Curiosités parisiennes Guide de Paris

Voies passages secrets à découvrir dans Paris

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La ville lumière regorge de merveilles et les touristes se bousculent sur les grands boulevards, au pied de Notre Dame ou du Sacré Cœur, déambulent dans les quartiers touristiques de Montmartre ou Saint-Germain.

Mais en dehors de ces lieux touristiques, de nombreuses visites insolites sur Paris vous permettent de découvrir d’autres facettes de cette grande ville.

Voici une sélection des plus beaux passages secrets de Paris : des ruelles, des allées ou des impasses fréquentées par quelques initiés des secrets de la ville, des placettes, des squares, des passages couverts qui ne se dévoilent qu’à ceux qui acceptent de se laisser porter vers d’autres destinations, loin de la foule.

Allée des Brouillards

L’allée des Brouillards 75018, cette petite allée piétonne du quartier de Montmartre, au nom si poétique, a inspiré de nombreux artistes. L’acteur Jean-Pierre Aumont vécut au numéro 4. Il flotte ici le souvenir de peintres comme Auguste Renoir ou Amedeo Clemente Modigliani. Claude Nougaro lui consacre une chanson, et l’écrivain Martine Robier publie un livre intitulé « 9, allée des Brouillards » dans les années 1990. Si ce passage secret compte parmi les plus connus de Paris, il n’en conserve pas moins un certain cachet.

L’allée des Brouillards, lieu de mystère quasiment intact de la Butte, jouit encore d’une architecture préservé, d’un vaste hôtel particulier au destin extravagant, pompeusement baptisé château et de grands jardins hors de la vue des passants. Ce curieux passage nous parle des légendes du Vieux Montmartre. Attisant toutes les convoitises de Parisiens fortunés qui rêvent de campagne en ville, cette voie publique au charme champêtre inspire les artistes depuis le XVIIIème siècle. Entre mythes montmartrois et contes du Maquis, l’atmosphère y est propice à la flânerie heureuse, à l’imagination vagabonde.  L’allée des Brouillards entraîne les visiteurs dans un voyage à travers le temps.

Vous pouvez accéder à l’allée des Brouillards depuis la place Dalida ou la rue Simon Dereure.

 Cité du figuier

 

La Cité du Figuier se cache au 104-106 rue Oberkampf 75011. L’un des plus jolis secrets du quartier de la Folie Méricourt aurait bien pu disparaître sans la patience et la passion qui animent ses habitants. La rue Oberkampf est plus célèbre pour ses nuits endiablées que pour son charme. Cet ancien chemin rural se déploie sur un bras mort de la Seine jusqu’aux pentes de Ménilmontant marquées par ce qui fût la Barrière des Fermiers généraux. L’urbanisation, à partir de la fin du XVIIIème siècle, se déploie très progressivement. L’agencement des voies et des architectures représente pleinement celui des rues-faubourgs de l’est parisien. Les constructions d’un ou deux étages avec commerce sur rue sont la règle. En marge du Faubourg Saint Antoine où le bois est travaillé, cours et arrière-cours abritent dès le début du XIXème siècle artisanat et petite industrie centrés autour de la métallurgie. Ferronniers, batteur d’or, chaudronniers s’installent dans des impasses, petites cités ouvrières typiques du XIème arrondissement. Ces cours intérieures irrégulières, mal pavées souvent très humides sont bordées d’ateliers érigés en matériaux légers, relativement bas et aux fondations peu profondes. Il est toujours surprenant de découvrir au gré de promenades quelques résurgences de ce vieux Paris que des riverains enthousiastes ont su à la fois préserver et réhabiliter.

