillé avec différents types de tartinades sur le dessus. Vous pouvez le faire avec un type de pain ou avec un mélange de différents pains polonais. Voici quelques bonnes combinaisons.

 Pain multicéréales au levain  avec sauce à l’ail

Pain de seigle avec sauce aux champignons

Pain à la farine d’épeautre avec sauce à l’aneth

Pain plat Podplomyki avec yaourt ou sauce tartare

Pain de seigle au levain avec smalec et cornichons à l’aneth

 

 

Paszteciki

 

 

 

 

 

 

 

Les paszteciki sont des tartes polonaises traditionnelles qui peuvent être garnies de légumes ou de viande. La méthode de fabrication de la pâte à base de levure pour les deux pâtisseries est la même.

Les paszteciki sont faites avec de la viande hachée de porc ou de bœuf. D’autre part, paszteciki z kapusta i grzybami sont faites avec de la choucroute et farce aux champignons séchés. Les paszteciki de choucroute se trouvent souvent sur le Table de Noël polonaise.

De la taille d’une bouchée et tentant, assurez-vous toujours de faire deux fois la quantité de paszteciki pendant quelques secondes.

 

 

 

Pickles polonais

 

 

 

 

 

Les cornichons, concombres, poivrons et les aliments fermentés figurent en bonne place sur la liste des aliments réconfortants dans toutes les cultures. Et nous, les Polonais, avons aussi des favoris. Voici nos meilleurs choix d’aliments fermentés à servir pour les réunions, dîners et célébrations polonais !

Ces aliments polonais marinés peuvent simplement être consommés nature ou servis avec des accompagnements charnus ou du pain grillé. En tout cas, elles sont acidulées et délicieuses !

 

 

Pruneaux enveloppés de bacon

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réalisé avec l’un de Les fruits populaires de Pologne, le prune ou pruneau séché, cet apéritif polonais disparaîtra dès que vous le placerez sur la table. Tout ce que vous faites est envelopper les pruneaux dans des tranches de bacon et faites-les cuire un moment. Servez cet appétissant amuse-gueule polonais chaud ou froid.

 

Rouleau de saumon et épinards

ou rolada szpinakowa

 

 

 

 

 

La rolada szpinakowa polonaise consiste en une pâte de feuilles d’épinards recouverte de fromage frais et rempli de tranches de saumon fumé. Tout comme la roulade, elle est coupée en tranches qui affichent un beau motif circulaire lorsqu’elles sont servies.

 

 

Ryba po grecku

 

 

Le Ryba po grecku est un plat de poisson traditionnel originaire de Pologne. Bien qu’il existe des variantes, le plat est généralement composé d’une combinaison de filets de poisson (morue, aiglefin, tilapia, perche, brochet, etc.), de carottes, de céleri, de poireaux, de persil, d’oignons, d’huile, de concentré de tomate, de jus de citron ou de vinaigre. , feuilles de laurier, paprika, sel et poivre.

 

 

  Śledzie

 

 

 

 

 

Le šledzie est une spécialité polonaise composée de harengs marinés dans divers ingrédients tels que du vinaigre, de l’huile, de la crème sure et des oignons. En raison de la grande quantité de marinades et de saveurs, il existe également une variété particulière de harengs sucrés. Le šledzie est traditionnellement servi la veille de Noël, comme entrée froide ou comme plat d’accompagnement.

Il est recommandé d’associer ce plat populaire avec des vins blancs et rouges secs.

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : hareng en conserve, huile et graisse animale, vinaigre, sel, poivre noir, feuilles de laurier, piment de la Jamaïque, poivre, oignon…

 

 

Smalec

 

 

 

 

 

Le Smalec est une pâte à tartiner traditionnelle originaire de Pologne. La pâte à tartiner est à base de graisse de porc fondue, d’oignons et d’épices. Pendant des siècles, c’était un repas copieux et bon marché pour la classe ouvrière et, au fil du temps, il est devenu un symbole de l’hospitalité polonaise.

