Connaissez-vous bien les rues, avenues, boulevard et quais mythiques de la Capitale ?  Bonne chance ! Les mythiques avenues parisiennes n’ont aucun secret pour vous ?

 

 

 

Voyons ça avec ce quiz sur les célèbres rues de Paris.

À chaque rue de Paris son truc, à découvrir :

 

 

 

 

  

 

 

1-Question :

Quelle est la rue la plus courte ?

A-Rue de la Huchette

B-Rue des Degrés

C-Rue de L’Abbé de l’épée

D-Rue Dufour

 

 

 

 

2-Question : 

Quelle est la rue la plus longue ?

 

A-Rue de Belleville

B-Rue Saint-Honoré

C-Rue de Vaugirard

D-Rue d’Alésia

 

 

 

 

3-Question :

Quelle est l’Avenue la plus large ?

 

A-Champs-Elysées

B-Grande Armée

C-Victor Hugo

D-Foch

 

 

4-Question :

Quelle est la rue la plus étroite ?

 

A-Rue des Poissonniers

B-Rue Coq Héron

C-Rue du Chat qui Pêche

D-Rue de la Grange aux Belles

 

 

5-Question : Il y existe un vignoble de 1500 mètres carrés dans cette rue du 18ème arrondissement ?

 

A-Rue Lepic

B-Rue Norvins

C-Rue de L’Abreuvoir

D-Rue Saint Vincent

 

 

 

 

6-Question :

Rue dans laquelle se trouve la plus petite maison de Paris, un minuscule immeuble de cinq mètres de haut sur 1 mètre 10 de large ?

 

A-Rue du Château d’Eau

B-Rue du Petit Château

C-Rue du Château des Rentiers

D-Rue du Château

 

 

 

 

7-Question :

Où se trouve la plus vieille maison de Paris ?

 

A-Rue Volta

B-Rue de Bretagne

C-Rue de la Grange Batelière

D-Rue de Montmorency

 

 

 

 

8-Question :

Dans quelle rue se trouvent les  arènes de Lutèce ?

 

A-Rue de La Harpe

B-Rue de La Huchette

C-Rue Monge

D-Rue de Cluny

 

 

 

9-Question :

Dans cette rue, se trouve les bâtiments et environ 2700 mètres carrés de terrain de la dernière ferme de Paris en activité jusqu’au début de la seconde guerre mondiale ?

 

A-Rue de Belleville

B-Rue de La Tombe Issoire

C-Rue Notre Dame de Lorette

D-Rue Monsieur Le Prince

 

 

 

 

10-Question :

C’est dans cette rue que se trouve le point naturel culminant de Paris ?

 

A-Rue de La Montagne Sainte- Geneviève

B-Rue de la Butte aux Cailles

C-Rue du Mont-Cenis

D-Rue du Télégraphe

 

 

 

 

RÉPONSES :

 

 

 

1-B- Nichée dans le quartier du Sentier, la rue des Degrés 75002 est la plus petite rue de la capitale : avec ses 5,75 mètres de long, ses 3,30 mètres de large.

 

 

 

 

La rue des Degrés est en fait une rue-escalier reliant le 87 rue de Cléry au 50 rue Beauregard.

 

 

 

 

2-C- À l’inverse, la rue la plus longue de Paris intra-muros est la rue de Vaugirard.

 

 

 Elle s’étend sur 4 360 mètres et traverse deux arrondissements : le VIe et XVe. Elle doit son nom à la commune de Vaugirard qui était limitrophe à Paris avant d’être intégrée à la ville en 1859.

 

 

 

3-D-La première place revient sans conteste à l’avenue Foch (75008), qui fait pas moins de 120 mètres de large. Elle doit sa taille au Baron Haussmann et à l’Impératrice Eugénie qui voyaient définitivement les choses en grand.

 

 

 

 

 

Elle prend sa naissance à l’Étoile et permet d’apercevoir l’Arc de Triomphe d’assez loin.

 

 

 

 

4-C-La rue du Chat-qui-pêche, dans le Ve arrondissement, est considérée comme l’une des plus étroites de Paris et se bat pour le titre avec le sentier des Merisiers dans le XIIe arrondissement.

 

 

 

Elle ne dépasse pas le mètre 80 cm de large au maximum. Longue de 29 mètres, on y accède par la rue de la Huchette ou le quai Saint-Michel. Elle fait partie du côté pittoresque du quartier.

 

 

 

 

5-D- À l’origine de la Fête des Vendanges , un terrain au coeur du Village de Montmartre, propriété de la Ville de Paris à l’angle des rues des Saules et Saint-Vincent planté sur une surface de 1 556 m2 de 1 762 pieds de Gamay, Pinot Noir, cépages métis de différentes régions…

 

 

 

 

Symbole d’une ancestrale tradition viticole qui trouve sa source à l’époque gallo-romaine et connaît son apogée à la fin du 18è siècle, le vignoble de Montmartre est né en 1933 du remarquable projet d’une poignée d’hommes de bonne volonté, actifs au sein des associations locales, qui tenaient à l’origine à sauver le terrain de l’urbanisation et auxquels la Mairie apporta son soutien.