Profitez d’une balade rue Oberkampf pour visiter cette grande impasse pavée et échapper pendant quelques minutes à la vie bouillonnante qui règne dans le quartier. L’enfilade de bâtiments vitrés, qui abritaient autrefois des dizaines de petites industries centrées autour de la métallurgie, offre à présent un refuge idéal aux start-ups nouvelle génération et aux créatifs en tout genre, qui profite du calme de l’impasse ouvrière. Les bâtiments aux couleurs chatoyantes sont bordés de dizaines de jardinières dans lesquelles poussent fleurs et arbustes (dont l’incontournable figuier !) tout au long de l’année. Un petit paradis que vous pouvez coupler avec la visite de la cité Durmar à quelques pas de là, au numéro 154.

Entrée au 104 – 106 rue Oberkampf, 11ème

Cité des fleurs

La cité des fleurs, c’est la promesse d’une parenthèse enchantée en plein Paris. Située dans le quartier des Epinettes, cette allée piétonne du 17e arrondissement vous permettra de vous octroyer une divine pause loin de l’agitation parisienne. Reliant l’avenue de Clichy à la rue de la Jonquière, laissez-vous charmer par cette ruelle aux allures de petit village de campagne pour une balade enchanteresse.

Longue de 320m, cette voie privée fermée à la circulation (et interdite aux chiens !) est jalonnée de charmantes maisons aux styles architecturaux différents, mais harmonisées par la présence de clôtures et pilastres en pierre de taille placés de part et d’autre de cette voie centrale.

Construit en 1847, ce site immobilier aux allures de petit village a vu le jour grâce à l’établissement de plusieurs conventions réglementant la construction de ces villas : l’alignement des façades, la limitation du nombre d’étages ou encore la hauteur des murs mitoyens sont quelques-uns des critères à respecter.

Cité du midi

Difficile d’imaginer qu’il existe encore en plein quartier Pigalle une ruelle aussi paisible, dans laquelle l’on peut apercevoir d’anciens bains-douches revêtus de leurs carreaux de faïence traditionnels. On oublie rapidement les vendeurs de souvenirs et de Junk food situés en contrebas pour s’offrir un bond en arrière de plusieurs décennies en venant admirer la superbe Villa Amandine qui clôt cette impasse parisienne encore secrète.

Entrée au 48, boulevard de Clichy.

La Cité du Midi est une impasse privée d’une longueur de 100m située dans le 18ème arrondissement de Paris, sur le boulevard de Clichy. Le lieu est adoré par les blogueuses mode pour les shooting. Sur cette impasse, on découvre une oasis urbaine toute verte où règne une ambiance paisible, loin des embouteillages.

 Cour du Bel-Air

 

La Cour du Bel-Air, pittoresque ensemble du XVIIème siècle, fait partie de ces nombreuses cours artisanales du faubourg Saint-Antoine dont le destin a pris des inflexions moins manuelles. Dans cet ancien quartier des artisans du bois, les spécialistes des mobiliers ébénistes, tapissiers, vernisseurs, laqueurs ont été éclipsés, au cours du XXème siècle, par des boutiques élégantes et des studios de professions libérales. Aujourd’hui, les courettes du faubourg, lieux de mémoire, ne font plus entendre le brouhaha des ouvriers au travail. Dans l’enceinte de la cour du Bel-Air, la quiétude est toute champêtre tandis que sur les pavés ne résonnent plus l’industrieuse activité.

Accessible librement en semaine, l’historique cour du Bel-Air abrite une grande librairie et une galerie d’art. Longue de 56 mètres et large de 3,1mètre, cette pittoresque cour pavée et champêtre nous transporte dans le Paris authentique si prisé. Vous pourrez y accéder à partir des 56 rues du Faubourg Saint-Antoine. 

Cour Damoye

Cachée dans un recoin de la place de la Bastille, la cour Damoye dévoile une petite rue pavée secrète et pittoresque. Piétonne et verdoyante, celle qui abritait autrefois des ateliers d’artisans est accessible au 12 place de la Bastille.