Bien qu’il existe de nombreuses versions de la pâte à tartiner, elle est généralement composée d’une combinaison de graisse de porc, d’oignons, de pommes coupées en dés, de pruneaux, d’ail, de marjolaine, de sel et de poivre. Les oignons, les pommes et les pruneaux sont frits dans de la graisse de porc à feu doux. Le mélange est ensuite enrichi d’ail émincé, de marjolaine et d’assaisonnements.

graisse de porc, oignon, pommes, prunes, pruneaux, ail, marjolaine, sel…

 

 

Tomates farcies froides

 

 

 

 

Une collation polonaise populaire qui peut être préparée en seulement dix minutes, les tomates farcies froides sont la nourriture de fête parfaite. Il suffit d’évider les tomates et de les remplir d’un mélange de dés de fromage, de jambon, de ciboulette ciselée, de mayonnaise et d’épices.

 

 

PORTUGAL

 

 

 

 

Non, la gastronomie portugaise ne se résume pas à la morue ! Entre terre et mer, sa cuisine est conviviale et généreuse à l’image des pastéis de bacalhau, ces petits beignets de morue et de purée de pommes de terre frits, le porc aux palourdes, ou encore les pains aux olives.

 

 

Bonbons portugais de viande fumée

 

 

 

 

De petites bouchées parfaites pour l’apéro.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   saucisse « Alheira » (saucisse portugaise), paquet de feuilles de filo, beurre, jaune d’oeuf…

Pour la sauce aigre-douce : pulpe de tomate fraîche, sucre, farine, vin blanc, poivron rouge cuit…

 

 

Œufs brouillés à la Portugaise

 

 

 

 

 

Une version portugaise pour les oeufs.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   tomates, échalote, beurre, gousse d’ail, bouquet garni, oeufs, persil haché, sel et poivre, sucre semoule…

 

 

Pastéis de bacalhau ou boulettes de morue

 

 

 

 

Une version salée des pastéis.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :    morue, pommes de terre à purée, oignon moyen, bouquet de persil, oeufs, sel, poivre, huile d’olive…

 

 

 

Poulpe portugais à lagareiro

 

 

 

 

 

 

Pour du poulpe cuit à la perfection, on opte pour la double cuisson : pochage + passage au four.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   poulpe préalablement congelé, gros sel, oignons, gousses d’ail, feuille de laurier, brins de persil, huile d’olive…

 

 

Salada de bacalhau assado

 

 

 

 

 

Une salade typique du Portugal.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   morue salée, pommes de terre, oignon doux, olives vertes sans noyaux, olives noires sans noyaux, oeufs, persil ciselé, huile d’olive…

 

 

 

 

RUSSIE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Traditionnellement, les hors-d’œuvre russes sont appelés zakouski. Ils se composent notamment de charcuteries, de poissons (harengs marinés ou fumés), de caviar (œufs de poissons : saumon, esturgeon), du caviar d’aubergine, des concombres à l’aigre-doux (malossol), de salades diverses.

 

 

 

Blinis

 

 

 

 

 

Les blinis, c’est une sorte de crêpes. Ils sont généralement minces et gros, ils peuvent être servis avec de la crème, de la confiture, du miel, du caviar, du saumon fumé et de nombreux autres ingrédients. Les russes les mangent à différents repas comme hors-d’œuvre, dessert ou même plat principal.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :  yaourt grec, oeuf, farine, sachet de levure chimique,
sel…

 

Cornichons Malossol  à la russe

 

 

 

 

Les concombres marinés sont connus en Russie depuis de nombreux siècles. En Russie, il y a une tradition séculaire de grignoter de la vodka avec des cornichons, une autre tradition consiste à les manger avec des pommes de terre.

Accompagnez vos charcuteries et repas froids de cornichons Malossol (ou molossol) ! Cette technique de conservation, issue de la cuisine russe, consiste à recouvrir les cornichons de saumure afin qu’ils fermentent. L’ajout d’herbes aromatiques finira de donner une saveur très parfumée à ces bocaux maison.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   gros cornichons, grains d’aneth, petit bouquet d’aneth, branches de thym, branche d’estragon, feuilles de cassis, de chêne ou de cerisier, sel…

 

 

Hareng en fourrure

 

 

 

 

 

Le hareng en fourrure est une salade composée. C’est un plat traditionnel en Russie et dans d’autres pays d’ex-URSS. Il est servi au Nouvel An et lors des fêtes de Noël.