 

 

 

6-A-Elle est tellement discrète qu’on ne la remarque pas au premier coup d’œil… La plus petite maison de Paris se situe entre les deux immeubles du n°37 et du n°41 rue du Château-d’Eau.

 

 

À l’origine, il s’agit probablement d’une brèche entre deux immeubles qui a été comblée par la suite. Large d’à peine un mètre, cette maison comprend un minuscule commerce de vêtement en rez-de-chaussée et un seul étage percé d’une fenêtre.

 

 

 

 

7-D- Et si on faisait un saut dans le passé ? On vous propose aujourd’hui de partie à la découverte de la plus ancienne maison de Paris connue à ce jour : la Maison de Nicolas Flamel.

 

 

 

 

Au cœur de Paris, nichée dans la rue de Montmorency dans le troisième arrondissement de la capitale se trouve une maison très particulière. Sa façade de pierre se distingue de ses voisines et on peut distinguer des motifs résistant difficilement aux affres du temps et au-dessus de l’entrée, une inscription énigmatique nous interpelle. En déchiffrant cette calligraphie médiévale, on peut alors lire la phrase suivante :

 » Nous homes et femes laboureurs demourans ou porche de ceste maison qui fu fte en lan de grace mil quatre cens et sept, somes tenus chacun en droit soy dire tous les jours une patrenostre et 1 ave maria en priant dieu que sa grace face pardon aux povres pescheurs trespassez. Amen. »

 Vous voici donc face à la plus ancienne maison datée de Paris. Et comme si cela ne suffisait pas, cette bâtisse classée monument historique est aussi rattachée à un personnage culte entouré de mythes et de légendes : Nicolas Flamel.

Contrairement à la croyance populaire, Nicolas Flamel n’a jamais été alchimiste. Sa fortune grandissante avait pourtant donné naissance à une légende selon laquelle il serait parvenu a acquérir la pierre philosophale, capable de changer les métaux en or. Mais l’histoire de ce bourgeois parisien n’est pas banale pour autant.

 

 

 

8-C- Lors d’une visite de l’emblématique quartier latin dans la rue Monge, la visite des Arènes de Lutèce et du square Capitan, petit jardin qui prolonge les arènes, s’impose. À quelques pas du métro Cardinal Lemoine, les Arènes de Lutèce (ancien nom de Paris), classées aux Monuments Historiques, se visitent gratuitement, tous les jours.

 

 

 

Edifiées entre le I^er et la fin du II^e siècle, elles pouvaient contenir environ 15 000 personnes et leurs dimensions à l’origine étaient de 132 mètres de long et 100 mètres de large. Le visiteur peut encore voir l’emplacement de la loge des acteurs, la plateforme de la scène et des éléments lapidaires. Les Arènes de Lutèce et les Thermes de Cluny (musée de Cluny) sont les seuls témoignages de la période gallo-romaine encore visibles à Paris. Le square Capitan, d’inspiration italienne, abrite aussi une aire de jeu pour enfants.

 

 

 

9-B- La ferme de Montsouris était une ferme située dans le 14e arrondissement de Paris, du 26 au 30, rue de la Tombe-Issoire. De cette ferme, il reste aujourd’hui une grange-étable, dernier bâtiment de ferme important de la capitale.

Sur cet emplacement, un moulin à vent et la maison du meunier ont existé jusqu’au milieu du XVIIIe siècle sous le nom de « maison de Ficherolles ». Leurs existences sont attestées par des actes notariés de 1697 et 17031. La maison est achetée en deux fois, en 1846 et 1858.

Entre 1703 et 1733, le moulin est appelé « moulin des Invalides » car il appartenait à l’Hôtel royal des Invalides.

 

 

Progressivement, une ferme s’installe en lieu et place du moulin, constituée, au milieu du XIXe siècle, d’un ensemble de bâtiments, étable, écurie, porcherie et poulailler.

C’était une ferme de ville, encore appelée « ferme de nourrisseur » ou « vacherie ». En 1895, il y en avait plus de 450 à Paris. Le fourrage provenait de Montrouge et de Gentilly.

Avant l’annexion de 1860, la ferme abritait une guinguette car, placée au-delà de l’octroi, les boissons n’étaient pas taxées.

Pendant la seconde moitié du XIXe siècle, la parcelle est dotée d’un immeuble de rapport au no 26 de la rue de la Tombe-Issoire, dont la grande porte cochère donne accès à la cour dotée progressivement de divers bâtiments jusqu’au milieu du XXe siècle.

Dans les années 1950, la laiterie est démolie et, dans les années 1960, la grange transformée pour accueillir diverses activités destinées à la jeunesse du quartier.

 

 

 

10-D- c’est à Belleville, 40, rue du Télégraphe que l’on trouve le point culminant de Paris à 128,51 mètres.  C’est à cet emplacement, le plus élevé du domaine public de Paris, que Claude Chappe avait installé son télégraphe en 1792.

 

 

 

 

Á l’entrée du cimetière au pied des marches 128,42 mètres ont été mesurés et 128,64 mètres au niveau du sol naturel à l’intérieur du cimetière de Belleville.