Voici une petite allée pavée bordée d’immeubles anciens et de glycines cachée derrière la place de la Bastille. La cour abritait autrefois des ateliers d’artisans du Faubourg Saint-Antoine, dont on peut encore apercevoir les devantures colorées. Les ébénistes et les menuisiers qui peuplaient les lieux ont laissé place à des bureaux et habitations privées ; il subsiste toutefois quelques bonnes adresses que je vous recommande, dont Cuir au Carré, enseigne spécialisée dans l’habillage mural sur-mesure en modules de cuir, fondée par le créateur Cyril Amand.

 Entrée au 12, place de la Bastille

Cour Saint-Pierre

Découvrez la jolie ruelle végétalisée de la cour Saint-Pierre. Ici, dans une atmosphère de petit village s’installent écrivains, peintre et photographes, contribuant à son charme ambiant. Si à son entrée, un cinéma pornographique vous donnera l’impression de vous être trompé de rue, continuez tout de même au 47 bis avenue de Clichy.

Le XVIIème arrondissement que nous connaissons aujourd’hui fut pendant longtemps le domaine privilégié des chasses royales où la présence de l’homme se manifestait par les seuls cultures maraîchères et vignobles. A partir du XVIIème siècle, les Batignolles régulièrement mentionnés dans les actes officiels désignent un grand champ situé à l’emplacement de l’actuel quartier des Epinettes. La Fourche, qui fait frémir bon nombre d’usager de la ligne 13, se nomme le carrefour de la croix de « l’orme Montmoyen ». Les Parisiens s’y rendent lors de leurs congés pour boire quelque petit vin frais dans les guinguettes, à l’ombre du Mur des Fermiers Généraux élevé en 1787, barrière douanière honnie par la population. Ils y rêvent de villégiature paisible et champêtre loin du tumulte et des remugles de la Capitale. Le succès de ces établissements perdure tout au long des XVIIIème et XIXème siècles assurant celui des Batignolles alors rattachés à la ville de Clichy. La séparation se fait en 1830. Au début du XIXème siècle entre Batignolles et Ternes, s’étend une vaste étendue verdoyante à travers la plaine fertile où les champs maraîchers ne cèdent la place qu’à de petits bois préservés. Les chemins de terre rarement empierrés sont fréquentés par les porteurs d’eau et les muletiers. La commune des Batignolles se composent alors de petits pavillons entourés de jardins, de modestes immeubles mais un théâtre y a déjà vu le jour, le chemin de fer et une usine flambant neuve ne tardent pas à donner à la ville une réputation de modernité.

Passage de l’Ancre

Il est l’un des plus vieux passages de Paris, ce joli passage secret du nom de passage de l’ancre est une petite voie privée à ciel ouvert. Pouvant faire office de raccourci, ce joli chemin de traverse prolonge la rue Chapon jusqu’à la rue de Turbigo. On se plait à s’y balader pour admirer ses charmants ateliers artisanaux à l’ancienne aux façades boisées et colorées. En plein cœur du Marais, empruntez la porte cochère au 3O rue de Turbigo… « Tire la chevillette et la bobinette cherra » Son nom est aussi imprégné de poésie : ce passage (secret) de l’Ancre a été nommé ainsi car il y existait jadis une auberge qui reprenait ce symbole sur son enseigne.

Pour y accéder, rendez-vous au 223 rue Saint Martin, 75003 Paris ou passez par la rue de Turbigo.

Passage Dauphine

Partons du côté de Saint-Germain-des-Prés, dans un passage secret sans doute peu connu des touristes. Loin de l’affluence, ce petit poumon de verdure est accessible à pied au 27 rue Mazarine ou au 30 rue Dauphine…

Reliant la rue Dauphine et la rue Mazarine, le passage Dauphine est ouvert en 1825. Peu connu des parisiens, c’est pourtant l’un des plus charmants du quartier Saint-Germain-des-Prés.

Ouverte en 1607 sous le règne d ‘Henri IV, la rue Dauphine est un nouvel axe reliant la toute nouvelle place Dauphine sur l’île de la Cité à la rue Saint-André des Arts. Son nom provient du dauphin, le fils d’Henri IV, futur roi Louis XIII.