Il existe des différentes traductions du nom de cette salade : le hareng sous la couverture, le hareng sous sa fourrure, ou tout simplement « Shouba », ce qui veut dire « le manteau » en russe, en faisant la référence au nom russe de la salade « Seledka pod shouboi ». Ce sont les couches des légumes cuits entreposées qui forment la fameuse « fourrure » sous laquelle se cache le hareng. Dans mon restaurant, j’avais la possibilité de faire venir 70% de tous les produits alimentaires de la Russie, le hareng en faisait partie. Vous pouvez trouver, bien sûr, le filet d’hareng salé dans les grandes surfaces, mais si vous avez une épicerie russe à proximité de « chez vous », n’hésitez pas y faire le saut, le goût est  le meilleur avec le vrai hareng « soviétique ».

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :    filets de hareng, pommes de terre, carottes,  échalote, œufs durs, mayonnaise aux œufs frais, betteraves cuites, sel, poivre…

 

Pelmenis

 

 

 

 

 

 

Les pelmenis sont extrêmement populaires en Russie, mais historiquement, ce plat est d’origine orientale. Le mot « pelmeni » vient de deux mots de la langue finno-ougrienne. Les anciens habitants de Perm et d’Oudmourtie les appelaient « pelnyan » ou « pain d’oreille ».

Les pelmenis traditionnels de l’Oural sont farcies avec trois types de viande: boeuf, agneau et porc. Mais vous pouvez rencontrer beaucoup d’autres garnitures de viande ou de poisson. En Sibérie, les pelmenis peuvent être préparées même d’un ourson. Vous les trouverez dans des restaurants chic ou bon marchés. Un endroit idéal à visiter est un resto Taras Bulba, qui sert une grande variété de pelmenis.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   

Pour la pâte: pâtes à nouilles abaissée en rectangle de 16 cm x 56 cm, beurre…
Pour la farce: boeuf (à faire hacher 2 fois par le boucher), beurre à rôtir ou crème à rôtir, petit oignon, haché, gousse d’ail, pressée, sel, poivre, persil plat, haché, eau…

 

Pirojkis

 

 

 

 

Les pirojkis sont des versions réduites du pirog qui peuvent être cuites ou frites. Les garnitures habituelles comprennent la viande hachée, la purée de pommes de terre, les champignons, le chou frisé …

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   

Pour la pâte: farine, levure chimique, sel, œuf, beurre mou, lait, jaune d’œuf…

Pour la farceviande de bœuf hachée, lardons de bacon, pommes de terre, oignons, concentré de tomates,  huile, aneth, sel et poivre…

 

 

Salade Olivier

 

 

 

 

 

 

Aucune table du Nouvel An ne peut se passer de la salade Olivier, que les étrangers appellent souvent la « salade russe ». Qu’est-ce qui est “russe” dans cette salade ? L’histoire de la salade Olivier remonte au 19ème siècle, lorsque le cuisinier français Lucien Olivier a inventé la salade, qui est rapidement devenue extrêmement populaire auprès de l’aristocratie moscovite. Il n’a jamais révélé le secret de ce plat, mais selon les gourmets de Moscou, il comprenait du tétras, de la langue de veau, du caviar, de la laitue, des queues de cancer, des câpres et du canard fumé.

 La salade a été recréée à l’époque soviétique. La version d’aujourd’hui de la salade Olivier contient des ingrédients plus courants tels que des pommes de terre, des concombres marinés à l’aneth, des pois, des œufs, des carottes et du bœuf/poulet bouilli. Cette variante, également connue sous le nom de salade stolichniy, est devenue un plat typique du Nouvel An à l’époque soviétique et occupe toujours l’une des assiettes centrales de la table de cette fête.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : 

Pour la salade : petits pois, carottes, pomme de terres, œufs, malossols, câpres, blanc de poulet…

Pour la vinaigrette : huile végétale, huile de noix, vinaigre de cidre, sel, poivre…

Pour l’assemblage : mayonnaise avec de la moutarde au miel, aneth, gingembre, piment d’Espelette,  moutarde au miel…

 

 

 

 

Varenikis

 

 

 

Les varenikis sont similaires aux pelmeni, mais ils sont farcis de fromage, de purée de pommes de terre, de chou frisé, de viande, d’œufs durs ou de diverses baies. Vous pouvez essayer les varenikis dans de nombreux restaurants russes ou ukrainiens ou les trouver congelées dans les magasins.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   

Pour la pâte : farine, tamisée, œufs, légèrement battu, lait (à 36°C), huile végétale neutre, sel…Pour la farce : pommes de terre, oignons, coupés en dés, lait (bouillant), huile végétale neutre, beurre…Pour servir : ciboules , hachées, oignon, coupé en dés, sucre semoule, beurre, sel, poivre…

 

 

SUEDE

 

 

 

 

 

Un smörgåsbord traditionnel suédois contient des plats chauds et froids. Du pain, du beurre et du fromage sont toujours présents sur la table. C’est la tradition de commencer par les plats froids de poisson, incluant notamment du hareng, du saumon et de l’anguille sous diverses formes. Après cela, on poursuit le repas avec un second service (d’autres plats froids) et on termine avec les plats chauds. Un dessert peut être inclus ou pas.