Le passage Dauphine a été ouvert sur les ruines d’une ancienne maison de jeux. Il coupe l’ancienne enceinte médiévale de Paris, l’enceinte de Philippe Auguste. Ainsi au n°13 occupé par plusieurs instituts de langues étrangères, des vestiges de la muraille et d’une tour sont visibles dans l’amphithéâtre Philippe-Auguste situé au sous-sol.

Orné d’un figuier, le passage Dauphine conserve beaucoup de charme avec ses vieux pavés et son tracé zigzaguant entre les immeubles.

Passage de Lhomme

Le passage Lhomme et son dédale de cours représente le Paris industriel. Ici, la végétation grimpe sur les façades et sa cour pavée vous immiscent dans une atmosphère on ne peut plus paisible. Quelques ateliers y ont perduré, tels que la miroiterie Remlinger présente depuis  1886 ou le vernisseur au tampon Holland dont l’existence remonte à 1912. Pour y accéder, rendez-vous au 26 rue de Charonne dans le 11e arrondissement de Paris.

L’entrée est si discrète qu’on passerait presque devant sans la remarquer. Ici aussi le temps semble être suspendu, et le Passage de l’Homme garde ce charme mystérieux des allées à ciel ouvert avec ses pavés anciens et ses devantures derrière lesquelles se cachaient autrefois des ateliers de doreurs et menuisiers. Vous y trouverez aujourd’hui – entre autres – une boutique de jouets ainsi qu’une librairie dédiée à la bande-dessinée.

 Entrée au 26, rue de Charonne

Passage des soupirs

Le joli passage secret des Soupirs est situé tout près de la très animée place Gambetta dans le 20e arrondissement. Gravissez quelques charmantes petites marches pour accéder à ce passage qui vous donnera l’impression d’avoir été propulsé à la campagne en un rien de temps. Un véritable petit havre de paix totalement hors du temps en plein Paris.

A quelques encablures de la place Gambetta, quartier populaire très animé, existe l’un de ces nombreux secrets préservés si typiques du XXème, un charmant passage champêtre, insolite ilot de quiétude où les oiseaux et les chats sont rois. Venelle pavée bordée d’habitations, le passage des Soupirs porte un nom énigmatique des plus évocateurs, entre extase et désolation qui laisse planer le mystère. Et si le Pont des Soupirs renvoie à ceux des amants, le romantisme de cette allée verdoyante indiquée à l’état de sentier sur le plan cadastral de la commune de Belleville dressé en 1812, bien avant le rattachement haussmannien de 1860, pourrait bien prêter à quelques émotions tendres.

Place Fursternberg

 

Située à proximité de l’église Saint-Germain-des-Prés, cette petite place du 6e arrondissement porte le nom du cardinal Guillaume Egon de Fürstenberg, abbé de Saint-Germain-des-Prés au début du XVIIIe siècle. Bordée d’habitations, la place ouvre sur la rue de Fürstenberg qui desservait les écuries de l’abbaye, l’une des plus anciennes de la capitale.

Elle n’est certes pas la plus secrète, mais elle incarne l’une des places les plus romantiques de Paris : la place Fursternberg ! Si on aime s’y balader de jour, à la nuit tombée, son charme est indescriptible.

La place de Fürstenberg, ces airs délicieux de calme province à l’ombre des paulownias, n’existe pas. La placette que tous les Parisiens désignent sous ce nom est en réalité un tronçon élargi de la rue établie sur l’ancienne avant-cour du palais abbatial de Saint-Germain-des-Prés. Le pittoresque du lieu a inspiré photographes, peintres et cinéastes tous séduits par son atmosphère à part. Le flottement au sujet de l’orthographe de Fürstenberg, Fürstenberg, Fürstenberg est le fruit de la mondialisation. Selon la nomenclature de la ville de Paris, la graphie francisée du nom prévaut. Mais dans l’usage commun la rue de Fürstenberg est plutôt désignée à l’allemande, Fürstenberg, un n et un tréma. Ou pas de tréma d’ailleurs car ce sont les touristes anglophones plus familiers avec cette orthographe qui la diffusent largement. Ainsi parée de mystères, de dénominations multiples, voire même absente de tout registre officiel, la place de Fürstenberg n’existe pas.