Le julebord (littéralement « table de Noël ») est une forme particulière de smörgåsbord. Le julebord classique suédois occupe une place centrale dans la cuisine suédoise traditionnelle et il comprend souvent du pain trempé dans un bouillon de jambon et se poursuit avec une variété de poissons (saumon, hareng, corégone et anguille), du jambon rôti, des boulettes de viande, des travers de porc, du fromage de tête, de la saucisse, des pommes de terre à l’eau, du Janssons frestelse, du fromage, une salade de betteraves, du chou sous diverses formes et du gâteau de riz.

Traditionnellement, certains aliments sont associés ; le hareng se marie bien avec les pommes de terre bouillies et les œufs durs et on l’accompagne de spiritueux forts comme le schnaps, le brännvin ou l’akvavit, avec ou sans épices. Parmi les autres plats traditionnels, on trouve l’anguille fumée, le rollmops, la salade de hareng, le hareng cuit au four et le saumon fumé.

Il y a aussi des saucisses de porc (fläskkorv), du porc fumé, des saucisses de pomme de terre (isterband), du chou farci (kåldolmar), des haricots cuisinés, de l’omelette aux crevettes ou aux champignons recouverts d’une sauce béchamel. On accompagne le tout d’une salade de betteraves à la mayonnaise et d’un potage de chou rouge, vert ou brun.

Le lutefisk, du poisson en saumure préparé à partir de merluche (de la lingue franche ou du cabillaud séché servi avec des pommes de terre à l’eau et une sauce béchamel) et des petits pois qui peuvent être servis avec les plats chauds ou comme quatrième service à part. Le lutefisk est souvent servi au dîner le surlendemain du traditionnel dîner-buffet de Noël. Parmi les desserts du julebord, il y a le riz au lait (risgrynsgröt) saupoudré de cannelle. Traditionnellement, une amande est cachée à l’intérieur du bol et celui qui la trouve reçoit une petite récompense ou bien on dit d’elle qu’elle va avoir de la chance. Le julebord est servi de début décembre jusqu’à Noël dans les restaurants et jusqu’à l’Épiphanie dans certains foyers. C’est une tradition pour la plupart des entreprises suédoises et norvégiennes d’organiser un julebord annuel entre novembre et janvier.

 

 

Caviar de Kalix

 

 

 

 

Le caviar de Kalix est une spécialité culinaire suédoise de l’archipel de la baie de Botnie, Kalix étant une ville de cette baie.

La région côtière de Kalix, à l’extrême nord de la mer Baltique, réunit des conditions uniques requises pour la production d’œufs d’ablette. C’est l’équivalent suédois du caviar d’esturgeon, d’une grande fraîcheur, avec une saveur délicatement salée et une texture souple.

Il s’agit d’œufs de Corégone blanc, dont le goût est transformé par la grande quantité d’eau douce présente dans cette baie.

L’Union européenne a accordé une appellation d’origine protégée à ce produit.

 

 

Salade d’artichaut et écrevisses

 

 

 

 

Elles sont consommées en Suède depuis le Moyen-Âge, à l’origine par les familles royales mais le plat s’est largement démocratisé pour devenir un classique de la cuisine suédoise ! Servies dans les restaurants, les écrevisses annoncent généralement le début de la période estivale à Stockholm. Une fête leur est d’ailleurs dédiée : Kräftskiva, la fête de l’écrevisse ! Dégustez-les de la manière la plus traditionnelle possible en les savourant émiettées sur un morceau de knäckebröd, avec une tranche de Västerbotten. Une adresse incontournable à Stockholm pour se régaler d’écrevisses et de fruits de mer : le B.A.R. (Blasieholmsgatan 4A) réserve une expérience gustative unique.

Il existe environ 600 espèces d’écrevisses dans le monde. Parmi elles, l’écrevisse patte grêle originaire de Turquie, l’écrevisse patte blanche et enfin l’écrevisse patte rouge, la plus appréciée d’entre toutes. De ce crustacé vivant en eau douce, on ne consomme que la queue qui s’accommode de nombreuses manières.

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :     petite barquette de tomates cerise, feuilles de salade, artichauts poivrade, écrevisses, feuilles de basilic, tomates séchées…

Pour la sauce : citron, petit suisse, moutarde à l’ancienne…

 

 

Saumon mariné gravelax

 

 

 

Pour les amateurs de poisson, le saumon mariné à l’aneth est tout simplement un délice à Stockholm. Son secret ? Sa marinade, bien sûr. Le saumon frais marine pendant 6 jours dans le sel, le sucre, le poivre et l’aneth. Un vrai régal !

Le saumon mariné, « gravad lax » ou « gravlax », est un plat réalisé à partir de saumon cru. C’est un mets très populaire que vous retrouverez souvent dans les smorgasbord suédois. On sert souvent le gravlax avec de la « Hovmästarsås », une sauce à la moutarde.

Veuillez noter qu’il est recommandé de congeler le saumon pendant 72 heures afin d’éliminer les parasites. Vous pouvez aussi le préparer et le congeler ensuite. Le saumon mariné est un plat idéal pour un grand dîner car vous pouvez le préparer à l’avance.

  Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   filet de saumon, sucre en poudre,  sel, poivre noir en poudre, bouquet d’aneth, zeste râpé d’un citron bio…

 

Smörgas

 

 

 

 

Signifiant littéralement « pain beurré », c’est un véritable phénomène culturel à Stockholm. Il s’agit de pain noir beurré sur lequel sont placés crevettes, saumon fumé, harengs marinés dans des sauces diverses, anguille fumée, filets de poisson pané, toutes sortes de charcuterie et de viandes, poivrons jaunes, rondelles de concombre, œufs durs, pommes de terre cuites froides… Le Smörgas se mange avec une fourchette et un couteau et s’accompagne idéalement d’une bière fraîche. Parfait pour un snack sain et complet !

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : crème fraîche, mélasse noire, sel, poivre, crevettes, grandes tranches de pain croustillant rondes, laitue mélangée (feuille de chêne, radicchio), seigle de lompe noire, aneth…

 

Toast Skagen

 

 

 

 

 

Le Toast Skagen, qui consiste en une salade de crevettes servie sur des tranches de pain dorées dans du beurre, sont un classique incontournable de la cuisine suédoise.   La gastronomie occupe toujours une place centrale dans les traditions suédoises et ce n’est bien sûr pas pour me déplaire. Parmi les recettes suédoises typiques, le Toast Skagen est un classique. Servi comme apéritif lors de célébrations suédoises mais aussi pour un déjeuner rapide pris dans n’importe quel café ou restaurant suédois, vous ne pouvez pas passer à côté. De manière assez amusante, il tient son nom d’un port de pêche situé au nord du Danemark, bien qu’il ait été créé par un chef suédois, le restaurateur Tore Wretman, en 1956.

La salade de crevettes est appelée Skagenröra ou bien encore parfois räkröra, l’un comme l’autre signifiant approximativement mélange de crevettes. Le choix de l’assaisonnement varie avec parfois quelques gouttes de Tabasco (petit twist moderne à la recette), du raifort râpé que l’on peut remplacer par de la crème de raifort, ou bien encore un peu de brandy ou cognac. Dans la note en dessous de la recette, je propose ces différentes options parmi lesquelles choisir pour donner un peu plus de caractère à vos toasts de crevettes en fonction de vos goûts personnels. Sentez-vous libres de choisir la version qui vous plaît le plus, et souvenez-vous que tous les classiques sont faits pour évoluer avec le temps !

Traditionnellement le Toast Skagen se sert sur de larges tranches de pain blanc que l’on fait revenir dans un peu de beurre dans une poêle. J’ai  pris mes distances avec la recette originale ici pour utiliser du pain de seigle noir à la place qui je trouve se marie à merveille avec les crevettes tout en étant plus nourrissante que le pain blanc. Retrouvez mes deux suggestions de présentation : la version classique sur des toasts, ou bien servis en couches alternées pain/salade de crevettes dans des verrines. Cette dernière version fera une belle entrée pour vos invités.

 Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   

Pour la salade de crevettes : mayonnaise, crème fraîche épaisse, moutarde, jus et zeste de citron, sel et poivre du moulin, aneth fraîche, ciselée, oignon rouge, émincé, crevettes, beurre doux, pain de seigle noir, coupé en tranches…

Pour servir : aneth fraîche, caviar de Kalix, tranches ou quartiers de citron…

 

 

 

 

THAÏLANDE

  

 

 

La cuisine en Thaïlande et gastronomie thaïe, presque toujours accompagnées de sauces ou fumets de poisson, telle qu’on les apprécie mondialement, sont le mariage d’influences venues d’Asie et d’Europe.

Les Thaïs ont de tout temps vécu près de la terre et de l’eau, ce que reflète la cuisine thaïe traditionnelle.

Les ingrédients de base étaient le riz, le poisson, les légumes et les aromates.

Elle utilisait peu de viande, pas de viande de bœuf ni de buffle, ces animaux étant employés pour les travaux des champs.

La Cuisine en Thaïlande et Gastronomie thaïe ont grillé, fait cuire au four et à la vapeur leur nourriture, jusqu’à ce que les Chinois introduisent les techniques de la cuisine à l’huile.

Les diplomates, les négociants et les missionnaires y ont contribué beaucoup également, mais bien après leur arrivée au XVIème siècle. En effet, ce sont des Portugais qui introduisirent le piment dans la cuisine thaïe.

Les Indiens introduisirent les currys et les épices. Cependant, au fil des ans, les cuisiniers thaïs y ont ajouté leur propre ingéniosité, remplaçant certains ingrédients par ceux qui étaient disponibles localement et adaptant les recettes aux palais des Thaïs.

Les snacks et hors d’œuvre : Ces en-cas et hors d’œuvres peuvent être mangés seuls ou avec d’autres plats. Parmi les favoris figurent les boulettes farcies, le satay, les nouilles de riz frites et croquantes servies avec une sauce douce et épicée, et le rouleau de printemps.

Les salades : La sauce des salades thaïes, appelées « yam », est à la fois aigre, douce, et salée.

Pour la viande, les fruits de mer, les légumes et les salades à base de fruits, l’assaisonnement se prépare avec la sauce de poissons, du jus de citron vert et un soupçon de sucre.

Le piquant vient du petit piment-oiseau, mais on ne parvient au bon assaisonnement qu’en employant viandes, légumes, ou fruits adéquats.

Des plantes aromatiques telles que menthe sauvage, citronnelle, feuilles de bergamote et cilantro font habituellement la garniture.

 

Beignets de bœuf à la thaïe

 

 

 

 

De jolis petits beignets tout ronds, enveloppant dans une coquille croustillante un hachis de rôti de bœuf délicieusement relevé et épicé. Présentez-les en entrée, dressés sur un lit de salade verte, p.ex.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : restes de rôti de bœuf, finement hachés, œufs frais, crème fraîche liquide, chair de noix de coco en poudre, gousses d’ail, oignons nouveaux, zeste d’un citron, finement haché, botte de coriandre, piment oiseau, gingembre, fraîchement râpé, sauce soja, nuoc-mâm, sel fin, poivre noir du moulin…

 

 

Bouillon de poulet

 

 

 

 

 

 

L’ingrédient de base de la cuisine thaïlandaise (et asiatique) est la préparation d’un bon bouillon, qui deviendra ensuite l’élément premier dans de nombreuses préparations. Voici la recette de base du bouillon de poulet, dont il existe de nombreuses variantes, selon les légumes disponibles au moment de la préparation.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : poulet, sel, gingembre légèrement écrasé, gousses d’ail épluchées et légèrement écrasées, cives, chou, branches de coriandre…

 

Gambas sautées à la Thaïlandaise

 

 

 

 

 

Quelques gambas cuisinées avec des carottes, du poireau et des champignons, accompagnées d’une sauce thaï à base de gingembre, miel, vinaigre de riz, sauce soja et saté, un régal pour les repas de fêtes.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : gambas, carottes, champignons noirs séchés, beurre, eau, huile de sésame, blanc de poireau, gousse d’ail, miel, vinaigre de riz, sauce soja, gingembre haché, saté…

  