Rue des Thermopyles

La rue des Thermopyles pourrait incarner à elle seule le charme bucolique par excellence. Venez-vous aventurer dans ce passage secret du 14e arrondissement aux allures de petit village de Provence qui n’a rien à envier à la (bien trop) célèbre rue Crémieux. On entendrait presque chanter les cigales !

Méconnus des promeneurs et flâneurs parisiens, les quartiers du Petit-Montrouge, de Pernety et de Plaisance, dans le 14e arrondissement, offrent de belles balades à ceux qui osent « s’aventurer » dans le sud de Paris. Ce petit coin de la rive gauche possède d’ailleurs la seule ruelle pour laquelle on serait prêt à traverser tout Paris !

La rue des Thermopyles… Il faut dire que ce lacet de verdure, qui serpente entre d’anciennes maisons ouvrières, vaut clairement le détour. Les glycines et les lierres ont envahi les façades, les bicyclettes dictent leur loi et les pavés irréguliers nous font sautiller à chaque pas. Au bout de la rue on s’offre une halte Perrier-citron sur la place Flora Tristan, une tranquille placette ombragée qui nous rappelle la Provence ou l’Italie.

Square Montsouris

Pour accéder à cette magnifique ruelle pavée, rendez-vous au numéro 12 de la rue de Nansouty dans le 14e arrondissement de Paris. Flânerie bucolique en perspective !

Le square de Montsouris, ruelle pavée abondamment fleurie, est bordé de jolies maisons de ville construites au début des années 1920. Le parc éponyme, sur lequel débouche la venelle, a donné son nom actuel à l’ancien quartier du Petit Montrouge. Les territoires de ce hameau ont été rattachés à Paris sous le Second Empire. Le quartier de Montsouris doit peut-être ce nom singulier à la présence des anciennes carrières de gypse abandonnées qui ont laissé les sous-sols troués comme du gruyère, carrières sur lesquelles il a été bâti entre 1860 et 1878. Une autre tradition suggère que cette appellation proviendrait de la prolifération des rongeurs attirés par les nombreux moulins à vent où était concassé le grain des parisiens. Une explication moins poétique évoque l’indigence des populations originelles qui habitaient les environs.

Square des Peupliers

Échappée belle dans une paisible impasse du 13e arrondissement. Le square des peupliers, c’est un joli passage secret aux airs de petit paradis fleuri et coloré. Malgré son patronyme, le square des peupliers est bel et bien une rue, et pour y accéder, il suffit de se rendre au 68-72 de la rue du Moulin-des-Prés. 

Niché non loin de la grande et froide rue de Tolbiac, le square des Peupliers est un havre de tranquillité qui n’a pas son pareil dans la capitale. On part à la découverte de cette impasse verdoyante et bucolique.

Difficile de faire plus agréable que cette petite boucle en forme de triangle : le square des Peupliers, dont l’entrée s’effectue au niveau du 70 de la rue du Moulin-des-Prés dans le 13e arrondissement, accumule les petits détails au charme pittoresque.

Ici, les maisons individuelles possèdent toutes leur jardinet, les constructions en briques côtoient celles en pierre de taille recouvertes de lierre grimpant et les pavés s’associent à des candélabres qui nous rappellent l’époque où Paris s’éclairait encore au gaz. Le tout nous plonge dans une atmosphère bucolique, presque excentrique à Paris. Nous sommes loin de l’image aseptisée que l’on se fait du quartier de la place d’Italie !