Moules au basilic thaï

 

 

 

 

Une préparation thaïlandaise de moules, très savoureuse et particulièrement parfumée grâce à l’utilisation combinée de citronnelle et de basilic thaï. Un régal.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : moules fraîches (dans leurs coquilles), tiges de citronnelle, bouillon de volaille préparé, petites bottes de basilic thaï finement haché…

   

Rouleaux de printemps thaï

 

 

 

Des rouleaux de printemps croustillants à tremper dans une sauce de prune.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : galettes de riz, poivre noir, sucre en poudre, sauce soja blanc, sauce d’huître, carottes, chou chinois, œuf, huile végétale, pousses de soja, vermicelles chinois, sauce soja foncée…

  

Salade de bœuf thaï

 

 

 

 

La salade de bœuf thaï est une recette avec encore plus de légumes, riche en fibre et faible en calories. Faites le plein de légumes avec notre salade thaï ! En plus d’être riche en fibre et en fer, ce plat contient 250 grammes de légumes.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : petites tomates, petit concombre, rumsteck, échalotes grises, citronnelle, coriandre fraîche, menthe fraîche, feuille de laitue, piments oiseau, gousses ail, jus de citron vert, sauce nuoc-mâm, sucre semoule, glutamate…

  

Salade de mangue et crevettes au soja

 

 

 

Voici une salade de crevettes à la mangue agréablement agrémentée de vermicelles et assaisonnée de soja. Un petit goût de Thaïlande !

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : grosses crevettes roses crues, huile pour la plaque de barbecue, vermicelles de soja, mangue pas trop mûre, concombre, feuilles de coriandre, échalotes frites en garniture, piment rouge haché en garniture…

   

Salade thaïlandaise de papaye verte

 

 

 

 

 

La salade de papaye verte est une salade épicée à base de papaye verte râpée. D’origine lao, elle est couramment consommée à travers l’Asie du Sud-Est, où elle porte de nombreux noms : tam som, tam maak hoong, som tam, bok lahong, gỏi đu đủ en vietnamien.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : carottes, papaye verte, gousses d’ail, piments verts, piments rouges, tomates, sucre de palme, haricots verts, cacahuètes, sauce de poisson, citrons verts…

   

Saumon cru mariné à la Thaïlandaise au kaffir et herbes fraiches

 

 

 

 

Voici la version thaï du saumon cru mariné, très riche en herbes et réalisé sur base d’un mélange délicieusement « sucré-salé ». Le saumon obtenu ainsi est aussi fondant et savoureux qu’un excellent saumon fumé.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : filet de saumon cru, avec la peau (d’un seul côté) et sans arêtes, feuilles de lime (kaffir), sucre semoule fin, gros sel blanc, botte de coriandre fraîche, brins de basilic thaï, brins de menthe fraîche, 4 cm de gingembre, finement et fraîchement râpé, petit piment sec, poivre noir du moulin

Ingrédients pour accompagner: chutney de mangue…

 

 

Soupe de crevettes thaïes au lait de coco

 

 

 

 

 

Crevettes, lait de coco, citronnelle et piments se marient à merveille dans cette recette 

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : grosses crevettes roses, champignons de Paris, tiges de citronnelle, morceau de galanga, citron vert, tomate, lait de coco, petit piment rouge, brins de coriandre, sauce nuoc-mâm…

  

Tom kha kaï : la star des soupes thaïlandaises

 

 

 

 

 

Si vous ne devez goûter qu’une seule soupe lors de votre voyage en Thaïlande, c’est le tom kha kaï que vous devez choisir ! Cette soupe à base de citronnelle est un concentré des saveurs thaïlandaises et une fois que vous l’aurez goûtée, vous ne pourrez plus vous en passer !

Mélangez du bouillon avec du lait de coco, du galanga, des feuilles de citronnier, de la citronnelle, des piments, de la coriandre et du poulet. Laissez cuire à feu doux, le temps que les parfums se mélangent. Servez aussitôt avec un peu de riz gluant en accompagnement. Un délice !

 

 

Tom Yam Kung, soupe épicée aux crevettes et à la citronnelle

 

 

 

 

 

En Thaïlande, les soupes font partie des plats populaires et sont vraiment incontournables; on joue avec les bouillons, les saveurs souvent épicées, ça sent bon la citronnelle, le galanga, la coriandre… un vrai bonheur!

Et vous ne pourrez échapper à la soupe citronnelle / crevettes ou Tom Yam Kung (qui se décline aussi avec du poulet) qui est un véritable feu d’artifice au niveau des saveurs. En plus c’est simple et rapide… et même light pour les périodes régimes.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont : grosses crevettes, brins de citronnelle, piments doux, bouillon de poulet, feuilles de combava, galanga, sauce de poisson, jus de citron vert, brins de coriandre, champignons…

 

 

 

Turquie

 

 

 

La cuisine turque est l’une des plus internationales au monde. Elle s’inspire des influences de son passé ottoman et de la culture arabe. L’élément principal est la viande, le kebab étant son plat le plus exporté, ainsi que les épices qui donnent à ses spécialités un goût unique. La sauce au yaourt s’accompagne de nombreux aliments tels que la salade.

 

 

Dolma

 

 

 

 

 

Cela signifie « quelque chose de rempli ». Le dolma le plus typique en Turquie est la feuille de vigne farcie de riz, qui peut parfois aussi contenir de la viande hachée, des oignons et des épices. Selon le type, il peut aussi avoir du piment ou de l’aubergine. De même, les tomates ou les poivrons farcis sont également considérés comme des dolma. Il tient son origine de la cuisine ottomane.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :  agneau gras, gruaux de riz, thym, persil frais, pâte de tomate, pâte de piment, oignons, huile végétale, sel, poivre noir, feuilles de vigne…

 

 

Eli ekmek

 

 

 

 

Il fait avec de la viande, des épices et quelques légumes. Originaire de Konya et surtout consommé en Anatolie, il s’agit d’un plat qui ressemble à la pizza.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   bifteck, pain, champignons (boîte de conserve), poivron rouge et vert, tomate,  oignon vert, yaourt…

 Pour la sauce : sauce tomates, thym, beurre doux, huile de tournesol, sel, poivre…

 

 

 

Lahmacun

 

 

 

 

C’est la populaire pizza turque, une pâte assaisonnée de viande hachée, d’oignon, de tomate et d’épices qui est ensuite mise au four. Elle est d’origine arabe, tout comme son nom, qui signifie pâte à viande. Ce fast food se trouve aussi bien dans les restaurants que dans les stands de restauration de rue.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :   

 Pâte à pizza : farine, eau, cube de levure fraîche, sel…

Pour la garniture : oignon rouge en rondelles, chou rouge, persil, salade verte, tomate, carotte grossièrement râpée…

 

 

Gözleme

 

 

 

 

Ces crêpes salées anatoliennes sont constituées d’une pâte très fine, presque grillée, traditionnellement cuite sur une plaque chauffante en forme de dôme. À l’intérieur, vous trouverez une farce qui peut être un mélange de pommes de terre, de champignons, de viande hachée ou encore de fromage.

C’est pratique car on la dévore à la main, comme un sandwich et elle se présente sous de nombreuses variantes selon les régions : à la viande ou volaille (boeuf, agneau, poulet), aux légumes (épinards, poivrons, aubergines, oignons), au poisson ou fruits de mer. On y ajoute du fromage et également des épices et herbes.

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :  

Pour la pâte : farine T45, levure sèche de boulanger instantanée, sel, sucre en poudre, lait, beurre doux mou…

Pour la farce : boeuf haché, oignon jaune moyen, gousse d’ail, huile d’olive, coriandre en poudre, cumin en poudre, rase de zaatar, sel, poivre, fines tranches de type  fromage Gouda, branches de persil, beurre demi-sel…

 

 

Midye Dolma

 

 

 

 

Littéralement “moules farcies”. Mais farcies avec quoi, exactement ? La farce de ces moules se compose généralement de riz assaisonné à l’ail, à la cannelle, ou encore aux poivrons et autres piments.

Aussi, on vous offrira une tranche de citron à presser sur les moules, à votre guise. Vous pouvez demander au vendeur combien de moules vous souhaitez, ce qui en fait un excellent snack pour remplir un petit creux.

Les midye dolma seraient par ailleurs la street food d’Istanbul la plus consommée par les stambouliotes…

Les ingrédients utilisés pour réaliser la recette sont :  moules, petit oignon, lavé et égoutté, concentré de tomate, poivre noir, piment de la Jamaïque, cannelle, sel, huile d’olive, eau…

 

  

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